Les 4F (Forum France-Fire Emblem 4 *Four*)
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AceNoctali
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   Posté le 12-02-2006 à 16:52:12   Voir le profil de AceNoctali (Offline)   Répondre à ce message   http://www.pixalgo.com/   Envoyer un message privé à AceNoctali   

Salut tlm !

S'il y a un truc extrèmement frustrant dans Fire Emblem : Path of Radiance, c'est bien l'absence d'un "Support Room" comme ceux de FE7 et de FE8 sur GBA...
Et c'est d'autant plus regrettable que plusieurs Supports sont superbes (Ike/Soren me revient immédiatement à l'esprit).

Ca, et le fait que le système de création de Supports est différent dans ce jeu, rendant la créations des Supports quelque peu plus difficile et surtout plus longue...


Tous ces facteurs m'ont décidé à créer un topic rassemblant tous les Supports en version française de ce jeu.


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Je sais que les forums des sites "Jeux Vidéos.com" et "Path of Radiance.info" ont déjà pour chacun d'eux un topic de transcript de supports.
J'aimerais pouvoir aider à unifier les données que contiennent ces topics, et dans ce but, j'irai à chacun de ces topics pour ajouter les Supports que j'ai obtenus et qui n'ont pas été recensés.
De l'autre côté, j'accepte avec un grand plaisir les supports contenus dans les topics des forums de ces sites, mais à une condition : que celui qui a retranscrit le Support soit d'accord pour le reproduire dans ce topic, et que, s'il ne peut l'ajouter dans le topic lui-même (parce qu'il n'est pas inscrit aux 4F et qu'il n'a as envie de s'y inscrire), me le dise en personne (par E-Mail ou par Message Privé), afin que j'ajoute le Support moi-même pour lui.

Bien sûr, tout personne qui aidera à compléter cette liste de Supports recevra full crédits pour leur boulot.

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A présent...
QUELQUES REGLES GENERALES CONCERNANT CE TOPIC :

1) Ce topic a pour but de lister tous les supports de FE9.
Il ne s'agit pas d'un topic de discussion sur les supports ; donc, on ne peut y ajouter seulement que le script des Supports (+ éventuellement une précision si nécessaire, comme par exemple que dans le jeu tel endroit contenait une faute d'orthographe, ou qu'une partie du texte français ne continent pas une partie de ce qui était écrit en anglais). Les appréciations et opinions sur les Supports sont donc bannies ici. Si vous voulez en faire, créez un autre topic.

2) C'est un topic de Supports de FE9 : ne mettez donc pas de Supports d'un autre FE.

3) Pour la retranscription des Supports dans ce topic, veuillez la faire sur le même modèle que les miens.

4) Soyez rigoureux dans la retranscription de vos scripts. Evitez les fautes d'orthographe et cie.

5) Ne postez que les supports de la version française officielle du jeu. C'est à dire, pas de traduction personnelle des supports anglais (trouvables, entre autres, au FESS Forum et à GameFAQs).



Le post ci-dessous recense les Supports restrancrits dans le topic. Il sera régulièrement remis à jour en fonction des Supports ajoutés.


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« Quand tu veux pleurer, pleure sans retenue. Tu te sentiras bien mieux après. Et tu pourras rire de nouveau. »
Rosette Christopher, Chrno Crusade (Tome 1).
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   Posté le 12-02-2006 à 16:58:31   Voir le profil de AceNoctali (Offline)   Répondre à ce message   http://www.pixalgo.com/   Envoyer un message privé à AceNoctali   

Supports disponibles (par ordre alphabétique) :


Astrid/Gatorie C, B, A (contribués par AceNoctali)

Astrid/Makalov C, B, A (contribués par AceNoctali)
NOTE : Deux versions pour le Support A disponibles : une avec Marcia vivante, et une avec Marcia morte.

Bastian/Lucia C, B, A (contribués par AceNoctali et Marthur)

Bastian/Volke C, B, A (contribués par AceNoctali)

Boyd/Ulki C, B, A (contribués par Marthur)

Calill/Nephenie C, B, A (contribués par AceNoctali)

Elincia/Geoffrey C, B, A (contribués par Windspirit)

Elincia/Ike C, B, A (contribués par AceNoctali)

Gatorie/Marcia C, B, A (contribués par AceNoctali)

Haar/Jill C, B, A (contribués par Marthur)

Ike/Reyson C, B, A (contribués par Marthur)

Ike/Soren C, B, A (contribués par AceNoctali)

Ilyana/Mia C, B, A (contribués par Marthur)

Ilyana/Zihark C, B, A (contribués par WonderChef)

Jill/Lethe C, B, A (contribués par AceNoctali)

Jill/Mist C, B, A (contribués par AceNoctali)
NOTE : Deux versions pour le Support A disponibles : une jusqu'au Chapitre 20 inclus, et une à partir du Chapitre 21.
Explication à cela : le boss que vous devrez obligatoirement tuer dans le Chapitre 20, est le père de Jill.

Kieran/Marcia C, B, A (contribués par WonderChef)

Kieran/Oscar C, B,A (contribués par Marthur)

Largo/Mia C, B, A (contribués par AceNoctali)

Marcia/Rolf C, B, A (contribués par AceNoctali)

Mia/Rhys C, B, A (contribués par AceNoctali)

Mist/Mordecai C, B, A (contribués par Marthur)

Mist/Rolf C, B, A (contribués par AceNoctali)

Mist/Titania C, B, A (contribués par Hermion)

Reyson/Tormod C, B, A (contribués par WonderChef)

Rolf/Shinon C, B, A (contribués par Marthur)

Rhys/Titania C, B, A (contribués par Marthur)

Soren/Stefan C, B, A (contribués par Hermion)


Edité le 19-04-2008 à 18:28:11 par AceNoctali




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« Quand tu veux pleurer, pleure sans retenue. Tu te sentiras bien mieux après. Et tu pourras rire de nouveau. »
Rosette Christopher, Chrno Crusade (Tome 1).
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   Posté le 12-02-2006 à 17:04:29   Voir le profil de AceNoctali (Offline)   Répondre à ce message   http://www.pixalgo.com/   Envoyer un message privé à AceNoctali   

Astrid/Gatorie C :


Gatorie : Hé, Astrid ! Vous ai-je dit combien je suis heureux que vous ayez rejoint notre petit groupe de guerriers ?

Astrid : Non, mais je suis flattée de l’entendre. Et je suis heureuse de chevaucher à vos côtés.
On m’a dit que vous apparteniez autrefois au groupe commandé par Ike ?

Gatorie : Oh, oui… nous sommes de vieux amis. Nous avons fait tant de choses ensemble.
Y a-t-il quelque chose que je puisse faire pour vous ? Je suis toujours ravi d’aider une si jolie fille.

Astrid : Oh… merci, Gatorie.
Puisque vous me le demandez…
Pourriez-vous m’appendre à me battre comme un mercenaire ?

Gatorie : Comment ? Vous voulez apprendre à vous battre comme un mercenaire ?

Astrid : Je n’ai presque pas d’expérience du combat.
Je veux apprendre à me débrouiller seule sur le champ de bataille, sans être un fardeau.

Gatorie : Je comprends.
C’est une excellente décision, Astrid !
Mais… le moment est mal choisi pour commencer. Titania n’est pas ici…
Et je dois lui demander en secret…

Astrid : Pardon, je n’ai pas compris.

Gatorie : Ah ah ! Non, rien !
Nous nous entraînerons un autre jour !
Je veux être sûr d’être bien préparé !

Astrid : Alors, une autre fois, peut-être.
J’ai hâte de commencer !

Gatorie : Elle est adorable…
Elle veut que je lui apprenne à se battre ! Cela ne peut vouloir dire…
Oui, je le savais !
Elle est folle de moi !
Ca va être drôle.



Astrid/Gatorie B :


Astrid : Gatorie.
Je viens pour ma leçon.
Etes-vous prêt ?

Gatorie : Bien sûr, bien sûr !
Euh… hum.
Très bien. Commençons !

Astrid : Je suis impatiente d’apprendre.

Gatorie : Chaque soldat a un rôle déterminé, et il est important que chacun fasse ce qu’il sait faire de mieux.
Avec la bonne stratégie, trois soldats peuvent en valoir dix !

Astrid : Je vois. Chacun doit se battre suivant ses compétences.
Bien, j’ai compris.

Gatorie : Mon rôle en tant que chevalier est de défendre bravement mes alliés contre les attaquants ! Je suis un rempart vivant !
Ainsi, les autres peuvent attaquer.
Les archers se tiennent à l’abri derrière moi et les unités équestres peuvent fondre sur les ennemis et l’écraser.
Euh, du moins, c’est ce qu’on m’a dit… En gros, voilà comment ça se passe au combat !

Astrid : Je vois, mais…

Gatorie : N’ayez crainte ! Restez à l’abri derrière moi.
Vous éloigner serait trop dangereux. Restez près de moi.
Oui, tout près… de moi. Ne soyez pas timide !

Astrid : Bien, je ne m’éloignerai pas.
Oh, puis-je vous poser une autre question ?

Gatorie : Demandez ce que vous voulez !

Astrid : Puisque je suis à cheval et vous à pied, nous avancerons à des vitesses différentes. Que faudra-t-il que je fasse ?

Gatorie : Euh… dans ce cas…
Hum… je ne me rappelle plus ce qu’a dit Titania…

Astrid : Pardon ?

Gatorie : Oh, rien ! Rien du tout. Ah !
Je parlais tout seul !
Nous verrons ça à la prochaine leçon.

Astrid : Oui, bien sûr. Ca suffit pour aujourd’hui.
Vous continuerez à m’apprendre, dites ?
Merci, Gatorie ! Au revoir.

Gatorie : Elle veut que je lui en apprenne plus !
Je savais qu’elle était folle de moi ! Et c’est bien normal.
Ces muscles sont impressionnants !
J’ai hâte de la revoir !



Astrid/Gatorie A :


Astrid : Je suis prête pour la leçon, Gatorie !

Gatorie : Formidable !
Bien, reprenons où nous en étions restés l’autre jour.
Savez-vous ce que signifie « s’adapter » ?

Astrid : Oui, certainement.

Gatorie : Oh ! Quoi… vraiment ?

Astrid : Cela veut dire… changer de stratégie pour tirer profit des circonstances.

Gatorie : Ahhh… c’est donc ça.
Oui ! Vous avez tout à fait raison !
Vous êtes belle ET intelligente, Astrid !
Evidemment, je le savais aussi.
Je voulais juste vérifier les connaissances de mon étudiante préférée ! Bravo !

Astrid : Oh, vous me flattez ! Merci pour ces gentilles paroles.

Gatorie : Bien, une autre question piège…
Euh… avez-vous… un petit ami… ?

Astrid : Un petit ami ?

Gatorie : C’est cela.
Oh, ne vous inquiétez pas !
Il se trouve que je n’ai pas de petite amie. Enfin… pas pour le moment.

Astrid : Je n’ai pas de petit ami.
Mais… j’ai un fiancé.

Gatorie : Quoi ?!
Un fiancé ?

Astrid : Oui.

Gatorie : Eh bien, euh… félicitations !

Astrid : Gatorie ! Auriez vous une poussière dans l’œil ?

Gatorie : Oh…. Ne vous inquiétez pas pour moi.
Tant que vous êtes heureuse…

Astrid : Gatorie ! Où allez-vous ?

Gatorie : Encore raté !
Je croyais que cette fois-ci serait la bonne.
Hum… mais…
Elle a dit qu’elle avait un fiancé, non ?
Me dire ça… à moi…
Elle voulait peut-être que je l’enlève !
Oui, c’est ça ! Elle aurait dû me le dire plus tôt !
Astrid, attendez-moi !


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   Posté le 12-02-2006 à 17:17:34   Voir le profil de AceNoctali (Offline)   Répondre à ce message   http://www.pixalgo.com/   Envoyer un message privé à AceNoctali   

Bastian/Lucia C :


Lucia : Bonjour, sieur Bastian !

Bastian : Ahhh… dame Lucia.
Quelle délicieuse surprise !
Puis-je embrasser cette main si délicate ?

Lucia : Désolé, mon ami.
J’ai aiguisé ma lame et mes mains sont couvertes de crasse.

Bastian : Peu importe ! Cela ne me refroidit pas. La saleté ne fait qu’accentuer votre incroyable beauté.

Lucia : Mais moi cela m’ennuie, Bastian.

Bastian : Ahhh… le fait qu’elle me repousse la rend encore plus désirable !
Mon destin est de poursuivre une beauté qui me fuit !
Tu as pris mon cœur !

Lucia : Ne croyez pas m’avoir avec ces belles paroles ! Ca marche peut-être avec les autres, mais je ne suis pas aussi naïve !
Pourquoi n’abandonnez-vous pas ?

Bastian : Ahhh, splendide ! La belle est farouche ! Le fait qu’elle rejette mes avances ne m’incite qu’à la courtiser davantage !

Bastian/Lucia B :

Lucia: Sieur Bastian! Où êtes-vous?!
Bastian: Dame Lucia... ça ne vous ressemble pas de me courir après. Ni même d’admettre que j’existe! Ah ah ah!
Lucia: Vous êtes grièvement blessé? Dois-je vous faire un garrot?
Bastian: Un garrot? Ah ah ah ah! Non, ma chère. Je ne suis pas blessé. Sauf si vous parlez du cœur que vous avez piétiné!
Lucia: Vous n’êtes pas blessé? Vraiment?
On m’a dit qu’un homme avec un drôle d’air et une moustache avait été blessé.
Naturellement, j’ai pensé que c’était vous. Mais je vois que ce n’était pas le cas.
Bastian: Dame Lucia! Vous étiez si inquiète pour ma santé que vous vous êtes précipitée à mon secours!
Ah! Vous êtes adorable! Une merveilleuse...
Lucia: Ce n’est pas du tout le cas.
Bastian: Ne combattez pas vos sentiments! J’ai depuis longtemps succombé à l’attrait qu’exercent vos charmes sur moi!
Lucia: N’avez-vous rien compris? Je viens de vous dire ce que je ressens.
Bastian: Plus vous le cachez, plus je vois ce que vous ressentez réellement!
Il est aussi vain de combattre l’amour que de se battre contre le vent.
Lucia: Aaaaahhh! Allez-vous m’écouter?

Bastian/Lucia A :

Bastian: Dame Lucia, je ne m’en irai pas tant que vous n’aurez pas avoué la passion dévorante que vous éprouvez à mon égard!
Lucia: Sieur Bastian… Vous pouvez paraître complètement fou, mais je sais que ce n’est qu’une façade.
Et même si j’ai horreur de l’admettre, je crois que vous n’êtes pas si mauvais.
Bastian: Alors, vous ressentez la même chose?
Lucia: Eh bien…
Lorsque la guerre sera finie… et Crimea de nouveau reconstruite… je pourrais reconsidérer la question. Peut-être.
Bastian: Oh, ma bien-aimée!
Lucia: Malgré mes efforts, je n’arrive pas à vous haïr.
Oh non… j’ai totalement oublié! Je dois aider la princesse Elincia.
Bastian: Attendez, mon amour! Quels sont vos projets pour cette soirée? J’aimerais la passer à regarder votre doux…
Lucia: Désolée! Je dois être aux côtés de la princesse. Je ne serai pas libre avant longtemps.
Bastian: Oh, ma douce! Je vois que notre chemin sera parsemé d’embûches!


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Bastian/Volke C :


Volke : Toi, là-bas, dans les buissons.
Tu as cinq secondes pour te montrer, ou je te déloge comme un rat.
Un… deux… quatre…

Bastian : Oh, pitié ! Range tes dagues !
Volke ! Je comprends d’où te vient cette réputation.

Volke : Oh. Bonjour, Bastian.

Bastian : Je ne m’attendais pas à te voir ici. Pardonne ma curiosité… Pour qui travailles-tu ?

Volke : Te connaissant, je suis surpris que tu n’aies pas encore vérifié ce que j’ai mangé au petit-déjeuner.

Bastian : C’est donc vrai…
Tu travailles pour Crimea, sous les ordres du commandant Ike ?

Volke : Je ne sers aucun pays.
Je travaille juste pour Ike.

Bastian : Et pourquoi cela ?

Volke : Dix mille.

Bastian : Dix mille ?

Volke : Paie-moi, et je répondrai à ta question.

Bastian : Ah ah ah ! Tu ne veux pas répondre à ma question, alors tu m’as donné un chiffre astronomique. Très bien.

Volke : Je ne fais rien gratuitement. Si tu ne peux pas payer, tant pis pour toi.

Bastian : Mmmm… que mijote Ike pour s’offrir les services de cet ignoble travailleur de l’ombre ?
Je vais enquêter là-dessus immédiatement !



Bastian/Volke B :


Volke : Déjà de retour ?

Bastian : Un petit oiseau s’est posé sur mon épaule et m’a chuchoté des informations bien intéressantes à l’oreille.
Ces informations collent parfaitement avec ce que Ike a dit à la princesse.
Oui, ces informations que je ne partage pas avec toi sont vraiment intéressantes. Fascinantes même.

Volke : Tu n’as jamais pu t’empêcher d’écouter les ragots.

Bastian : Chacun ses défauts. En tout cas, mes inquiétudes sur le commandant Ike et toi se sont apaisées.

Volke : Comme c’est gentil de ta part.

Bastian : C’est tout ce que je voulais dire. Je pensais juste soulager ta conscience. Considère ça comme une courtoisie professionnelle.

Volke : Bastian ?

Bastian : Ooooooui ?

Volke : Tu es très doué pour tirer les ficelles en coulisse.
As-tu déjà envisagé de changer d’employeur ?

Bastian : J’ai prêté serment d’allégeance à la famille royale de Crimea. Je sais que tu comprends.

Volke : A ta guise.



Bastian/Volke A :


Volke : Tu as encore besoin de moi.
Sinon, tu ne serais pas ici.

Bastian : Quand est-ce qu’expire ton contrat avec le commandant Ike ?

Volke : Pourquoi cette question ?

Bastian : Il y a affaire très délicate dont je voudrais que tu t’occupes. Une chose que tu es le seul à… pouvoir faire.

Volke : Je te connais depuis longtemps maintenant, mais je n’ai jamais vu une telle lueur de désespoir dans tes yeux.

Bastian : Vingt mille.

Volke : Hein ?

Bastian : Je te donnerai vingt mille.
Mais il faut que tu t’en charges maintenant.

Volke : C’est intéressant. Mais j’ai pour principe de n’accepter qu’une mission à la fois.
Ca devra attendre que celle-ci soit finie.

Bastian :

Volke : Du calme, Bastian. Mon contrat avec Ike prendra fin avec la guerre, et celle-ci est sur le point de se terminer.
L’issue de la guerre n’est pas encore fixée, mais elle est proche.
Lorsque je serai libre, je te trouverai.

Bastian : C’est absurde ! Tu refuses mon offre ?

Volke : Si, j’accepte. Je ne laisse jamais passer une occasion de me faire de l’argent. Et puis, je commence à t’apprécier, Bastian.
Tu as toujours payé dans les temps. J’aime ça chez un employeur.

Bastian : Je suis un bon employeur ? Je devrais peut-être t’accorder des congés ! Ah ah ah !
Bon, on dirait que je vais devoir attendre la fin de cette misérable guerre pour m’assurer tes services.
Mais ne traîne pas, Volke.
C’est une affaire très urgente.


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   Posté le 12-02-2006 à 17:29:35   Voir le profil de AceNoctali (Offline)   Répondre à ce message   http://www.pixalgo.com/   Envoyer un message privé à AceNoctali   

Gatorie/Marcia C :


Gatorie : Marcia ! Comment vas-tu, beauté ?

Marcia : Hein ? Euh… comment connais-tu mon nom ?

Gatorie : Comment pourrais-je ignorer le nom d’une jeune femme aussi charmante ?!
Tu sais, Titania était autrefois la seule femme de ce groupe de mercenaires.
Ce groupe a évolué de manière positive pendant mon absence.
Très positive…

Marcia : Tu faisais partie des mercenaires de Greil ?

Gatorie : Oui.
J’étais l’un des plus anciens membres.

Marcia : Je le savais !
Tu étais parmi les mercenaires qui m’ont sauvée des pirates, n’est ce pas ?

Gatorie : Euh… bien sûr !

Marcia : Je te suis si reconnaissante. Je ferai tout mon possible pour te remercier.

Gatorie : C’est très aimable, mais la présence d’une personne aussi belle et talentueuse que toi est déjà une récompense suffisante.
Je suis heureux de t’avoir parmi nous.

Marcia : Oh mais… c’est une pression trop forte.
Je n’aurais jamais cru que les gens dépendaient tellement de moi.
Mais je continuerai à faire de mon mieux ! Souhaite-moi bonne chance !

Gatorie : Elle est a-do-ra-ble !
Elle sera mienne… oh, oui…
Elle… sera… mienne !



Gatorie/Marcia B :


Marcia : Bonjour, Gatorie !
Que fais-tu aujourd’hui ?

Gatorie : Marcia ! Quel bonheur de te voir !
J’allais justement retrouver Ike pour notre petit combat.

Marcia : Quoi ?!
Tu vas te battre contre Ike ?!

Gatorie : Bien sûr. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je t’ai demandé de venir.
Je voulais t’inviter pour que tu puisses voir mon agilité au combat.
Ike est un commandant redoutable.
Mais tu sais… il ne peut presque rien contre mon incroyable puissance physique. Crois-moi, c’est à couper le souffle.

Marcia : A couper le souffle ? Oh !
J’ai hâte de voir ça, Gatorie.

Gatorie : Ah ah ah ! Bien… que puis-je dire ?
Pourquoi ne t’assois-tu pas pour regarder l’incroyable force qui se dégage de mes bras puissants ?
(Gatorie se tourne dans l’autre sens.)
Ike ! Tu peux encore abandonner !
Non ?! Très bien, je t’aurai prévenu !
Allons-y !
(Gatorie sort de l’écran.)
Celui-là est pour toi, Marcia !
Haaaarrrgggg !
… Bwaaa !

Marcia : Ooooh…
Ca avait l’air douloureux.

Gatorie : (toujours hors de l’écran.) Wahou, Ike, ne m’oblige pas à devenir méchant ! Hé… doucement…
Ouf… oooh. Aouch ! Ahhhhhh !

Marcia : Euh… ça va aller pour lui ?



Gatorie/Marcia A :


Marcia : Bonjour, Gatorie.

Gatorie : … … …

Marcia : Quelque chose ne va pas ?
Tu as l’air abattu.

Gatorie : Il vaut mieux que tu ne me parles plus, Marcia.
Ne perds pas ton temps avec moi.
Je suis un déchet… une loque humaine… un moins que rien !

Marcia : Oh, allons…
C’est à cause de l’autre jour, n’est ce pas ?
Lorsque tu as été battu par…

Gatorie : Ne m’en parle pas !
Comment ai-je pu être assez stupide pour te demander de venir me voir prendre une correction pareille ?!
Je ferais mieux d’abandonner maintenant. Je suis un nul…

Marcia : Mais non !
Ike t’a battu cette fois, et après ?
La belle affaire… il bat tout le monde !
Moi, j’ai été impressionné par ton courage.

Gatorie : Vraiment ?!

Marcia : Oui. Vous êtes deux grands guerriers.
Que dirais-tu d’être mon partenaire pour mes prochains entraînements ?
Je veux que toi et Ike m’appreniez quelques-unes de vos techniques de combat.

Gatorie : Avec plaisir !

Marcia : Parfait.
J’ai hâte de commencer !
A plus tard !
(Marcia s’en va.)

Gatorie : … … …
J’en voulais à Ike de m’avoir humilié comme ça…
Mais peut-être que tout n’est pas perdu !
A bientôt, ma douce Marcia !

Message édité le 01-12-2006 à 18:56:33 par AceNoctali


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« Quand tu veux pleurer, pleure sans retenue. Tu te sentiras bien mieux après. Et tu pourras rire de nouveau. »
Rosette Christopher, Chrno Crusade (Tome 1).
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Ike/ Elincia C :


Ike : Quelque chose ne va pas ?

Elincia : Oh… bonjour, Ike. Eh bien, je me préparais pour la bataille, mais j’ai du mal à attacher ce fourreau à ma ceinture.

Ike : Hum… voyons voir. Ah… voilà le problème. La boucle du fourreau n’est pas attachée.
Il y a une astuce pour ça. Ne bougez pas.
… … …
Bien. Ca devrait faire l’affaire !

Elincia : Merci, Ike.
J’ai l’impression de n’être bonne à rien. Je ne peux même pas me préparer seule pour le combat !
Tout le monde est déjà prêt.

Ike : Nous sommes tous passés par là.
En fait, cela ne fait pas si longtemps que je n’ai plus de mal à attacher mon fourreau…

Elincia : Vraiment ?

Ike : Oui.
Mon père m’a enseigné à manier les armes. Il me donnait des leçons de combat et de survie avant le petit-déjeuner. Nos mondes sont différents, Elincia.

Elincia : C’est donc ainsi que vous avez tant appris…

Ike : Mais vous n’avez pas besoin de vous exercer autant. Contrairement à nous autres, mercenaires, vous n’êtes pas née pour ça.
Vous vous feriez tuer, si vous preniez part à cette sale guerre sans y être préparée.

Elincia : Je comprends.

Ike : Mais ne vous faîtes aucun souci. Il n’y a aucune honte à demander de l’aide. Nous serons toujours là pour vous prêter main-forte, en cas de besoin.

Elincia : Merci, sieur Ike !

Ike : A votre service.



Ike/Elincia B :


Ike : Elincia, vous êtes toujours là ?

Elincia : Oh, bonjour sieur Ike.
J’étais en train de m’entraîner un peu.
Je ne veux pas être un poids pour les autres.

Ike : Oh, je vois…
Mais ne vaut-il pas mieux avoir un partenaire pour s’entraîner ?

Elincia : Je me sentirais coupable de demander à quelqu’un de s’entraîner avec moi. Je ne veux pas leur faire perdre leur temps…

Ike : J’étais sincère quand je vous ai dit de ne pas hésiter à demander de l’aide. Dommage que vous ayez décidé d’ignorer mon offre.

Elincia : Non, non… ce n’est pas du tout ça.
J’ai compris ce que vous m’avez dit, mais je me sens si…

Ike : Je sais parfaitement ce que vous ressentez.
J’ai éprouvé un sentiment effroyable lorsque mon père m’a laissé le commandement des mercenaires de Greil.

Elincia : … … …

Ike : Mais il y a une différence énorme entre le fait de se voir confier un pays et celui de diriger une bande de mercenaires, non ?

Elincia : Vous avez entièrement raison.
C’est difficile… d’assumer une telle responsabilité, quand on n’y est absolument pas préparé.

Ike : J’ai beaucoup appris au cours de cette dernière année et de toutes ces batailles…
J’ai surtout appris qu’on ne peut pas tout faire tout seul.
Ce que j’ai accompli, je le dois aux personnes qui m’accompagnent. Je leur fais totalement confiance.
Et je n’ai pas honte de demander de l’aide.
Cela vaut aussi pour vous.
Vous n’êtes pas seule.

Elincia : C’est une bonne vision des choses. Merci !



Ike/Elincia A :


Elincia :

Ike : Nous atteindrons enfin la capitale demain.

Elincia : Oui…

Ike : Qu’est ce que cela vous fait ?

Elincia : Je suis un peu anxieuse…
Nous sommes finalement arrivés.
Je suis enfin chez moi.
Je me sens surtout soulagée.

Ike : Vous êtes devenue forte, Elincia.

Elincia : C’est parce que j’ai eu un bon professeur.

Ike : Ah ! Je sais que vous n’en pensez pas un mot.
A propos, vous vous souvenez de ce que vous m’avez dit lorsque nous étions sur ce bateau ?

Elincia : Non, que vous ai-je dit ?
Pourvu que ce ne soit rien d’embarrassant…

Ike : Vous avez dit : « Massacrez ces porcs. Qu’ils demandent pitié en grognant ! »

Elincia : Oh… euh… ça ? C’était… euh…
J’essayais juste d’avoir l’air aussi dure et méchante que le reste de la troupe.

Ike : Vous m’avez bien surpris en tout cas !

Elincia : Hi hi hi. C’était l’excitation du combat.
Lorsque j’ai fui la capitale et qu’on m’a rapporté la défaite de Crimea à Gallia…
Je me suis préparée à vivre dans le désespoir le plus sombre jusqu’à la fin de mes jours.
Mais quand je regarde en arrière, je vois qu’il y avait quand même des lueurs d’espoir… perçant l’obscurité.

Ike : Vous avez raison…

Elincia : Demain, j’affronterai le roi de Daein et je reprendrai Crimea. C’est la seule chose qui compte.

Ike : Vous avez acheté mes services comme mercenaire, et je vais m’assurer que votre argent est bien employé ! (*)

Elincia : Merci, Ike…




(*) : Dans les versions japonaises et anglaises, c'est dit d'une manière différente. Contrairement à la version française, non seulement Ike dit qu'il combat pour elle en tant que mercenaire, mais aussi pour elle de manière personnelle.
Je rajouterai le script anglais de ce passage pour la comparaison, quand j'arriverai à y remettre la main dessus.


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Ike/Soren C :


Soren : Alors, voilà ce que nous avons dépensé.
Nos réserves baissent. Il nous faut de la viande séchée, des fruits... Ike ? Tu écoutes ?

Ike : Hein ? Oh, désolé. J’étais ailleurs.

Soren : Ah, vraiment ! Je n’aurais pas cru.

Ike : Désolé, Soren. Peux-tu me lire la liste encore une fois ?

Soren : Tu es fatigué, Ike. Tu as besoin de repos.
Va trouver un lit quelque part.

Ike : Ca se voit tant que ça ?

Soren : Bien sûr. Quand tu n’es pas bien, ton œil gauche cligne.

Ike : C’est… curieux. Je n’avais jamais remarqué.

Soren : Repose-toi. Je peux continuer pendant quelques heures.

Ike : En fait, je suis épuisé…

Soren : Va.

Ike : Soren, je sais que ta tâche n’est pas facile.
Tu n’es pas aussi dur que tu le parais.
Au fond, tu es un tendre.

Soren : Pardon ?

Ike : Oh, rien. J’y vais.

Soren : Mmm. Attention aux puces dans le lit.



Ike/Soren B :


Soren :

Ike : Tu as une seconde, Soren ?

Soren : Qu’y a-t-il, Ike ?

Ike : Quel est le problème ? Tu es bien silencieux et taciturne depuis quelques temps.
Que se passe-t-il ?

Soren : Mmm… eh bien…

Ike : Oui ?

Soren : … Rien.

… Tu ne t’es jamais inquiété de savoir qui tu es ?
Qui es ta famille ?
D’où tu viens ?

Ike : Qui je suis… ? Non, pas vraiment.
Je ne comprends pas bien où tu veux en venir.
J’ai eu un père et une mère. Je ne me souviens pas très bien d’elle, mais à par ça, je n’ai pas à me plaindre.

Soren : Ca doit être… agréable d’être aimé par ses parents.
Tous les enfants ont besoin de repères, d’un adulte qui leur serve de modèle.
Sans l’aide d’un adulte, il est difficile de faire les bons choix, de suivre la bonne voie ou de se connaître soi-même.

Ike : Tu n’as aucun souvenir de tes parents ?

Soren : Non. La femme qui m’a élevé n’était pas ma mère. Et elle ne m’aimait pas particulièrement…
Les premières paroles qu’elle m’a dites sont : « Pourquoi moi ? La vie est injuste ! » ou « Ne m’approche pas, sale gosse ! »
Pas d’amour. Pas d’affection.
Elle a pris soin de moi au nom d’un sens du devoir qu’elle n’avait pas vraiment.

Ike :

Soren : À mes quatre ans, un sage est venu et a demandé à m’emmener avec lui.
J’avais, d’après lui, un don pour la magie.
Je me souviens très bien de ce jour. Ma mère adoptive était ravie de me voir partir. En fait, elle était presque euphorique.
Elle souriait béatement, en me confiant au mage. Ce dernier lui a même donné de l’or pour son chagrin. C’était inutile.

Ike : Oh, Soren… je ne savais pas.

Soren : Le sage était âgé et savait que sa fin approchait. Son dernier but était de transmettre son savoir à un apprenti.
Comme il manquait de temps, mon apprentissage fut extrêmement rigoureux. On travaillait jour et nuit, sans répit.
Je n’avais pas le temps de penser à moi-même. Mais c’était une vie plus agréable que celle que j’avais connue.
A la mort du sage, il y a deux ans, j’avais assez de connaissances en magie. Peut-être trop pour un enfant de mon âge…
En tout cas, après avoir mangé toute la nourriture que possédait le sage, je suis parti. J’ai marché pendant des jours. Une autre surprise m’attendait en rejoignant la civilisation. Je ne savais pas parler. Pas un mot.

Ike : Soren…

Soren : Oh, je savais mieux lire et écrire que la plupart des villageois. Et je pouvais les comprendre. Mais je ne savais pas parler.

Ike : Ce n’était pas de ma faute. (*)

Soren : La femme et le sage me criaient des paroles dures, blessantes. Mais je n’avais jamais besoin de répondre.

Ike : Soren !

Soren : Hein ?
Oh… excuse-moi, Ike. Je n’aurais pas dû t’imposer ce récit absurde…

Ike : Non, ce n’est pas absurde ! C’est tragique ! Je n’ai jamais entendu d’histoire aussi triste !
Où est-ce arrivé ?
Etait-ce à Begnion ?

Soren : Non. Mais il y a pire !
Je ne t’ai pas tout dit…
Sur mes parents…
Non, ça suffit.
Je suis désolé. Excuse-moi…

Ike : Quoi, Soren ?
Soren ! Zut !



Ike/Soren A :


Ike : Hé, Soren.

Soren :

Ike : J’ai beaucoup pensé à ce que tu m’as dit l’autre jour, et il y a quelque chose qui m’échappe.
Tu as survécu. Tu es fort. Pourquoi as-tu peur de ce que tu es ?
Raconte-moi. Raconte-moi tout.

Soren : Va au diable ! Laisse-moi tranquille !
Je n’ai pas d’ami, Ike !
Je n’ai personne !
Si je te raconte, et que tu me rejettes…
Je… ne pourrais… pas m’en remettre.

Ike : C’est pourquoi il faut que tu me racontes.
Tu ne le diras à personne d’autre.
Et tu ne peux pas continuer à garder ça pour toi. Tu souffres trop. Regarde-toi ! C’est idiot ! Allez, parle-moi.

Soren : Ike… Je… Je…

Ike : Soren, c’est moi ! Fais-moi confiance. Je me moque de qui sont tes parents ! Tu es mon ami.

Soren : Ike, je… sniff. Non, je ne…
… Sniff… ah, Ike…
… Je suis… un Marqué.
Je suis l’un des Marqués.

Ike : Un Marqué ? Qu’est ce que c’est ?

Soren : Je suis né de l’union entre Beorc et Laguz.
Cette union est interdite par la déesse et la société. Nous sommes des intouchables, des abominations condamnées à vivre dans la honte, à l’écart des autres races.

Ike : Attends. Attends une seconde.
Que je sois sûr de bien comprendre…
Tu es à moitié laguz ?

Soren : Oui.
La marque sur mon front en est la preuve.
Je l’ai appris en faisant des recherches dans des livres sur la Cathédrale de Mainal.
Pour moi, c’était une marque de naissance. Certains croyaient que j’avais charmé un esprit et que c’en était la marque.

Ike : Que signifie charmer un esprit ?

Soren : La magie vient de l’interaction avec les esprits. En offrant ton corps à l’un d’eux, tu reçois un pouvoir énorme.
Mais ça a un prix.
C’est ça qui avait intéressé le vieux sage.
Il croyait que j’avais conclu un tel pacte.
En fait, je n’étais qu’un horrible Marqué.

Ike : Ah. Je comprends. Et donc ?

Soren : … Quoi, « Et donc » ?

Ike : Donc, tu as du sang laguz dans tes veines.
Donc, tu as une marque qui le prouve.
Donc… quel est le problème ?

Soren : Quel est le problème… ?
Je ne te fais pas horreur ?!
Je travaille avec toi, je mange avec toi.
Je ne suis rien ! Je n’ai nulle part où aller !
Ca ne te rend pas malade ?

Ike : Non. Cela ne change rien.
Tu es toujours Soren !
Tu es toujours un officier compétent de mon armée. Et mon ami. Ta présence à nos côtés est indispensable.

Soren : … Ike…
Je croyais…
Je croyais que tu…

Ike : Quoi ?

Soren : C’était à Gallia. Le sage vivait à Gallia.
Quelques Beorc s’y étaient installés…

Ike : Gallia, tu dis ?

Soren : À la mort du sage, personne ne m’a aidé. Je ne pouvais pas parler. Je ne trouvais rien à manger. J’étais en train de mourir.
Tu es le seul à m’avoir aidé.
Toi et ton père.
C’est pourquoi tu es mon ami.
Mon… seul ami.



(*) : Je n'arrive pas à comprendre ce passage. Est-ce que j'ai mal retranscrit ce passage quand je l'ai fait ? (ce qui me surprendrait, vu le soin maniaque que j'ai pris à noter les supports fidèlement, à la virgule près) ? Est-ce que, par erreur, ce passage était compris dans le speech de Soren, et n'est donc pas une réplique d'Ike ? Ou, est-ce que, finalement, c'est bien le bon truc, et est donc une erreur de programmation dans le jeu ? Tant que je n'aurai pas revu le Support sur ma 2nde partie, je ne pourrai pas dire.
Si quelqu'un peut éclaircir le problème, qu'il n'hésite pas à me le dire (par Mail, ou en créeant un topic ; pas dans ce topic-ci.)


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Jill/Mist C :


Mist : Ah, te voilà.

Jill : De retour, Mist ?

Mist : Oui. Parce que tu ne nous a pas rejoints pour le dîner. Encore !

Jill : Qui voudrait partager sa table avec un soldat de Daein ?!
Ca gâcherait le repas.

Mist : Mon frère dit que ça lui est égal.

Jill : Il dit ça…

Mist : Je suis heureuse que quelqu’un de mon âge voyage avec nous !
Alors viens, allons manger un morceau.

Jill : Je… ne peux pas. Désolée.

Mist : Je vois. Très bien.
Dans ce cas, je vais t’apporter ton repas !
Je reviens tout de suite !

Jill : Mais… attends une seconde !



Jill/Mist B :


Mist : C’est bon, Jill ?

Jill : Miam… oui, très bon.
Pourquoi ?

Mist : Parce que c’est moi qui l’ai fait !
Je suis ravie que ça te plaise.

Jill : C’est toi qui l’a fait ?

Mist : Oui. C’est le pain de viande, façon Mist !
C’est plein de bonnes choses ! Idéal quand on est malade.
Tu as l’air fatiguée et tu ne manges jamais, alors j’ai pensé que ceci t’aiderait à aller mieux.

Jill : Tu t’inquiètes pour moi ?
Pourquoi es-tu si… gentille avec moi ?
Je suis un soldat de Daein…

Mist : Hé, arrête de dire ça !

Jill : Pourquoi ? C’est pourtant vrai.

Mist : Parce que ça me met mal à l’aise, voilà !
Tu répètes sans cesse « Je suis un soldat de Daein ! Tout le monde devrait me haïr ! »
Tu n’es pas quelqu’un de mauvais, Jill.
Je veux être ton amie.
Et tu ne me facilites pas la tâche !

Jill : Mon… mon amie ?!



Jill/Mist A (Jusqu’au Chapitre 20 inclus)


Jill : Je peux te parler un instant, Mist ?

Mist : Bien sûr, Jill.

Jill : Mmm… en fait, je n’ai rien à dire…
Je… euh… voulais juste être avec toi.
Je me sens un peu seule.
Dis-moi si je t‘ennuie !

Mist : Non ! Non ! En fait, j’espérais te voir !
Parce que je me…
Sens un peu seule, moi aussi.
Je suis contente que tu sois là.

Jill : Génial !

Mist : Hi hi hi !

Jill : Mmm…

Mist : Euh…

Jill : Mmmm…

Mist : … Dis donc ! C’était quelque chose, non ?

Jill : Oh, oui ! Euh… quoi ?

Mist : La forêt de Serenes !
La façon dont Reyson et Leanne ont fait briller ces lumières et ramené la forêt à la vie !

Jill : Euh… oui…
C’était… sniff… sniff…
Bouh ouh ooouuuuh !

Mist : Oh, non ! Jill ! Pourquoi pleures-tu ?

Jill : Parce… que cela m’a fait comprendre… que les Laguz… ne sont pas mauvais !
J’avais faux sur toute la ligne.
Tout ce que… je croyais était…
faux !
Boouh ouuuuh aaaaaaah !!

Mist : Oh, Jill, non ! Ne pleure pas !
Ne… sniff… oh, non !
Ouiiiiiin !

Jill : Pourquoi… m’as tu menti, père ?
J’ai tellement souffert…
Si j’avais su la vérité dès le début.
Mon père m’a menti, Mist.
Il m’a menti pour faire de moi une guerrière impitoyable, digne de Daein.

Mist : C’est impossible !

Jill : C’est pourtant vrai.

Mist : Aucun père ne ferait ça à son enfant.
Il doit y avoir une autre raison !
S’il t’a menti… c’est qu’il croyait que c’était la meilleure solution !

Jill : Mist, tu ne…

Mist : Tu divagues, Jill ! Ce sont des sottises ! Je sais que tu te sens mal, mais douter de l’amour de ton père, c’est ridicule !
Parce qu’un père ne ferait…
Un père ne pourrait… oh, papa…
Sniff…

Jill : Mist ! Oh, Mist…
Je sais. Ca va aller…

Mist : Papa…
Papa !
… Bouh ouh aaaaah !

Jill : Mist, non ! Ne pleure pas !
Ne pleure pas, Mist !
… Mist ?

Mist : Bouh ouh aaah… sniff.
Oh, désolée…

Jill : Mist… Merci d’avoir parlé avec moi de mon père comme ça.
J’apprécie vraiment.

Mist : Jill…

Jill : Tu as raison… je divague.
Douter même une seconde de l’amour de celui qui m’a élevée avec tendresse…
Quelque chose ne va pas chez moi…
Mais… je dois choisir seule ma voie.
Je dois faire ce en quoi je crois !
Je suis sûre… que mon père comprendra.

Mist : J’en suis certaine, Jill.
Je le sais.



Jill/Mist A (A partir du Chapitre 21)


Jill : Je peux te parler une seconde, Mist ?

Mist : Bien sûr, Jill.

Jill : Mmm… en fait, je n’ai rien à dire…
Je… euh… voulais juste être avec toi.
Je me sens un peu seule.
Dis-moi si je t‘ennuie !

Mist : Non ! Non ! En fait, j’espérais te voir !
Parce que je me…
Sens un peu seule, moi aussi.
Je suis contente que tu sois là.

Jill : Génial !

Mist : Hi hi hi !

Jill : Mmm…

Mist : Euh…

Jill : Mmm…

Mist : … Oh, c’était quelque chose, non ?

Jill : Oh, oui ! Euh… quoi ?

Mist : La forêt de Serenes !
La façon dont Reyson et Leanne ont fait briller ces lumières et ramené la forêt à la vie !

Jill : Euh… oui…
C’était… sniff… sniff…
Ouiiiiiin !

Mist : Non, Jill ! Pourquoi pleures-tu ?

Jill : Parce… que cela m’a fait comprendre… que les Laguz… ne sont pas mauvais !
J’avais tort !
Tout ce que… je croyais était…
faux !
Boouh ouuuuh aaaaaaah !!

Mist : Oh, Jill, non ! Ne pleure pas !
Ne… sniff… oh, non !
Ouiiiiiin !
Tu es restée derrière parce que tu le savais, hein ? C’est pour cela que tu as quitté l’armée de Daein.

Jill : Je ne peux pas revenir en arrière…
Je sais que mon père a honte de moi…
Je suis sûre qu’il pense que je l’ai trahi.

Mist : C’est impossible !

Jill : C’est pourtant le cas.

Mist : Aucun père ne parlerait de sa fille comme ça. Jamais !
Peu importe combien de fois tu échoues, un père sourit, pardonne et dit : "Ce n’est pas grave !"
En outre… je suis sûre qu’il serait heureux de savoir que son enfant a choisi la voie qu’elle pensait être la bonne.
Parce qu’un père ne pourrait… Un père ne saurait… Oh, papa…
Sniff…

Jill : Mist ! Oh, Mist…
Je sais. Ce n’est pas grave…

Mist : Père…
Papa !
… Bouhouhou aaaaaah !

Jill : Mist, non ! Ne pleure pas !
Ne pleure pas Mist !

Mist : Bouhouhou… sniff… désolée…

Jill : Mist… je me sens bien quand tu es près de moi.

Mist : Vraiment ?

Jill : Le monde est impitoyable, glacial et… terrible. Mais tu me donnes la force d’avancer.

Mist : Oh, Jill… sniff…
Bouhouhou !

Jill : Je t’ai dit de ne pas pleurer…
Oh, non… sniff… sniff…
Bouhouhou !

Message édité le 01-12-2006 à 19:08:34 par AceNoctali


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Jill/Lethe C :


Jill : Mmm…

Lethe : Je peux t’aider ?

Jill : J’ai... une question.
Je peux te la poser ?

Lethe : Ca dépend de quoi il s’agit.

Jill : Pourquoi les sous-… euh…
Pourquoi les Laguz n’utilisent-ils aucune arme ?

Lethe :
Les Laguz sont des guerriers-nés.
Les armes sont ce que les Beorc sans défense ont crée pour contrer nos griffes. Elles ne sont d’aucune utilité pour nous.

Jill : Je vois…

Lethe : C’est tout ce que tu voulais savoir ?

Jill : Mmm… non. Pas tout à fait.
Pourquoi détestez-vous autant… les humains ?

Lethe : C’est une bonne question.
Mais j’aimerais te retourner la question.
Pourquoi les Beorc détestent-ils les Laguz ?

Jill : C’est parce que les sous-… euh… les Laguz sont nos ennemis.

Lethe : Vos ennemis ?!
Si c’est le cas, nous vous détestons aussi.
Comme nous haïssons tous nos ennemis.
Fin de la discussion.

Jill : Attends…



Jill/Lethe B :


Jill : Euh… Lethe ?

Lethe : Oh, regardez ce que le vent nous amène ! Te revoilà.

Jill : Jill… je m’appelle… Jill.

Lethe : Bien, Jill. Qu’est ce que tu veux ?

Jill : J’ai réfléchi à certaines choses, mais je n’arrive pas à tout comprendre.
Tu vois, à Daein, on nous apprend que vous êtes des sauvages qui attaquez les humains sans distinction et sans pitié.

Lethe : Que les Laguz attaquent les humains ? Grrrr ! Quel tissu de mensonges !
Nous détestons les humains et nous faisons tout pour les éviter. Même vous attaquer serait… désagréable.

Jill : Mais à Daein, tout le monde pense que c’est la vérité !
Voilà pourquoi… je ne me suis jamais posé la question.
Quand je t’ai vue combattre aux côtés de Ike et d’autres humains, j’ai compris que quelque chose clochait.
Tu es si différente de ce que j’imaginais ! Depuis que je suis jeune, on me parle de vos terribles griffes et de vos dents.
Mais vous marchez et parlez comme nous. Vous faites même des blagues ! Parfois… Vous nous ressemblez tant !

Lethe : Très heureuse de l’entendre.

Jill : Je me demande pourquoi les humains et les sous-humains ont commencé à se battre ? Peut-être était-ce simplement le destin.

Lethe : Eh bien, je ne suis pas sûre de savoir.
Je ne peux dire si la déesse en a décidé ainsi, ou si nos deux races ne sont simplement pas faites pour s’entendre.
Mais je sais que Gallia, Phoenicis et Kilvas ont bien des raisons de haïr les humains.

Jill : Quelles raisons ?

Lethe : … Tu es sérieuse ? Les humains n’étudient-ils pas l’histoire à l’école ? C’est incroyable…
Bon, très bien. Il y a des siècles, au temps où Begnion était une monarchie, il n’existait que deux nations : Begnion et Goldoa.
Goldoa était déjà une nation isolée, peuplée seulement de dragons. Tous les autres Laguz vivaient à Begnion, avec les humains.

Jill : Les humains et les sous-humains vivaient autrefois ensemble à Begnion ?!
Je l’ignorais…

Lethe : Le premier roi était un humain, mais ce sont les Laguz qui ont régné le plus souvent, du fait de leur supériorité physique.
Malgré l’accord de l’opinion générale sur cet arrangement, les sénateurs refusaient de l’accepter. Au nom de l’apôtre, ils ont déclaré que seul un humain pouvait prendre la tête de Begnion.
C’était le début de la guerre civile.
Les rois laguz, trop confiants et sans expérience, avaient sous-estimé la situation. Nous n’avions pas la moindre chance.
La supériorité des armes et de la magie humaines avait pris par surprise mes frères, qui subissaient défaite après défaite.
… C’était le début d’une ère bien sombre et bien triste…
Le début de l’esclavage des Laguz.

Jill :

Lethe : Après 200 longues années, nombre d’esclaves laguz sont parvenus à échapper à leurs geôliers humains de Begnion.
Le peuple félin s’est enfui dans les montagnes, s’enfonçant dans les secteurs où les humains répugnaient à aller.
Le peuple oiseau, lui, est parti vers les lointaines îles du sud. C’est ainsi que sont nés les royaumes laguz.
Il a fallu encore 80 ans et le sang de nombreux Laguz pour qu’on nous accorde enfin officiellement le statut de nations.
C’est la raison de notre combat, de notre haine des humains qui ne veulent pas que d’anciens esclaves soient leurs égaux.
Les Laguz portent encore la honte de l’esclavage en eux, et se battent pour une liberté que vous trouvez naturelle.
Voici l’histoire de Tellius. Pas étonnant que les humains cherchent à l’enterrer.

Jill : Je ne sais pas quoi…

Lethe : Tu ne sais pas quoi dire ? Idiote !
Réfléchis ! Pense à ce que je viens de dire.
Pense à ce que tes yeux ont vu et tes oreilles entendu.
Si tu n’es pas capable de ça, ne t’avise plus jamais de venir me parler !

Jill : Mmm… entendu…



Jill/Lethe A :


Lethe :

Jill : Ohé, Lethe ! J’ai réfléchi à ce que tu as dit, et…
Lethe : On dit que le chevalier dragon à Darleka était ton père. Pourquoi ? Pourquoi es-tu restée avec nous ?
Préférer une bande de mercenaires à son propre père ?!

Jill : … Ce sont les caprices du destin.
Si je n’avais pas connu le commandant Ike et ses mercenaires…
Si je ne vous avais pas connus, vous, les Laguz…
… je me battrais pour Daein aujourd’hui.
J’aurais été fière d’être un soldat de Daein et j’aurais offert à ma vie à Ashnard.
Je n’aurais pas hésité à vous combattre. Mais aujourd’hui, je connais la vérité…

Lethe : … Et ?

Jill : Ce n’est plus comme la fois où j’ai traqué votre bateau depuis le port de Toha, dans l’espoir de faire plaisir à mon père.
Quand je vous ai rejoints, je l’ai fait de mon propre gré. Pour la première fois, j’ai choisi ma voie toute seule.
Même si ma décision me force à affronter mon propre père… il est trop tard pour faire marche arrière.
C’est pourquoi… je suis là.

Lethe : Tu veux bien… me serrer la main, Jill ?

Jill : Quoi… ?

Lethe : On m’a dit… que les hum… les Beorc avaient l’habitude de se serrer la main en signe d’amitié.
Je… comprends.
Je salue ta décision et j’admire la force qu’il t’a fallue pour la prendre.

Jill : Lethe… euh… oui.
Bien sûr. Serrons-nous la main !

Lethe : Si nous faisons l’effort de nous écouter les uns les autres et de coopérer…
… les Beorc et les Laguz pourraient vivre en paix.
J’en suis persuadée.


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Rhys/Mia C :


Mia : Oh… c’est toi ? TOI ? Rhys ?!
Bon, je ne vais pas faire la difficile.
Yaaaaah ! Prends cette arme !

Rhys : Oh, bonjour, Mia. C’est quoi ?
Une épée ? Oui, ça en a l’air…
Ouf ! C’est lourd !

Mia : Ah ! Qui aurait cru que ce serait toi ?
C’est plutôt amusant.
Maintenant… prépare-toi ! En garde !

Rhys : Aaaaaah ! Attends ! Arrête ! Je t’en prie !
Dis-moi ce qui se passe !
Je ne sais pas me servir d’une arme !

Mia : Quoooi ?! Oh, Allons !
Tu sais quand même t’en servir un peu, non ? Bien !

Rhys : Non ! Je n’ai jamais utilisé d’arme.
Mais si tu veux, je peux la tenir pour toi.
Mmmm… on la tient comme ça, non ?

Mia :
Oh, comme c’est décevant !
On m’a tiré les cartes l’autre jour, et on m’a prédit que je rencontrerais bientôt mon pire ennemi !
« Vêtu d’une robe blanche flottant dans le vent, ton pire rival vient vers toi… »
Oh, j’avais tellement hâte !

Rhys : Mmm… Désolé de te décevoir.
Mais je suis sûr que ce n’est pas moi.

Mia : Ah, ce n’est pas de ta faute, Rhys.
J’avais tellement hâte d’affronter mon rival que lorsque je t’ai vu…
j’ai cru que ça pouvait être toi.

Rhys : Mm… je peux rester là à tenir l’épée, si tu veux frapper quelques coups.

Mia : Non, oublie ça. Je ne veux pas que tu te blesses. Tant pis…
Zut !



Rhys/Mia B :


Rhys : Oh, bonjour Mia. Mm…
Tu ne vas pas encore me lancer une épée, n’est ce pas ?

Mia : Hein ? Oh, salut, Rhys.
J’espérais rencontrer quelqu’un aujourd’hui… Et devine quoi ? Te voilà !

Rhys : Ahhh ! Pitié ! Pas de nouvelles prédictions !
Ecoute, je ne voulais pas t’interrompre.
Laisse-moi m’en aller…

Mia : Non ! Reste-là ! J’avais sans doute tort.
Les tireurs de cartes ne peuvent peut-être pas prédire l’avenir, après tout.
Dommage ! Celui-là avait pourtant une bonne réputation.
Attends… peut-être que…

Rhys : Oui ?

Mia : Tu veux t’entraîner avec moi, Rhys ?

Rhys : Hein ?

Mia : Oh, comment ne l’ai-je pas vu avant ? Tu as le potentiel d’un grand guerrier ! Tu ne le sais pas encore, c’est tout.
Tu possèdes d’extraordinaires capacités. Et quand tu les auras développées, tu pourras enfin m’affronter ! Toi, mon rival !

Rhys : Ah ! Aaaah… Je ne crois pas que ce soit possible, Mia.
Même si… j’admets avoir voulu être un guerrier, quand j’étais petit.

Mia : Ah ! Je le savais ! On ne renonce pas à un talent comme le tien, juste parce qu’on a une petite santé !
Tu dois essayer.
Je vais t’entraîner moi-même. Nous allons commencer par voir les bases.

Rhys : Tu… vas m’entraîner ?

Mia : Bien sûr ! Même si celui que j’entraîne sera un jour mon pire ennemi !
Ne perdons pas de temps !



Rhys/Mia A :


Mia : Euh… Ecoute, je suis vraiment désolée.
Je crois que j’y suis allée un peu fort.

Rhys : Non… je voulais être épéiste.
Je me suis bien amusé…
Enfin… avant que j’aie des crampes.
Oooh, ces crampes… aaaaaah…

Mia : Tu es sûr que ça va ? Cela fait des jours que tu as de la fièvre ! Tu vas vraiment aller au combat dans cet état ?

Rhys : Ca va aller. Je ne vais pas trop en faire.
J’apporterai mon soutien aux autres depuis l’arrière.
Et puis, tu veilleras sur moi, non ?

Mia : Bien sûr ! Je me sens responsable de ta sécurité. Je garde toujours un œil sur toi, pour m’assurer que tu tiens bon.
Tu sais, j’ai réfléchi…
Et… mm… j’ai décidé de ne plus croire les tireurs de cartes.

Rhys : Peut-être… que le sens des prédictions n’était pas clair…

Mia : Balivernes ! Assez d’excuses ! Ce n’est qu’un tissu d’inepties !
Mais, attends une seconde…
« Vêtu d’une robe blanche flottant dans le vent, ton pire rival vient vers toi… »
« Vient vers toi… »
Se pourrait-il que ce soit un guerrier à cheval et non un épéiste ?

Rhys : Hein ?

Mia : Tu devrais essayer l’équitation, Rhys. Oui, c’est ça ! On se déplace beaucoup plus facilement à cheval.
Cela ne te plairait-il pas davantage ?

Rhys : Quoi ?! Moi, à cheval ?

Mia : Oui ! Tu portes du blanc, aussi ! Ne crois-tu pas que tu aurais fière allure à cheval ?
Brandissant ton bâton du haut de ta monture, moi chevauchant à tes côtes !

Rhys : Arrête, Mia…

Mia : Très bien, c’est décidé ! Nous devons t’entraîner !

Rhys : Attends ! Tu te trompes de personne…

Mia : Non, pas du tout. Tout cela était écrit !

Rhys : Vraiment ?

Mia : Oui ! Je ne vois personne d’autre pouvant partager mon destin !

Rhys : Ton destin ?! Attends… je croyais qu’il s’agissait de ton pire rival !

Mia : Peu importe les détails ! Je compte sur toi, Rhys !


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Rolf/Marcia C :


Rolf : Prêt… en joue !

Marcia : Hé ! Rolf, ça va ?
Que fais-tu ici, tout seul ?

Rolf : J’exerce mes talents d’archers ! Tu vois ? Je place une cible quelque part et je tire.
J’entoure mes flèches d’un tissu pour éviter les accidents. Depuis… ce malheureux incident avec la marmotte…
Eh bien, je m’efforce juste de rester le plus près possible de la cible. Ce n’est pas la meilleure façon de s’entraîner, mais bon.

Marcia : Ah, c’est mignon ! Tu t’entraînes dur pour un petit bonhomme !

Rolf : Hé ! Je ne suis pas petit !
Je suis un dangereux mercenaire !

Marcia : Oui, c’est vrai. Bien sûr.
Ca ne te fait rien si je m’entraîne avec toi ?

Rolf : Ce n’est pas utile. Je me débrouille très bien tout seul.

Marcia : Pfff ! Je te proposais juste mon aide.
Tu sais… j’appartenais autrefois à la chevalerie de l’un des plus puissants royaumes.
Je sais aussi me servir d’un arc.
Les chevaliers pégases ont peur des archers plus que de tout autre chose.

Rolf : Vraiment ? Eh bien… tu ferais bien de faire attention ou je vais te plumer !

Marcia : Ah ! Une bien grande bouche, pour un petit gars ! Je t’aime bien !
Hé, tu ferais bien de jeter un œil autour de toi pour vérifier que tu ne risques pas de blesser quelqu’un avant de commencer.

Rolf : Je SAIS ! Je ne suis pas un bébé !

Marcia : Oh là ! Bon, très bien !
Qu’il est susceptible…



Rolf/Marcia B :


Marcia : Incroyable ! Tu as touché la cible vingt-six fois de suite !

Rolf : Oui, mais mon but, c’était trente fois.

Marcia : C’est un but assez difficile à atteindre, et tu y es presque arrivé !
Tu deviens un excellent archer, Rolf !

Rolf : Mais je ne peux pas me permettre de rater ma cible au combat. C’est ce que m’a dit celui qui m’a enseigné le tir…
Vingt-six fois, ce n’est pas assez.

Marcia : Tu cherches à te surpasser, Rolf. C’est admirable.

Rolf : N’es-tu pas stricte avec toi-même Marcia ?

Marcia : Hem ? Qui, moi ? Pfff ! Bien sûr !
Je me fixe des règles draconiennes !
« Etre aussi dur avec soi-même qu’avec les autres ! » : c’est ce que m’a appris mon ancien commandant.
Mais tu es encore…

Rolf : Un enfant ? Je ne suis plus un enfant !
J’ai cessé d’être un enfant au moment où j’ai pris ma première vie.

Marcia : … Je comprends. Tu as dû grandir vite en voyageant avec un groupe de mercenaires aussi endurcis que ceux-là.

Rolf : Tu t’inquiètes parce que je suis jeune ?

Marcia : Eh bien… oui. Ca t’étonne ?

Rolf : Arrête ! Je peux me débrouiller seul.
Je suis assez fort.

Marcia : C’est vrai. Désolée de t’avoir sous-estimé.



Rolf/Marcia A :


Marcia : Toutes tes flèches ont touché la cible !

Rolf : Toucher la cible n’est pas suffisant.
Mon maître m’a dit que je devais être capable de viser l’espace entre les plaques qui composent l’armure.

Marcia : C’est presque impossible ! Mais peut-être qu’un jour tu seras assez fort pour ça.
Attends… Rolf, fais-moi voir tes mains.

Rolf : Mes mains ?

Marcia : Oh ! Tu as des ampoules plein les mains ! Et tu saignes !
Pourquoi continues-tu à t’entraîner ?
Tu es devenu fou ?!

Rolf : Au début, ça me faisait mal, puis après un moment, je n’ai plus rien senti.
J’ai donc continué à m’entraîner.

Marcia : Mais, Rolf !
Tu es courageux, je dois l’admettre.
Attends. Je dois avoir une potion quelque part. Là, je l’ai.
Ca risque de piquer un peu.

Rolf : Merci. OOOOOUUUIIIILLLLE !!!
Hé, ça fait mal !

Marcia : Ce n’est rien pour un dangereux mercenaire comme toi. Hein, Rolf ?

Rolf : Un dangereux mercenaire ?
Tu le penses vraiment ?

Marcia : Oui, et pas seulement pour tes talents d’archer. Tu es tenace.
Tu es si concentré pour toucher tes cibles que tu ne sens même pas la douleur.
Peu de gens sont aussi déterminés.

Rolf : Tu crois que ça veut dire que je pourrais faire la différence ? Que je pourrais protéger mes amis s’ils sont en danger ?

Marcia : Je vais te dire une chose : l’ennemi a intérêt à rester hors de portée de tes flèches, ou il va le regretter !

Rolf : Merci, Marcia. Je promets de te protéger également.

Marcia : Rolf… je veillerai sur toi, moi aussi.
Pourquoi… ah zut…
Fallait-il vraiment que tu grandisses si vite ?

Message édité le 01-12-2006 à 18:48:36 par AceNoctali


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Mist/Rolf C :


Mist : Rolf ! Oh, te voilà !

Rolf : Mist ! Tu me cherchais ?

Mist : Oui. Je voulais te parler.
Nous n’avons pas eu l’occasion de parler depuis notre premier combat.

Rolf : Je suis content de te voir en bonne santé. Nous avons réussi à rester en vie.

Mist : Oui… Nous avons eu de la chance.

Rolf : Mon cœur battait tellement fort, et mes mains tremblaient tant qu’une de mes flèches a failli toucher l’un de nous.

Mist : Hi hi hi ! Heureusement qu tu as raté ta cible, sinon, tu aurais eu de sérieux ennuis !
J’étais… terrifiée. J’entendais les gens crier, les soldats à l’agonie hurler… Tout cela m’a donné la nausée.

Rolf : Je n’ai pas eu peur du tout.
J’étais peut-être un peu nerveux. Mais finalement, j’ai presque fini par toucher mes cibles !

Mist : Tu n’as même pas eu un peu peur ?

Rolf : Non. J’ai hâte de me battre à nouveau. Je serai bien meilleur la prochaine fois. Je me payerai une bonne brochette d’ennemis !
A plus tard, Mist. Je dois m’entraîner !

Mist : Oh, Rolf !
Rolf…



Mist/Rolf B :


Rolf : Viser… et lâcher !

Mist : Je peux te parler un moment, Rolf ?

Rolf : Bien sûr. Mais attends que je bande mon arc.
Il vaut mieux se tenir prêt au cas où des vilains de Daein voudraient nous attaquer par surprise.

Mist :

Rolf : Alors… que voulais-tu, Mist ?

Mist : Ne prenons plus part aux combats, Rolf.
Les enfants ne devraient pas faire la guerre.

Rolf : Hein ? Pourquoi dis-tu ça maintenant ?

Mist : Je veux vivre comme les autres enfants. Si c’est ça la vie d’adulte, alors je préfère rester une enfant.

Rolf : Tu as raison, Mist. Si les combats te font peur, tu n’as pas à te battre. Ne t’en fais pas, je me battrai pour toi !

Mist : Ce n’est pas ce que je voulais dire ! Tu dois arrêter de te battre !
Tout cela n’a aucun sens.

Rolf : Je ne peux pas.
Je suis un homme maintenant. Je dois massacrer mes ennemis, défendre les miens…

Mist : Massacrer nos ennemis ? Tu réalises ce que tu dis ? Il ne s’agit pas de vulgaires insectes ! Ce sont des êtres humains !

Rolf :

Mist : Tu comprends ce que je dis, Rolf ?
Nos ennemis sont humains, comme toi et moi. Ce ne sont pas des cibles en papier.

Rolf : Je ne veux pas parler de ça.

Mist : Rolf !

Rolf : Je ne veux pas en parler ! Compris ?!
Ils veulent nous faire du mal ! Nous tuer !
J’essaie juste de les empêcher.
Je ne fais que protéger les miens.

Mist : Attends… Rolf ! Oh… écoute-moi…



Mist/Rolf A :


Mist : Rolf.

Rolf :

Mist : Arrête de m’ignorer ! Parle-moi, s’il te plaît ! Je t’en prie…

Rolf :

Mist : Je ne t’en veux pas.
Je voulais juste que tu comprennes…
Tous nos ennemis ne sont pas des monstres. Certains ont juste choisi le mauvais camp.

Rolf : Et tu croyais que je ne le savais pas ?

Mist : Quoi ? Non…

Rolf : Nous ne nous battons pas contre des cibles. Je connais la différence. Les cibles ne se tordent pas de douleur. Les cibles ne se vident pas de leur sang.
J’ai compris ça la première fois que j’ai touché quelqu’un.
Ce sont des guerriers comme nous.

Mist : Rolf…

Rolf : Mais il y a une différence. Ils cherchent à faire du mal à ceux que j’aime. C’est pour ça qu’ils sont mes ennemis. Voilà pourquoi je n’hésite pas à les tuer. Si j’en laisse un seul en vie, il fera tout son possible pour tuer ceux que j’aime.
Je… ne veux pas que ça arrive.
Je me battrai jusqu’à la fin de la guerre.

Mist : Rolf !

Rolf : Je ne veux pas qu’il t’arrive quelque chose !
Je… ne veux plus perdre un être cher.
… Boooouh ouh ouh…

Mist : Je suis désolée, Rolf !
Vraiment désolée…

Rolf : Boooouh ouh ouh…
… Sniff… sniff…

Mist : J’ai cru que tu avais changé.
Tu étais un garçon si gentil.
J’ai cru que tu étais devenu dur et que tu n’avais plus de respect pour la vie.
Je suis désolée… Je n’avais pas compris ce que tu ressentais. Tu voulais tellement protéger les autres.

Rolf : Un jour, tout ça s’arrêtera.
Je veux juste voir ce jour arriver.

Mist : Moi aussi, Rolf. Moi aussi…


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   Posté le 13-02-2006 à 20:44:43   Voir le profil de Windspirit (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Windspirit   

Elincia/Geoffrey C :

Elincia : Hum...

(Geoffrey apparaît)

Geoffrey : Vous cherchez quelqu'un, Votre Altesse ?

Elincia : Geoffrey. Je suis contente de vous voir.

Geoffrey : Puis-je faire quelque chose pour vous ?

Elincia : En fait, oui. J'ai une petite faveur à vous demander.

Geoffrey : Demandez-moi tout ce que vous voulez, Votre Altesse.

Elincia : Vraiment tout ce que je veux ?

Geoffrey : Oui, tout ce que vous voudrez.

Elincia : Très bien. Alors voilà... Geoffrey... je veux que vous me laissiez seule quand je me bats sur le champ de bataille.

Geoffrey : Comment ?! Sans protection ? Mais vous savez que je ne peux pas faire ça...

Elincia : Ne discutez pas. C´est un... ordre. Obéissez !

(Elincia part)

Geoffrey : Mais... Votre Altesse.



Elincia/Geoffrey B :

Geoffrey : Votre Altesse... Je vous en supplie ! Réfléchissez.

Elincia : ... ... ...

Geoffrey : Je sais que vous êtes fâchée que je désobéisse à vos ordres, mais… N'est-il pas irraisonné de vous laisser seule et sans défense ? Je suis un chevalier royal. Il va de mon devoir et de mon honneur de chevaucher à vos ordres et de vous défendre sur le champ de bataille.

Elincia : ... ... ...

Geoffrey : Votre Altesse, je vous en prie...

Elincia : Voudriez-vous toujours me défendre si je vous dépossédais de votre titre ?

Geoffrey : Me déchoir de mon titre de chevalier ?!

Elincia : ... ... ...

Geoffrey : Je n'aurais pas cru que vous vouliez m’éviter à ce point.

Elincia : Non, Geoffrey. Ce n'est pas ça…

Geoffrey : Je n'aurais peut-être pas dû en parler, mais tout ce que je voulais, c'était faire honneur à mon serment en vous protégeant. Je suis désolé…

(Geoffrey part)

Elincia : Attendez, Geoffrey ! Geoffrey !



Elincia/Geoffrey A :

Elincia : J'ai écouté ce que vous aviez à dire, Geoffrey. Maintenant, c’est à vous de m'écouter.

Geoffrey : À vos ordres...

Elincia : Vous vous battez avec trop d'ardeur et vous prenez trop de risques pour me protéger.

Geoffrey : N'est-ce pas là le rôle d’un chevalier ?

Elincia : Mais vous vous mettez en danger !

Geoffrey : C'est vrai. J'ai senti plusieurs fois la morsure de l'acier en vous protégeant, mais je le referai sans aucune hésitation.

Elincia : Vous m'aviez pourtant promis que vous ne mettriez pas inutilement votre vie en danger pour me protéger. J'ai l'impression que vous n'accordez que peu de prix à votre vie.

Geoffrey : Mais... Votre Altesse !

Elincia : Je sais que vous pensez que je devrais rester au camp, allongée sur des coussins de soie. Mais... Je ne peux pas le supporter... Voir un être cher mourir devant mes yeux est au-dessus de mes forces. Vous savez maintenant pourquoi je vous ai demandé cette faveur.

Geoffrey : Je ne sais pas si vous comprenez ce que vous représentez pour la troupe. Savez-vous à quel point vous avez galvanisé les soldats de Crimea, depuis que vous vous battez à leur côtés ? La princesse mène la charge elle-même ! Elle ne demande pas aux soldats de risquer leur vie sans risquer la sienne. Ils vous adorent. C'est la raison de nos victoires. Ils combattent avec une férocité qu'aucune autre armée peut égaler. Ils gagneront à tout pris.

Elincia : ... ... ...

Geoffrey : J'admets m’être battu imprudemment. Je l'ai fait car vous étiez à mes côtés. Je savais que vous auriez été là, si j’avais été grièvement blessé.

Elincia : Mais… Ne suis-je pas juste un fardeau ?

Geoffrey : Désormais, je ne peux plus imaginer de me battre sans vous. Si ma vie vous est chère, alors continuez à vous battre. Menez-nous à la victoire !

Elincia : Oh, Geoffrey. Je suis désolée de vous avoir causé autant de tourment. Je ne vous avez pas compris. Je suis... si immature.

Geoffrey : J'ai désobéi à vos ordres. Ce n’est pas non plus à mon honneur.

Elincia : Je vous causerai sûrement d’autres ennuis, mais je vous demande de rester à mes côtés.

Geoffrey : Votre Altesse… Ma vie et mon épée vous appartiennent !
Hermion
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   Posté le 28-08-2006 à 17:37:16   Voir le profil de Hermion (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Hermion   

Titania / Mist C

Titania : Tu fais une lessive, Mist ?
Attends, laisse-moi t’aider.

Mist : Oh, non, non !
Je t’en prie, tu as combattu toute la journée !

Titania : Nous avons tous été très occupés, et toi aussi.
Alors, laisse-moi t’aider avec ça…
Waouh, voilà un gros tas de linge !

Mist : Oui, je fais la lessive pour tout le monde, tant que j’y suis.
Je me suis dit que c’était une bonne façon de remercier les autres pour leur aide.

Titania : Eh bien, voilà une charmante attention.
Mais n’en fais pas trop non plus, d’accord ?
Oh, celle-là est déchirée.

Mist : Oh, c’est à mon frère.
Ces vieux trucs ont vu trop de combats.
Regarde !
Ca tombe en lambeaux !
À la prochaine ville, je le force à acheter une chemise.
Un commandant se doit d’être présentable.

Titania : À ce propos, laisse.moi voir ce vieux truc que tu portes.
La manche est décousue. Tu vois ?

Mist : Hé, tu as raison !

Titania : Ce n’est pas réparable.
Ton frère n’est pas le seul.
Tu as aussi besoin de nouveaux vêtements.
Nous irons ensemble, toi et moi.

Mist : Je ne sais pas.
Il y a tant à faire par ici.
Je ne suis pas sûre d’avoir vraiment le temps…

Titania : Je te le répète, Mist, tu te surmènes.
Tout le monde apprécie tes efforts, mais tu dois te détendre !

Mist : Oui, mais…
Les tâches ménagères m’aident à me détendre !
Quoi ?
Pourquoi ce regard !

Titania : Mist, c’est absurde . je suis sérieuse.
Tu dois prendre un peu de temps pour toi.
Nous irons bientôt en ville ensemble.

Mist : Oh, très bien !





Titania / Mist B


Mist : Je suis désolée pour l’autre jour, Titania.
Je me suis bien amusée, même si je n’en ai pas donné l’impression…

Titania : Ne t’en fais pas, Mist !
Tu avais l’air affreusement sérieuse tout le temps, mais cela n’a fait que confirmer à quel point tu avais besoin de repos.

Mist : Et j’étais contente de voir la ville.
Je n’avais jamais rien vu de tel !
Mais je n’a rrêtais pas de penser aux corvées qui m’attendaient…

Titania : Tu te démènes trop pour les autres, Mist.
Tu as tendance à faire passer tes besoins après ceux des autres.
Tu es comme Elena, de ce point de vue.

Mist : Ma mère ?

Titania : Oui. Tu lui ressembles beaucoup.
Mais tu sais, Mist, tu es encore jeune.
Tu n’as pas à assumer les responsabilités des adultes si tôt.
Je me fais du souci pour toi.

Mist :
Oh, arrête…
Titania ?
Merci…

Titania :
Non, Mist.
Merci à toi.





Titania / Mist A

Titania : Viens par ici un instant, Mist.

Mist : Qu’y a-t-il, Titania ?

Titania : Tiens.
Voilà un petit cadeau de ma part.

Mist : Hé, mais c’est la robe que j’ai vue l’autre jour en ville.
Ouuuuuh, je l’adore !

Titania : Je le savais.
N’es-tu pas contente que nous ayons fait cette excursion ensemble ?

Mist : Oh, merci, Titania.

Titania : Ce n’est rien, Mist.
C’est ma façon de te remercier pour tout ce que tu as fait.
Pour te dire la vérité, j’étais un peu inquiète pour toi.
Tu te charges des tâches ménagères, et tu aides tout el monde sur le champ de bataille.
C’est trop t’en demander.
C’est pourquoi je veux m’assurer que tu prends aussi du temps pour toi, que tu te fais plaisir de temps à autre.

Mist : Titania…

Titania : Ecoute, Mist.
Je sais que Ike et toi êtes proches, mais s’il y a une chose dont tu n’oses pas lui parler, n’hésite pas à venir me voir.
Je ne suis pas Elena, mais tu comptes vraiment beaucoup pour moi.

Mist : Je… n’y manquerai pas.
Merci… c’est très gentil de ta part, Titania.
Hi ! hi ! hi !
Oh, cette robe est vraiment trop belle pour moi…
Hermion
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   Posté le 28-08-2006 à 17:44:06   Voir le profil de Hermion (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Hermion   

Stefan / Soren C

Stefan : …

Soren : Qui va là ?

Stefan : N’ayez crainte.
Je … suis des vôtres.

Soren : Des nôtres ?
C’est peu probable.

Stefan : Oui, des vôtres.
Je vois que vous prétendez être quelqu’un que vous n’êtes pas et que vous vivez parmi les étrangers.

Soren : Je… euh…

Stefan : Mmmm… je vois que je vous ai troublé.
Je vous laisse réfléchir à ce que j’ai dit.
La prochaine fois que nous nous croiserons, assseyons-nous pour parler.

Soren : …


Stefan / Soren B

Soren : …

Stefan : Vous n’êtes pas à votre place parmi cette bande de Beorc, n’est-ce pas ?
Vous détonnez.

Soren : Oh, c’est encore vous.

Stefan : Rejoignez la colonie du désert de Granne.
D’autres y vivent.
D’autres comme vous.
Vous savez… les Marqués.

Soren : Je ne sais pas de quoi vous parlez, mais vous me mettez dans une position gênante.
Je suis ici chez moi, merci.

Stefan : Je vois.
Eh bien, dans ce cas, je n’insisterai pas.

Soren : …


Stefan / Soren A

Stefan : Cette guerre sera bientôt finie.
Pourquoi continuer à prétendre que vous êtes quelqu’un d’autre ?

Soren : Pourquoi recommencez-vous avec ça ?
Je ne sais pas de quoi vous parlez !

Stefan : Vous êtes un Marqué.
Aucun doute là-dessus.
Je le sais.
Je suis comme vous.

Soren : …

Stefan : Vous avez appris à bien le cacher.
Mais ce n’est qu’une question de temps avant que votre héritage ne devienne… évident.

Soren : …Evident ?

Stefan : Vous avez peut-être commencé à vous en apercevoir : nous ne vieillissons pas comme les Beorc.
Bien sûr, le phénomène varie suivant le type de sang laguz qui coule dans vos veines.

Soren : Je croyais que je vieillissais normalement.
Enfin, jusqu’à il y a trois ans.

Stefan : Vous en pourrez pas rester ici.
Les Beorc ne sont peut-être pas très observateurs, mais ils finiront par s’en rendre compte.

Soren : C’est peut-être vrai… mais je n’abandonnerai pas Ike.

Stefan : …
Quand le moment sera venu, vous le saurez.
Vous devrez alors aller au désert de Granne.
Vous avez des amis là-bas.

Soren : …
AceNoctali
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   Posté le 01-12-2006 à 18:40:30   Voir le profil de AceNoctali (Offline)   Répondre à ce message   http://www.pixalgo.com/   Envoyer un message privé à AceNoctali   

Astrid/Makalov C :


Astrid : Bonjour, messire.

Makalov : Hein ? C’est à moi que tu parles ?

Astrid : Oui, messire. Mon nom est Astrid.
Puis-je vous demander votre nom, bon sire ?

Makalov : Je ne suis pas vraiment chevalier, alors, ne m’appelle pas "messire".
Et tu peux me tutoyer !
Je suis Makalov. Enchanté.

Astrid : Moi aussi, Makalov. A propos.
Tu as laissé tomber ces fleurs.

Makalov : Ah ! Je n’avais pas remarqué…

Astrid : Elles sont si jolies !

Makalov : Pas mal pour quelques fleurs sauvages poussant dans un fossé, non ?

Astrid : Tu les as ramassées toi-même ?
C’est si adorable, Makalov.

Makalov : Mmm… eh bien… comment dire…
Je les ai ramassées pour ma sœur.

Astrid : Tu es un frère si attentionné ! Je ferais mieux de te les rendre, alors…
Les voilà !

Makalov : Je t’en prie, prends-en une ou deux.

Astrid : Des fleurs ? Tu es sûr ?

Makalov : C’est ma façon de te remercier de les avoir ramassées.
Et puis, elles te vont bien.
Maintenant, si tu veux bien m’excuser, je dois partir…
(Makalov s’en va.)

Astrid : Merci !
Oh, Makalov…



Astrid/Makalov B :


Astrid : Bonjour, Makalov.

Makalov : Hé, Astrid. Nos chemins n’arrêtent pas de se croiser ces derniers temps ! Tu crois que c’est le destin ?

Astrid : Je ne sais pas. Mais… je serais heureuse si c’était le cas.

Makalov : En parlant du destin…
J’ai une petite faveur à te demander.

Astrid : Qu’est ce que c’est ? Si je peux faire quelque chose pour toi, ce sera avec plaisir !

Makalov : Eh bien, je voulais savoir… si… tu pouvais me prêter un peu d’argent.

Astrid : De l’argent ?

Makalov : Oui ! Juste cinq cent écus ! C’est tout.

Astrid : Je crains de ne pas pouvoir t’aider.
Je n’ai pas un sou en poche.

Makalov : Quoi ?! Même pas une piécette ?
Comment as-tu fait pour tout dépenser ?!

Astrid : La dernière fois que je suis allée en ville, j’ai tout donné à une famille démunie.
Elle n’avait rien mangé depuis des jours…

Makalov : QUOI ?! Mais c’est de la folie !
Si tu te sens charitable, pense à aider un de tes camarades plutôt qu’une famille d’inconnus !
Qu’est ce qui t’a pris ?!

Astrid : Je suis désolée. Je ne me doutais pas que tu étais dans le besoin.

Makalov : Ahhhh ! Bien. Je vais taper quelqu’un d’autre.

Astrid : Attends… juste un moment.

Makalov : Mmmm ?

Astrid : Ceci peut-il t’aider ?

Makalov : Waouh ! Hé, mais il est magnifique !
Ce pendentif doit coûter une fortune…
Tu es sûre que je peux le prendre ?

Astrid : Je t’en prie. Tout ce qui pourra t’aider.

Makalov : Waoouuh ! Merci, Astrid ! Tu es la meilleure !
A plus tard !

Astrid :



Astrid/Makalov A :


Astrid :

??? : Hé ! Astrid !

Astrid :
(Makalov apparaît, et Astrid se retourne pour lui faire face.)
Bonjour, Makalov.

Makalov : Euh… bon… écoute.
Laisse-moi te rendre ceci.

Astrid : Quelque chose ne va pas avec mon pendentif ?

Makalov : Non ? Pas du tout ! Ce gros joyau tout seul va déjà chercher dans les 5000 écus.

Astrid : Alors, pourquoi me le rends-tu ? Tu n’avais pas désespérément besoin d’argent ?

Makalov : Eh bien, c’est comme ça. En allant au mont-de-piété, devine qui j’ai vu ?
Mon idiote de sœur !
Elle m’a demandé où j’avais eu ça !
Elle s’est énervée et s’est mise à me crier dessus ! Elle pensait que je l’avais volé.

Astrid : Mais je te l’ai donné, Makalov.

Makalov : Bien sûr ! Et c’est ce que je lui ai dit ! Mais elle n’a rien voulu savoir. Elle a hurlé que je t’avais arnaquée et m’a traité d’escroc !
Alors, je suis venu te le rendre avant qu’elle ne me frappe tape (*) sur la tête avec sa lance.

Astrid : Je vois.

Makalov : Tu as beaucoup de chance, tu sais.
Tu peux te permettre de donner un bijou très cher comme d’autres du pain !
Ma sœur ne possède même pas un collier bon marché, alors un bijou de cette classe !
La déesse est injuste. Elle n’aide que l’aristocratie.

Astrid : Je suis… désolée…

Makalov : Hé, je ne voulais pas que tu t’excuses.

Astrid : Mon pendentif valait vraiment autant ?
Je… ne le portais que parce qu’il me vient de ma chère grand-mère. Elle me l’a donné quand j’étais enfant. Je ne pensais pas…

Makalov : Quoi ! C’est un souvenir de famille ?!
Pourquoi m’as-tu donné une chose à laquelle tu tiens tant ?

Astrid : C’est juste un objet. Le souvenir de ma grand-mère restera à jamais gravé dans mon cœur, même si je donne le pendentif.
Je pensais qu’il valait mieux le donner à quelqu’un qui en avait vraiment besoin.

Makalov : Tu… es si… bonne.
Ecoute, je suis vraiment désolé !
Je ne suis qu’un escroc. J’ai essayé de te prendre de l’argent pour aller jouer.
Ah, Astrid ! Je ne suis qu’un minable !
Je ne vaux pas plus qu’un tas d’ordures !
Je t’en prie, pardonne-moi !

Astrid : Oh, Makalov… je ne suis pas fâchée.

Makalov : Ton pardon est encore plus grand que celui de la déesse !

Astrid : Oh… c’est absurde.

Makalov : Je suis sérieux ! Tu es le symbole même de la grandeur d’âme !

Astrid : Arrête de te moquer de moi ! Quand un homme raffiné comme toi me regarde comme ça… oh, je me sens si…
… si embarrassée.

Makalov : Hein ? Un homme raffiné ? Moi ?

Astrid : Oh non. Qu’est ce que j’ai dit…
Excuse-moi ! Je dois y aller !
(Astrid s’enfuit.)

Makalov : Qu’est ce que c’était que ça ?
L’éducation qu’elle a reçue ne l’a pas beaucoup éclairée sur les hommes.


(*) Recopiant mot pour mot les textes de supports du jeu, j’ai reproduit l’erreur de texte du jeu. Je pense qu’ils voulaient mettre ou « frappe », ou « tape », pas les deux à la fois, et qu’ils ont oublié de corriger.



Astrid/Makalov A (Marcia morte) :


Astrid :

??? : Hé ! Astrid !

Astrid :
(Makalov apparaît, et Astrid se retourne pour lui faire face.)
Bonjour, Makalov.

Makalov : Euh… écoute… …
Laisse-moi te rendre ceci.

Astrid : Quelque chose ne va pas avec mon pendentif ?

Makalov : Non ! Pas du tout ! Ce gros joyau tout seul va déjà chercher dans les 5000 écus.

Astrid : Alors, pourquoi me le rends-tu ? Tu n’avais pas désespérément besoin d’argent ?

Makalov : Eh bien, c’est comme ça. En allant au mont-de-piété, devine qui j’ai vu ? IKE ! Que faisait-il là, je l’ignore…
Bref, il m’a demandé où j’avais eu ça. Et quand je lui ai dit, il est devenu furieux ! Il m’a dit combien c’est mal de voler, etc.

Astrid : Mais je te l’ai donné, Makalov.

Makalov : Quand je lui ai dit, il s’est mis encore plus en colère ! Il m’a même dit que Marcia aurait honte de moi. Quel coup bas !
Donc, je crois qu’il vaut mieux que je te le rende avant qu’il envoie Soren dans ma tente pour me transformer en crapaud…

Astrid : Je vois.

Makalov : Tu as beaucoup de chance, tu sais.
Tu peux te permettre de donner un bijou très cher comme d’autres du pain !
Ma sœur ne possédait même pas un collier bon marché, alors un bijou de cette classe !
La déesse est injuste. Elle n’aide que l’aristocratie.

Astrid : Je suis… désolée…

Makalov : Hé, tu n’as pas à t’excuser.

Astrid : Mon pendentif valait vraiment autant ?
Je… ne le portais que parce qu’il me vient de ma chère grand-mère. Elle me l’a donné quand j’étais enfant. Je ne pensais pas…

Makalov : Quoi ! C’est un souvenir de famille ?!
Pourquoi m’as-tu donné une chose à laquelle tu tiens tant ?

Astrid : C’est juste un objet. Le souvenir de ma grand-mère restera à jamais gravé dans mon cœur, même si je donne le pendentif.
Je pensais qu’il valait mieux le donner à quelqu’un qui en avait vraiment besoin.

Makalov : Tu… es si… bonne.
Ecoute, je suis vraiment désolé !
Je ne suis qu’un escroc. J’ai essayé de te piquer un peu d’argent pour aller jouer.
Ah, Astrid ! Je ne suis qu’un minable !
Je ne vaux pas plus qu’un tas d’ordures !
Je t’en prie, pardonne-moi !

Astrid : Oh Makalov… je ne suis pas fâchée.

Makalov : Ton pardon est encore plus grand que celui de la déesse !

Astrid : Oh… c’est absurde.

Makalov : Je suis sérieux ! Tu es le symbole même de la grandeur d’âme !

Astrid : Arrête de te moquer de moi. Quand un homme raffiné comme toi me regarde comme ça… oh, je me sens si…
… si embarrassée.

Makalov : Hein ? Un homme raffiné ? Moi ?

Astrid : Oh non ! Qu’est ce que j’ai dit ?!
Excuse-moi ! Je dois y aller !
(Astrid s’enfuit.)

Makalov : Qu’est ce que c’était que ça ?
L’éducation qu’elle a reçue ne l’a pas beaucoup éclairée sur les hommes.


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« Quand tu veux pleurer, pleure sans retenue. Tu te sentiras bien mieux après. Et tu pourras rire de nouveau. »
Rosette Christopher, Chrno Crusade (Tome 1).
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Mia/Largo C :


Mia : Waouh ! Regardez-moi ces gros bras !

Largo : Mmmm ? Mes bras ?

Mia : Ils sont énormes ! Au fait, je suis Mia.
Je suis une épéiste à la recherche de son pire rival. Tu veux t’entraîner ?

Largo : M’entraîner ? Avec toi ?
Mmmm… je ne sais pas trop.

Mia : Comment ça tu ne sais pas ?

Largo : Je ne sais pas si j’ai envie de m’entraîner avec une fille.

Mia : Mais je suis une épeiste de talent !
Un tourbillon de grâce et d’acier !

Largo : Je ne sais pas comment dire ça, mais…
Ne devrais-tu pas te consacrer à des tâches plus douces que le combat à l’épée ?
Par exemple… le tricot ? Ou la cuisine ?
Tu pourrais devenir mage…

Mia : Tu crois que je ne peux pas me battre ? J’espère que tu ne dis pas ça parce que je suis une femme.

Largo : Eh bien…

Mia : Très bien, tu l’auras cherché !
En garde !

Largo : Euh… je voulais juste dire que les gens devraient être plus pacifiques.
Oui… c’est ça. Hé, j’ai une idée !
Voyons qui tricote le mieux.

Mia : Assez parlé ! Bats-toi !



Mia/Largo B :


Mia : Hé, Largo !

Largo : Oh, c’est toi. Euh…
Excuse-moi pour ce que j’ai dit l’autre jour.
Mes bras et mes jambes le regrettent aussi.
Oh… ces hématomes…

Mia : Oublie-les. Tu sais pourquoi je suis là !

Largo : Hein ? Pourquoi ?! Pitié, ne me fais pas mal !

Mia : Vraiment ? Je suis juste venue pour m’entraîner un peu !
Je cherche toujours mon pire rival !

Largo : Tu veux encore te battre ? Je sais que tu aimes t’entraîner, mais là, tu exagères !

Mia : Tu insinues que je ne peux pas gagner à nouveau parce que je suis une femme ?

Largo : Quoi ?! Non ! Je n’ai jamais dit ça ! Noooooon ! Je ne veux pas m’entraîner avec toi !

Mia : Je sais très bien ce que tu veux dire !
Alors, prépare-toi à subir la colère de mon épée d’entraînement !
(Mia plisse ses paupières.)
Et si après ça, tu n’as toujours pas compris, on recommencera demain !

Largo : Hé… tout ceci est un malentendu !
Je ne peux pas me battre à nouveau contre toi. Regarde mes hématomes !

Mia : (déplisse ses paupières.) Tu aurais dû y penser avant de débiter des âneries sur la supériorité masculine.
Prépare ta hache !

Largo : Mais je n’ai rien dit du tout !
Oooh, très bien.
Je vais encore souffrir demain…

Mia : Ah ! Je vais y aller doucement !



Mia/Largo A :


Mia : Tu t’es battu… avec plus de force… cette fois ! Qui a gagné d’après toi ?

Largo : C’était serré, mais à mon avis, c’est toi.

Mia : Tu es sûr ?

Largo : Oui, je suis claqué.

Mia : Tu n’as pas retenu tes coups parce que je suis une femme, hein ?

Largo : Pas du tout. Mais je ne suis pas de taille contre ton talent à l’épée.

Mia : … Ooooh… je suis vannée !
Je vais aller me reposer un peu.

Largo : Attends. Je sais que tu es fatiguée, mais je peux te poser encore une question ?

Mia : Bien sûr.

Largo : Pourquoi te surmènes-tu comme ça ?

Mia : Mia : Parce que j’ai trop souvent entendu que les femmes ne devaient pas se battre.
J’ai quelque chose à prouver.

Largo : Oh… je comprends.

Mia : J’accepte de perdre contre quelqu’un de meilleur techniquement.
Quand ça arrive, je m’entraîne davantage et j’essaie d’acquérir une plus grande expérience du combat.
Ainsi, je connais la raison de ma défaite.
C’est que quelqu’un s’est entraîné plus dur que moi. Et quand ça arrive, je m’entraîne pour obtenir ma revanche.

Largo : Ahhh…
Maintenant, je comprends mieux d’où vient ta force !
Il ne suffit pas de soigner ses blessures.
Je dois suivre ton exemple, m’entraîner et revenir te défier quand je serai prêt.

Mia : Quand ?

Largo : Hein ?

Mia : Tu as dit que tu voulais ta revanche.
Quand veux-tu la prendre ? Tu veux que je te donne une autre chance, non ?

Largo : Ah ah ah ! Je suis impressionné !
Il va falloir que je continue à t’affronter jusqu’à ce que je gagne !

Mia : Quand tu voudras, Largo !


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Nephenie/Calill C :


Calill : Hem ? Hé, toi là-bas !
Attends !

Nephenie : … ?

Calill : Pourquoi cacher son visage avec un casque aussi démodé, quand on a ta beauté ?
Le monde doit connaître tes charmes !
Ce serait un péché de les cacher !
Un crime contre la nature !
Oh, et où est ton fard ?

Nephenie : Euh… je ne suis pas vraiment portée sur le maquillage.

Calill : … Non ? Et d’où viens-tu ?

Nephenie : Je viens… de pas très loin.

Calill : Quel manque de sociabilité ! Mais on ne dupe pas Calill aussi facilement ! Je connais la raison de ton silence. Ton fort accent campagnard et ton manque d’éducation te gênent, n’est-ce pas ?

Nephenie : Comment as-tu…

Calill : Comment j’ai deviné ?
Eh bien, j’ai connu une… personne qui avait le même problème.

Nephenie : Toi ? Mais tu viens de la ville !
Et tu es tellement…

Calill : Elégante ? Oui, c’est vrai. Absolument.
Oh, mais j’ai une idée excellente !
Je vais faire de toi une dame !
De toute façon, une compagnie aussi pauvre que la tienne me ferait regretter la ville.
Je t’apprendrai aussi à te maquiller !

Nephenie : Je…
Je ne suis…

Calill : Tsss ! Une dame ne dit pas ces choses-là ! Je vois qu’il va y avoir du travail…
Bien, laisse-moi faire, mam’selle !

Nephenie :



Nephenie/Calill B :


Calill : Oh, re-bonjour ! Comment vas-tu ?
Tu as étudié ta grammaire ?
Hum… voyons voir ce maquillage.

Nephenie : Calill…

Calill : Chut ! Lève le menton… plus haut !
Oui… Pas mal. Un peu léger peut-être…
Mais ce casque doit disparaître !

Nephenie : Ah, il vaut mieux que je le garde.
Tout le monde va me dévisager, si je l’enlève.

Calill : Pourquoi donc mam’selle ?
Finirais-tu par croire à ton pouvoir de séduction ?

Nephenie : Oh, j’sais pas…

Calill : Tss ! Une dame ne dit pas : “j’sais pas” !
Et c’est un mensonge éhonté, qui plus est.
Regarde-toi ! Tu es magnifique !
Un visage divin, une silhouette de rêve, et tu veux cacher ça sous ton armure ?
Oooh ! J’en suis malade de jalousie !

Nephenie : Mais j’peux pas… je veux dire…
Je ne peux pas avoir ta prestance.
Je ne suis qu’une fille de la campagne…

Calill : Oui, ça a l’air pénible de toujours faire attention à l’image que l’on donne de soi.
Mais je vais te dire un secret : les gens de la ville sont froids et égoïstes ! Ils ne pensent qu’à eux !

Nephenie : Mais pas toi, Calill !
Tu es gentille.

Calill : Moi ? Oh. Mm… j’imagine que oui.
Peut-être que tous les gens de la ville ne sont pas froids et égoïstes…
Ne baisse pas les bras, Nephenie !
Tu as du charme ! Tu seras le sujet des discussions mondaines très bientôt !

Nephenie : Merci.




Nephenie/Calill A :


Calill : Oh ? Qu’y a-t-il dans ce sac ?
Tu dois livrer quelque chose, Nephenie ?

Nephenie : Non, j’ai vu qu’il y avait des noix de caja dans les arbres du coin…

Calill : Ah, je vois. Et à quoi ressemble une noix de caja, exactement ?

Nephenie : Elles sont délicieuses ! On utilise l’huile de la coquille contre les piqûres d’insectes.

Calill : Oh ? J’ignorais qu’une telle chose existait. Bien sûr, on ne trouve pas ce type d’arbres en ville. La nature regorge de mystères !
Oh, voilà que je radote !
Je peux avoir une de tes noix ?

Nephenie : Oui, bien sûr, mais… fais attention !
La coquille est vraiment poisseuse !
Ne mets pas tes mains dessus.

Calill : Ah, je vois. Mais peut-être que si je tiens la coquille par les côtés… je n’aurai pas d’huile sur les doigts.

Nephenie : Quoi ?
Comment as-tu… ?

Calill : Mmm… délicieux !

Nephenie : … Tu ne viens pas de la ville du tout !

Calill : Chut ! Tu n’as rien vu !
Ne suis-je pas une citadine sophistiquée ?

Nephenie :

Calill : Quoi ? Surprise ? Oh, allons !
Tu n’es pas la seule à vouloir cacher tes origines paysannes.
Voilà pourquoi je sais ce que tu ressens.

Nephenie : Oh… mais… maintenant, je sais que je peux être comme toi…
si je travaille dur. Ca me rend heureuse.
Je vais… travailler dur, Calill.

Calill : Hourra ! Elle a compris !
Il ne te reste plus qu’à trouver un homme à épouser !


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Titania/Rhys C:


Titania: Comment te sens-tu, Rhys?
Rhys: Bien. Ni fièvre ni tremblements aujourd’hui! Merci de t’inquiéter.
Titania: Tu sais, je pensais au jour de notre première rencontre. Ca fait presque un an aujourd’hui.
Rhys: Ah, vraiment? Oui, c’est vrai! C’est fou comme le temps passe!
Titania: Bien sûr, je ne me souviens pas très bien de notre première rencontre, puisque j’étais inconsciente! Ah!
Tu t’en souviens? Je ne sais pas pourquoi nous n’avions pas de bâton de soins. Affronter les bandits sans bâton? Pas malin!
Rhys: Une chance que je t’ai trouvée. Je ne vais pas aussi loin dans la forêt d’habitude, mais je cherchais des herbes médicinales.
Titania: Oui, ces bandits étaient coriaces… Leur repaire se trouvait tout près de notre village, en fait.
Ca me revient maintenant… Ils étaient plus forts que je ne l’avais cru.
Presque tous ont été vaincus sans trop de mal, mais l’un d’eux s’enfuit dans les bois. J’ai fait l’erreur de le poursuivre.
Mon cheval s’est empêtré dans la végétation, et ce bandit en a profité… Par chance, Shinon est arrivé à temps.
Rhys: Gatorie et Shinon étaient très inquiets quand ils t’ont ramenée chez mes parents.
Titania: Vraiment? Je ne le savais pas. Mmm… Je n’aurais pas cru que Shinon pouvait s’inquiéter pour quelqu’un…
Mais ils sont restés avec moi jusqu’à ce que mes blessures guérissent.
Tu sais, sans ton secours, je ne crois pas que j’aurais été capable de manier une hache à nouveau! Je te remercie.
Rhys: Non, c’est moi qui te remercie d’avoir convaincu Greil de m’engager! Maintenant, je peux envoyer de l’argent à mes parents.
Ils sont si âgés qu’ils ne peuvent compter que sur moi.
Titania: Tes parents ont été très gentils. En particulier ta mère. Elle a préparé sa tarte aux baies sauvages!
Pour les remercier, je protégerai leur fils unique, quoi qu’il arrive.
Rhys: Oh, j’apprécie, Titania!

Titania/Rhys B:

Rhys: Tu t’entraînes encore?
Titania: Oui. Je deviens nerveuse si je ne m’entraîne pas tous les jours… Yaaaaaah! Aaaaaah! Aaaah!
Rhys: Ca t’ennuie si je m’entraîne avec toi un petit peu?
Titania: Quoi? Tu veux t’entraîner? Vraiment? Non, bien sûr que ça ne me dérange pas. Mmm… pourquoi?
Rhys: J’espérais apprendre à me défendre seul. J’ai horreur d’être un fardeau pour les autres.
Titania: Rhys! Tu es un guérisseur, pas un combattant. Ce n’est pas de ta faute.
Je ne crois pas que tu saches dans quel sens on prend une épée! Peut-être…
Rhys: Oui, Titania?
Titania: Je pensais juste que tu serais plus heureux si tu ne m’avais pas sauvée. Tu vivrais encore en paix avec tes parents.
Rhys: Oh, je ne crois pas. Cette vie était dure. Je ne suis pas très costaud, et il n’y avait que peu de travail pour moi au village.
Mes parents s’inquiétaient sans cesse à mon sujet. J’étais toujours malade et je n’arrêtais pas de me faire mal…
Ils n’ont accepté de me laisser vous suivre que parce que votre groupe était fort! Ils ont pensé que je serais en sécurité.
Titania: … Il doit bien y avoir du travail pour toi là-bas! Tu pourrais être pêcheur. Ou jardinier! Tu aimes les plantes?
Rhys: Oh, je m’ennuierais à mourir! Titania… j’aime ce que je fais maintenant. Je ne veux pas renoncer.
Enfant, j’étais frêle et je ne sortais pas beaucoup. Je restais généralement à la maison quand les autres enfants jouaient.
Toutes ces années, mon oncle m’a pris sous son aile. Il était mercenaire.
Il racontait des histoires incroyables sur ses voyages exotiques et ses batailles épiques. C’est ce qui m’a donné envie de venir.
Titania: Je ne le savais pas!
Rhys: C’est rigolo, non? Tu sais, je ne devrais pas dire ça, mais…
Parfois, quand les combats se succèdent, j’éprouve une sensation de bien-être. J’ai l’impression d’avoir une famille.
Titania: Je suis contente de l’entendre. Tu es un des éléments-clés de ce groupe, Rhys.

Titania/Rhys A:

Rhys: Bonjour, Titania. Je peux encore m’entraîner avec toi, aujourd’hui?
Titania: Bien sûr, viens! On dirait que tes forces reviennent. Tu as meilleure mine.
Rhys: Oui. Et c’est grâce à toi.
Titania: Oh, je n’ai pas fait grand-chose.
Dis, Rhys… que penses-tu de Ike?
Rhys: Ike? Oh, tu veux certainement avoir mon opinion sur l’homme, pas sur ses talents de combattant…
Eh bien, malgré son apparence et ses accès de colère occasionnels, Ike peut être très attentionné.
Et par-dessus tout, il est déterminé et courageux. Il a la force de transformer les idéaux en réalité.
Je pense que c’est lui qu’il fallait pour conduire les mercenaires de Greil.
Titania: Je suis d’accord avec toi. Mais il est encore jeune.
Il lui reste beaucoup à apprendre, et je me demande comment ces épreuves vont le transformer. En fait, je m’inquiète un peu.
Rhys: Pourquoi cela?
Titania: Notre groupe va encore s’agrandir, et il aura bientôt à faire des choix difficiles, et aussi résister à certaines tentations.
Oh, nous allons nous enrichir. Mais on nous demandera d’effectuer des choses risquées, et certains seront blessés. Ou pire.
Et pour nourrir un groupe de cette taille, il va bien falloir prendre des risques.
Rhys: Le commandant Greil avait à faire face aux mêmes problèmes, non?
Titania: Oui, mais Greil… était différent. Les mercenaires de Greil étaient connus pour être d’une espèce particulière. On travaillait parfois gratuitement. Et nous avons aidé un grand nombre de gens en puisant dans nos propres fonds.
Rhys: Je pense que Ike partage le même idéal que le commandant Greil.
Titania: Oui, moi aussi. … J’en suis persuadée.
Ike trouvera toujours un combat à mener. Il choisira toujours la bonne voie. Il n’aura pas besoin de mes conseils.
Nous devons seulement faire confiance à Ike et le suivre… jusqu’au bout.
Rhys: Tout à fait.
Marthur
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   Posté le 16-02-2007 à 21:12:00   Voir le profil de Marthur (Offline)   Répondre à ce message   http://mdo.mogkupo.free.fr/   Envoyer un message privé à Marthur   

Oscar/Kieran C:

Oscar: Hé, Kieran. Comment ça va?
Kieran: Qu’est-ce… Oscar! Un nom méprisable! Ne me salue pas aussi courtoisement! Je ne suis pas dupe!
Oscar: Qu’ai-je encore fait?
Kieran: Oh oh oh! Ne me dis pas que tu as oublié notre deuxième année d’enrôlement! L’année de notre formation de cavalier?
Durant la course de fin d’année, mon fidèle destrier et moi n’avions pas fait une faute, et tu as gagné d’un poil!
Oscar: Hein? Oh, tu parles de cette course où tu m’avais défié?
Oui, c’était une bonne course. Mais je croyais t’avoir distancé d’au moins trois longueurs.
Kieran: Ah! MENTEUR! Scélérat! Depuis ce jour, tu as cessé d’être mon ami pour devenir mon rival! Avoue!
Oscar: Euh… waouh. Je ne savais pas...
Kieran: Mais pourquoi!? Je veux savoir pourquoi tu as quitté les chevaliers de Crimea sans une explication!
Je me suis entraîné nuit et jour avec mon cheval! J’ai travaillé dur pour battre mon rival!
Et à cause de ça… Je n’ai réalisé que tu étais parti que six mois plus tard! Délinquant! Renégat!
Oscar: Attends une seconde… Kieran. Pourquoi est-ce de ma faute?

Oscar/Kieran B:

Kieran: Oscar!!!
Oscar: Hé, Kieran. Toujours dans les parages, hein?
Kieran: Ca a assez duré! Reviens! Rejoins les rangs de la glorieuse confrérie des chevaliers de Crimea!
Oscar: C’est si soudain…
Kieran: En tant qu’ancien chevalier de Crimea, il doit bien te rester un peu de loyauté, non? Rejoins-nous! Pour le roi et le pays!
La patrie est en danger! Tout ancien chevalier de Crimea devrait voler à son secours!
Oscar: C’est vrai. Et je suis heureux de pouvoir aider à reconstruire notre patrie, même si c’est comme mercenaire.
Kieran: Je ne dis pas ça pour te faire plaisir! Tu dois reprendre ta place!
Tu n’honores pas ton allégeance au royaume de Crimea en restant mercenaire! Comment peux-tu dormir la nuit?
Oscar: J’aime Crimea, mais je suis heureux ici. Je veux rester un mercenaire de Greil pour continuer à servir Ike toute ma vie.
Kieran: Parbleu! Pourquoi? Qu’est-ce qui te motive tant?
Qu’est-ce qui rend la vie de mercenaire si attrayante pour que tu sois prêt à renier ta loyauté envers Crimea?
Ah ah! Serait-ce la paye? C’est donc ça! Je me souviens que tu avais besoin d’argent! Oh, la cupidité!
Oscar: Si c’était pour l’argent, je serais resté avec les chevaliers de Crimea. Je gagne deux fois moins aujourd’hui.
Kieran: Quoi? Réveille-toi! Ne vois-tu pas que c’est un marché de dupes?! L’honneur! La fortune! La gloire! Tu peux tout avoir!
Oscar: J’en doute.
Kieran: Bah! Tu es désespérant!
Oscar: Qui est désespérant…?

Oscar/Kieran A:

Kieran: Oscar!!!
Oscar: Bonjour, Kieran. Vas-tu encore me demander de réintégrer les chevaliers de Crimea?
Kieran: Tu as deviné! Je suis un chevalier de Crimea et extrêmement fier de l’être! Il n’existe pas meilleur ami! Ni pire ennemi!
Un chevalier se distingue au combat; il est porté en triomphe à son retour par le peuple et félicité par son seigneur!
Si tu te fais un nom comme chevalier, tout le monde te connaît! Le monde est à tes pieds!
Et par-dessus tout, tu as l’honneur de défendre Crimea et son peuple de tes propres mains!!!
Oscar: C’est effectivement tentant.
Kieran: C’est mieux que la vie de mercenaire, à chevaucher avec des hors-la-loi, à participer à des combats perdus d’avance!
Pourquoi, Oscar? Pourquoi?! Je ne comprends pas!
Oscar:
Kieran: Tu es mon rival! C’est un honneur! Je connais ta vraie valeur mieux que quiconque.
Si tu dis que tu veux revenir, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour appuyer ton retour parmi nous!
Oscar: Merci, Kieran. Mais je n’ai pas l’intention de revenir.
Etre avec les mercenaires m’a offert la chance de voir le monde. J’ai vu les pires souffrances.
Le peuple écrasé par les puissants. Le désarroi de ceux qui ont tout perdu. Un pays ne s’occupe pas de ces problèmes.
C’est à nous, les mercenaires, qu’il incombe d’aider ceux qui ne peuvent se défendre eux-mêmes.
Et puis, je ne combats pas pour l’honneur. Tant que je peux défendre celui des mercenaires de Greil, je suis heureux.
Kieran: Ah… zut! J’ai encore échoué! Comment est-ce possible?
Je ne sais ni pourquoi ni comment, mais… j’ai l’impression d’avoir encore échoué!
Oscar: Tu n’as pas échoué. Les chevaliers comme toi peuvent faire des choses que les mercenaires ne pourront jamais faire.
Alors, faisons de notre mieux tous les deux. Nous sommes peut-être différents, mais nous partageons le même idéal.
Kieran: Je vois. Bien, je ne t’embêterai plus!!!
Regarde-moi! Lorsque Crimea sera reconstruite, on parlera de mes exploits pendant des siècles!
Où que tu sois, tu entendras parler de moi! Je te le promets!
Oscar: … Oui, j’en suis sûr. Et quand j’entendrai tes exploits, je lèverai mon verre à ta santé!
Marthur
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   Posté le 20-02-2007 à 21:25:57   Voir le profil de Marthur (Offline)   Répondre à ce message   http://mdo.mogkupo.free.fr/   Envoyer un message privé à Marthur   

Mist/Mordecai C:

Mist: Oh, non! Reviens ici, toi!
Mm. Où est-ce qu’il peut bien être? J’aurais juré qu’il était tombé quelque part par ici…
Mordecai: C’est ça que tu cherches?
Mist: Oh! Mordecai… tu m’as fait peur.
Mordecai: Désolé de t’avoir effrayé. J’ai trouvé ceci. Tu l’avais perdu?
Mist: Oh, je… Oui, c’est… J’avais mis du linge à sécher sur un fil, et la brise a emporté un de mes foulards…
Merci, Mordecai.
Mordecai: Je t’en prie.
Mist: Euh… Mordecai?
Mordecai: Oui?
Mist: Oh, euh… eh bien … Non… rien.
Mordecai: Si tu le dis. Je dois te laisser maintenant.
Mist: Ahhh… mais qu’est-ce que j’ai? Pourquoi je n’y arrive pas.
Pourquoi ne suis-je pas comme Ike? Il est si naturel, toujours détendu. Je ne peux pas continuer à paniquer comme ça.

Mist/Mordecai B:

Mist: Bonjour, Mordecai!
Mordecai: Tu es une fille pleine d’énergie, tu sais?
Mist: Oui ! Je suis de bonne humeur aujourd’hui.
Mordecai: Je suis ravi de l’entendre.
Mist: Et puis, c’est vrai que je suis de nature joviale. Je n’aimerais pas être celle qui se plaint sans arrêt, tu vois? Ah ah…
Euh… et j’aime aussi cuisiner. Oh, mais je ne suis pas bonne couturière, mais ma mère l’était.
Mordecai: Ah.
Mist: Et… hum… j’ai oublié ce que je voulais dire.
Mm, euh… Euh…
Mordecai: Mist. Tu dois respirer.
Mist: … AAAAAAH! Pffff! Désolée! Je vais mieux maintenant…
Mordecai: Tu es nerveuse. Tu n’as pas parlé à beaucoup de Laguz avant. Ca se voit.
Mais dans ton cœur, tu cherches à être mon amie. Je le vois clairement.
Très clairement.
Mist:
Mordecai: Ne sois pas nerveuse. Avec le temps, nous deviendrons amis.
Et pour être franc avec toi, je suis nerveux moi aussi.
Mist: Oh, Mordecai…
Oui… merci. Je me sens beaucoup mieux, enfin…
Tu as raison. Je ne devrais pas faire tant d’efforts, n’est-ce pas?
Mordecai: Graow.

Mist/Mordecai A:

Mist: Oh, Mordecai. Quelque chose ne va pas?
Mordecai: Tu as vu ton frère, Mist?
Mist: Oh, il est avec Titania et les autres, mais je pense qu’il sera bientôt là.
Mordecai: Ah. Et vous… vous entendez bien ton frère et toi?
Mist: Je crois… enfin, aussi bien que la plupart des frères et sœurs, tu vois?
Mordecai: Ike est un bon Beorc. Il a été gentil avec moi, alors qu’il ne me connaissait pas.
C’est un Beorc, mais je le considère comme un frère laguz.
Mist: Ah ah ah. Oui, il a toujours été un peu bizarre, n’est-ce pas?
Mordecai: Ah? Ca n’a pas d’importance. J’aime beaucoup Ike.
Mist… ne te moque pas, mais je voudrais te dire quelque chose.
Mist: Quoi donc?
Mordecai: Quand je t’ai rendu ton foulard, ma main tremblait de peur.
Mist: Toi? Tu avais peur?
Mordecai: Oui. J’avais peur de t’avoir effrayée. J’avais peur que tu partes en courant. J’étais… terrifié.
Mist: Waouh… je n’aurais pas cru! Hi hi hi. C’est VRAIMENT drôle.
Nous avons beaucoup de choses en commun, toi et moi, tu ne trouves pas?
Mordecai: Oui. Nous partageons beaucoup de choses.


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Legend of the Galactic Heroes
Marthur
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   Posté le 20-02-2007 à 21:31:25   Voir le profil de Marthur (Offline)   Répondre à ce message   http://mdo.mogkupo.free.fr/   Envoyer un message privé à Marthur   

Rolf/Shinon C:

Rolf: Oncle Shinon! Attends, oncle Shinon!
Shinon: Que veux-tu, Rolf?
Rolf: Hi hi hi ! Regarde ça!
Shinon: Pourquoi me montres-tu ceci? C’est juste un morceau de bois courbé.
Rolf: Non, Shinon. C’est un arc!
Tu m’as donné mon premier arc, et je voulais te remercier! Je le taille petit à petit.
Ce n’est pas exactement le meilleur arc au monde, mais… j’espère que tu t’en serviras!
Shinon: Euh. Peut-être qu’en le modifiant un peu… je pourrais… appeler ça un… arc.
Ce truc va casser à la première flèche que je tirerai! Tu veux que ça m’arrive sur le champ de bataille?
Rolf: Je… Je ne…
Shinon: Regarde, d’abord ce n’est pas ce bois qu’on utilise. Celui-ci est beaucoup trop dur et manque de souplesse.
Tu te souviens de l’arc que je t’ai donné? Il ne ressemblait pas à celui-ci, hein?
Rolf: Mais… j’ai travaillé si dur! Il devrait être comme le tien!
Shinon: Ce n’est pas du tout le cas.
Rolf: Non. Pas même un peu? … Ouinnnnnnnnn! Ouinnnnnnnnnnnnn!
Shinon: Ah, stop! Arrête de hurler! Laisse-moi te donner une petite leçon.
Rolf: Quooooi? Vraiment?! Promis? Oh, je suis si content! Youpi! Youpi! Je t’adore, oncle Shinon!
Shinon: Oui, oui, je te le promets. Maintenant, arrête de t’accrocher à moi. Non, sérieusement! Rolf …

Rolf/Shinon B:

Rolf: Regarde, regarde, oncle Shinon! Ca ressemble plus à un arc, maintenant?
Shinon: Oui, on doit pouvoir… appeler ça un arc. A condition de fermer les yeux.
Rolf: Alors, tu vas l’utiliser?
Shinon: Pas question! Je ne veux pas mourir.
Rolf: Quoi? Comment?! Oh, très bien! Je vais m’en servir moi-même.
Shinon: Oh, pour l’amour de… Rolf! Attends!
Rolf: Quoi?
Shinon: Donne-moi cet arc.
Rolf: Tu as changé d’avis?
Shinon: Oui. J’ai soudainement ressenti le besoin étrange de le prendre.
Rolf: Vraiment? Parfait! Waouh! Le voici, oncle Shinon!!
Shinon: Merci. Hum… à plus tard.
Rolf: Waouh! Je suis sûr qu’oncle Shinon va l’adorer! Ce sera son arme préférée! Mais je veux le voir s’en servir…
Je vais le suivre. Hi hi hi! J’arrive, oncle Shinon!

Rolf/Shinon A:

Shinon: Fais-toi une raison, Rolf.
Rolf:
Shinon: Oh, allez! C’était la meilleure chose à faire.
Rolf:
Shinon: Pff! Quelle tête de mule. Si tu continues, je m’en vais!
Rolf: TU AS JETE MON ARC!!!
Shinon: Ecoute, Rolf. Si je t’avais laissé aller sur le champ de bataille avec cet arc, tu te serais fait tuer.
Je t’ai sauvé la vie… Tu peux me remercier! Tu comprends?
Rolf: Oui, je le sais, oncle Shinon, mais… J’avais mis tout mon cœur dans cet arc! Je voulais juste te faire plaisir.
La première fois que je suis allé au combat, j’avais si peur que mes jambes tremblaient.
Mais quand j’ai tenu l’arc que tu m’avais offert, cela m’a redonné courage. Et je me suis dit: "Rolf! Tu peux y arriver!"
Tu m’as tout appris! C’est grâce à toi que je suis resté en vie pendant tout ce temps.
Shinon: Mais pourquoi… dépends-tu de moi comme ça?
Je t’ai simplement appris à t’en servir.
Rolf: Oui, mais ça m’a fait tellement plaisir! Mes frères ne m’ont jamais rien laissé faire. Ils m’ont toujours traité comme un bébé.
Si tu ne m’avais pas appris le tir à l’arc, je serais encore à la maison!
J’ai horreur de rester sans rien faire, pendant que les autres se battent. Nous nous en sommes sortis hier, mais…
Qu’en sera-t-il aujourd’hui? Ou demain? A la maison on ne peut qu’attendre et se sentir inutile. Je déteste ça!
Shinon: Rolf, je sais ce que tu ressens, mais les adultes ne veulent pas envoyer les enfants au combat, s’ils peuvent l’éviter.
Seuls les fous veulent être impliqués dans la mort de quelqu’un d’autre. Surtout si c’est un enfant.
Mais le plus triste, c’est que c’est plus pour préserver notre conscience que pour sauver la vie de quelqu’un.
La peur d’être responsable de la mort d’un autre est toujours présente en nous, donc nous essayons de nous protéger ainsi.
Les humains, enfin la plupart, ressentent la souffrance des autres. S’en affranchir est beaucoup plus difficile que tu ne le crois.
Rolf: Waouh. Je n’y avais jamais pensé.
Shinon: C’est une leçon difficile à apprendre. Bah ! Les adultes me font horreur. Leur ego, leur fierté…
Les enfants n’ont pas encore ces problèmes. Mais ils grandissent vite. Et plus vite ils apprennent à survivre, mieux c’est.
Rolf: C’est donc pour ça que tu m’as appris à tirer à l’arc, n’est-ce pas? Ce n’était pas juste un jeu!
Shinon: …Eh bien… Peut-être…
Mais si c’est ce que tu veux penser et que ça te rends heureux, ça me va aussi.


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Legend of the Galactic Heroes
Marthur
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   Posté le 22-02-2007 à 17:03:03   Voir le profil de Marthur (Offline)   Répondre à ce message   http://mdo.mogkupo.free.fr/   Envoyer un message privé à Marthur   

Ilyana/Mia C:

Mia: Ah! Ca va être une bonne journée. Je me sens en veine. Peut-être va-t-on me provoquer en duel…
Ilyana:
Mia: Ahh! Tu m’as fait peur!
Ah! Me surprendre comme ça, par derrière… Petite maligne!
Ilyana: Oh… désolée. S’il te plaît, laisse-moi passer.
Mia: Hein? Oh, bien sûr…
Ilyana: Excuse-moi…
Mia: Alors, tu veux un duel? A l’aube, peut-être? J’adore me battre à l’aube.
Awww… peu importe. Ce ne serait pas vraiment un défi. Tu as l’air un peu maigrichonne.
Ilyana: Désolée. Je me sens un peu faible.
Mia: Elle a l’air si… fragile.
Je devrais peut-être la surveiller. Juste pour m’assurer qu’il ne lui arrive rien.
Bah… reprenons l’entraînement!

Ilyana/Mia B:

Mia: Oh, je me rappelle t’avoir vue l’autre jour…
Ilyana: Bonjour…
Mia: Tu titubes encore. Il y a quelque chose qui ne va pas?
Ilyana: Non… je vais bien. Vraiment.
Mia: Mais tu as l’air si faible. Pourquoi ne vas-tu pas voir un prêtre?
Ilyana: Je me sens tout à fait bien. La dernière fois que j’ai vu un prêtre, il m’a dit que je n’étais pas malade.
Mia: Hum… tu es sûre qu’on ne s’est pas moqué de toi? C’était un vrai prêtre? On dirait que tu vas t’effondrer.
Ilyana: Je vais bien.
Mia: Bien, si tu le dis… … Mais tu peux marcher?
Ilyana: Oui, bien sûr. A plus tard.
Mia: Où allais-tu? C’est un cul-de-sac!
Attends un instant. Je viens avec toi! Tu ne trouveras jamais rien sans moi.
Ilyana: Merci…

Ilyana/Mia A:

Mia: Je ne suis pas concentrée aujourd’hui. Je peux sentir mes ennemis cachés dans les arbres qui me narguent!
J’y pense, je n’ai pas vu Ilyana récemment. J’espère qu’elle va bien. Elle m’inquiète.
Bien, ne nous tourmentons pas inutilement. Je dois continuer à m’entraîner. Un... deux... trois! Un... deux... trois! Hé! C’était quoi?
Hum... sur quoi j’ai marché? C’est... mou.
Ilyana: ... ...
Mia: Aaaahh! Pourquoi es-tu allongée sur le sol?! Tu es morte? Gravement blessée?
Ilyana: Non, non...
Mia: Eh bien? Qu’y a-t-il?
Ilyana: Non. J’ai juste... un peu faim.
Mia: Hein? Faim? Pourquoi ne manges-tu pas un biscuit?
Ilyana: J’ai... si faim. Pitié... si tu as à manger...
Mia: Attends une seconde.
Ne me dis pas que tu titubes et qu tu t’évanouies sans cesse parce que tu as faim!
Ilyana: Si... Dès que j’ai mangé, je recommence à avoir faim. C’est pour cela que je m’évanouis.
Mia: Bien, je n’ai rien à manger sur moi.
Mais je vais te trouver quelque chose tout de suite. On ne peut pas te laisser mourir de faim comme ça!
Ilyana: S’il te plaît... ne pars pas...
Mia: Eh! Oh! Lâche ça! Eh! Arrête de me mordre le pied!
Ilyana: Mmmm... C’est si.... bon....
Mia: Non, non, non! Je ne peux pas te laisser faire ça!
Qu’on lui apporte à manger! N’importe quoi! Des vieilles godasses, des gâteaux aux fruits... n’importe quoi!


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Marthur
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   Posté le 22-02-2007 à 17:18:51   Voir le profil de Marthur (Offline)   Répondre à ce message   http://mdo.mogkupo.free.fr/   Envoyer un message privé à Marthur   

Boyd/Ulki C:

Boyd: Hé, c’est le grand faucon Laguz qui a rejoint notre groupe! Comment s’appelle-t-il déjà?
Ulki:
Boyd: Hé, là-bas!
Ulki: Je peux t’aider?
Boyd: Hein?
Ulki: Je croyais que tu m’avais parlé. Ce n’est pas le cas?
Boyd: Quoi…? Tu parles de ce que je viens de dire à l’instant? Tu as entendu?
Ulki: Très clairement.
Boyd: C’est… incroyable! Je parlais à voix basse, et tu te tenais tout là-bas!
Ulki: Alors, que veux-tu?
Boyd: Rien. Je ne faisais que te regarder. Tu as un visage… intéressant!
Ulki: … Mon visage ne te revient pas? Qu’est-ce qu’il a de si spécial?
Boyd: Non, rien! Ton visage est assez dur! Viril! En fait, il est parfait. J’aimerais avoir le même! Euh…
Ulki:
Boyd:
Ulki: Tu as l’air… en forme. Tu as aussi de bons cheveux. Pour un Beorc. J’aime bien tes bras puissants, aussi.
Boyd: Vraiment?
Ulki: Oh, j’ai une course à faire. Au revoir.
Boyd: Oui, mes bras sont assez costauds, hein? Tu sais quoi? Je crois que je vais bien m’entendre avec ces Laguz. Oui!

Boyd/Ulki B:

Boyd: Ah, c’est toi! Quoi de neuf , frère faucon?
Ulki: Oh, c’est le… Beorc aux gros bras. Ca… fait… longtemps que je ne t’ai pas vu. A part sur le champ de bataille.
Boyd: C’est exact! Oh, je m’appelle Boyd. Nous sommes amis, alors appelle-moi par mon nom.
Ulki: Très bien. Je suis Ulki. Mais je préfère que tu m’appelles par mon nom plutôt que… "frère faucon".
Boyd: Oh, bien sûr. Comme tu veux. Alors, Ulki. Que fais-tu dans un endroit pareil?
Ulki: J’écoutais le gazouillement des oiseaux. Leur chant m’apaise.
Boyd: Vraiment?
… Non. Je n’entends rien. Tu dois avoir l’ouïe très fine.
Ulki: Mmm…
Boyd: Tu sais, j’envie le peuple oiseau. Pouvoir voler est la chose la plus fantastique qui soit!
Et puis, c’est un sacré avantage au combat! Cette façon de fondre sur l’ennemi…
Oh, et c’est étrange à quel point vous nous ressemblez! A part pour les ailes, bien sûr…
Ulki:
Boyd: Oh, désolé. Je parle, je parle… Je jacasse comme une pie! Euh… dis-moi si je t’ennuie, hein?
Ulki: … Désolé.
Boyd: Qu’y a-t-il?
Ulki: Je suis… minable.
Boyd: Hein? Hé! Qu’est-ce qui t’arrive?

Boyd/Ulki A:

Boyd: Ah! Tu es là! Attends une seconde, Ulki!
Ulki:
Boyd: Pourquoi m’évites-tu? Je t’ai mis en colère ou quoi?
Ulki: Boyd…
Boyd: Je croyais que nous étions amis. Mais tu n’arrives pas à être ami avec un Beorc. C’est ça?
Ulki: Non… tu es… gentil. C’est moi. Je suis… minable.
Boyd: C’est exactement ce que tu as dit l’autre jour. Que veux-tu dire par là?
Ulki: Mm… la première fois que tu m’as parlé, j’étais méfiant.
Qu’un Beorc comme toi parle à un Laguz comme moi… j’ai cru que tu complotais quelque chose.
Boyd: Euh… mais tu m’as dit des choses gentilles quand nous avons discuté! C’étaient des mensonges?
Ulki: Je croyais qu’échanger des mensonges à la première rencontre était une coutume chez les Beorc.
Mais tu as aussi fait plusieurs compliments qui n’étaient pas sincères, n’est-ce pas?
Boyd: Non, j’étais sincère! Enfin, presque… Ecoute, j’étais nerveux! Je ne suis pas très doué pour faire connaissance.
Ulki: J’ai fait mon enquête après t’avoir quitté.
J’ai fait des recherches sur toi, sur ton passé. J’ai tout vérifié.
Boyd: Ventrebleu! Vraiment? Et qu’as-tu trouvé?
Ulki: Boyd des mercenaires de Greil. Tu es un excellent guerrier qui dit ce qu’il pense. Exactement ce dont tu as l’air.
Boyd:
Ulki: Même si tu t’es montré franc avec moi depuis le début, je n’ai pas réussi à te faire confiance.
Je croyais que tu te…moquais de moi. Ou que tu me tendais un piège.
C’est pour ça que je suis mauvais. Je ne suis pas digne d’être ton ami.
Boyd: Ah ah ah ah!
Ulki: Qu’y a-t-il?
Boyd: Nous sommes si semblables! Au début, j’étais certain que tu me détestais, que tu allais m’arracher les yeux.
Je ne croyais pas que nous pourrions bavarder comme tu le fais avec Ike. Il est toujours si naturel et décontracté!
Et puis, lorsque nous avons parlé, j’ai trouvé ça très agréable! Ca m’a rendu vraiment heureux.
Après ça, j’ai essayé de mieux te connaître. Je t’ai même suivi sur le champ de bataille.
Ulki: Je vois.
Boyd: Oui, les Beorc peuvent être de vrais crétins. Je ne t’en veux pas d’avoir fait ton enquête, après ce que nous avons fait à ton peuple.
Mais cela a assez duré. Maintenant que tu connais mes intentions, tu dois me faire un peu plus confiance.
Sinon, nous ne parviendrons jamais à nous entendre.
Alors, dis-moi franchement, oui ou non? Sommes-nous amis, Ulki?
Ulki: Oui. Je suis désolé, Boyd. Si tu me pardonnes, je veux être ton ami.
Boyd: Te pardonner? Bah! Tu ne m’as même pas offensé! J’aurais été ton ami de toute façon!


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