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WonderChef
Tormod / Reyson C

Tormod : Puissant prince du clan des hérons !

Reyson : Oui, je suis Reyson. Qui es-tu ?

Tormod : Je suis Tormod. J'espérais pouvoir vous demander quelque chose.

Reyson : Je m'excuse, tu m'as surpris. Que voulais-tu ?

Tormod : Votre chanson... Elle fonctionne sur tout ?

Reyson : Tu veux dire mon chant ?

Tormod : Oui, ce qui a fait que la forêt terne s´est soudain mise à briller de mille couleurs.

Reyson : Tu veux parler du Galdr, la magie Seid. Que veux-tu savoir ?

Tormod : Pourriez-vous la chanter pour nous tous ?

Reyson : Pour vous tous?

Tormod : Oui... Pour mes amis laguz du desert de Granne.

Reyson : Donc tu es le chef de l´armée de libération des Laguz. Mais tu... n'es encore qu´un enfant.

Tormod : Cela vous pose un problème ?

Reyson : Non, aucun. Mais j´ai entendu dire qu'un Beorc se battait pour libérer les esclaves de Begnion ; et je me demandais quel genre d'homme c´était. Tu es... différent de ce que j'imaginais.

Tormod : Bon, je suis jeune, et alors ? Ça ne rend pas ce que je fais moins important. Alors, vous allez nous aider ou pas ?

Reyson : Je vous apporterais volontiers toute l´aide que je peux vous donner mais... que veux-tu de moi exactement ?

Tormod : Je savais que vous accepteriez ! Mmm, voyons voir... Oh, attendez...

Reyson : Qu'y a-t-il ?

Tormod : Je ne suis pas prêt. Le moment n'est pas encore venu. J´aimerais vous en parler plus en détail. Je reviendrai quand j´aurais plus de temps ! A bientôt !

Reyson : Les enfants beorc sont si agités.


Tormod / Reyson B

Tormod : Puissant prince du clan des hérons !

Reyson : Je t´en prie, apelle-moi Reyson.

Tormod : Vous êtes sûr ? Très bien, Reyson. Pouvez-vous m´accorder un moment?

Reyson : Certainement. Il s´agit de chanter pour tes amis laguz n'est-ce pas ?

Tormod : Précisément ! Vous vous en souvenez !

Reyson : Pourquoi ne pas me dire exactement ce que tu as en tête ?

Tormod : Eh bien, j'esperais que vous pourriez utiliser votre chant pour transformer le sable en terre fertile.

Reyson : Transformer le sable en terre fertile ?

Tormod : Exactement ! Une terre fertile qui donnerait des recoltes abondantes. Pour pouvoir construire un village.

Reyson : C´est... totalement absurde !

( Il part )

Tormod : Mmm, il s'est emporté bien rapidement. Pour quelqu'un avec des yeux si doux, il a un tempérament très colérique.


Tormod / Reyson A

Tormod : Reyson ! J´ai besoin de votre aide !

Reyson : ...

Tormod : Je sais que vous le pouvez ! Je vous en prie.

Reyson : Désolé. Je ne peux pas.

Tormod : C´est parce que nous sommes pauvres ? C´est pour ça que vous refusez ?

Reyson : Insinuerais-tu que je ne consens qu´à aider les riches ?!

Tormod : Non... Je veux dire...
J´ai trouvé incroyable la façon dont vous avez pardonné à l´apôtre et ramené la vie dans la forêt.

Reyson : Ce n´était possible que parce que les circonstances étaient très spéciales.

Tormod : Quoi ? Je ne comprends pas.

Reyson : C´était la forêt de Serenes. Pour mon peuple, il n´y a pas d´endroit plus sacré. Et le galdr que j´ai chanté faisait partie d´un rituel très ancien, accompli sur un autel sacré.
Et surtout, ma magie seid n´a réussi que parce que Leanne était à mes côtés. Ce gladr est beaucoup moins puissant quand je le chante seul.

Tormod : Alors ce qu´il nous faut, c´est Leanne !

Reyson : Tu ne comprends pas très vite, hein ? Même si nous chantions le galdr tous les deux jusqu´à épuisement, nous ne pourrions pas changer le sable en terre fertile, je n´ai pas le pouvoir nécessaire. Me suis-je bien fait comprendre ?

Tormod : Mmmmmm...

Reyson : Pourquoi as-tu besoin d´une telle magie ? Ike m´a dit que tu étais maintenant sous la protection de l´apôtre.

Tormod : L´apôtre a dit qu´elle aiderait les esclaves laguz. Mais les Laguz vivent encore parmi les Beorc. Cela risque de causer des tensions. Pensez-y. Même si l´apôtre libère les Laguz, les Beorc ordinaires continueront à les haïr. Je ne veux pas que mes amis vivent dans une atmosphère de haine, craignant pour leur vie.

Reyson : Les Beorc et les Laguz vivant en harmonie ? J´ai du mal à imaginer ça.

Tormod : C´est pour ça que je vous ai demandé de faire quelque chose pour le désert. Si je pouvais construire un village pour les Laguz, ils pourraient y vivre en paix.

Reyson : Cela risque de prendre du temps, mais si nous reprenons le contrôle de Serenes, voudrais-tu venir y vivre avec tes amis ?

Tormod : Vraiment ?

Reyson : Bien sûr.

Tormod : C´est... une idée fantastique ! Tout le monde va être fou de joie !

Reyson : Mais vous devez savoir qu´il est interdit de chasser dans la forêt sacrée.

Tormod : Vraiment ?! Et qu´allons-nous manger ?

Reyson : L´eau fraîche coule en abondance, et il y a plus qu´assez de noix et de baies.

Tormod : Mais beaucoup de mes amis appartiennent au peuple félin. Ils aiment la viande !

Reyson : Il faudra qu´il s´y habituent.

Tormod : Je vais leur parler. Mais ils préfèreront peut-être le désert. Ils adorent manger de la viande !

Message édité le 27-02-2007 à 12:06:11 par WonderChef
WonderChef
Marcia / Kieran C

Kieran : Oh ! Que j´aimerais avoir la chance de m´entraîner avec un chevalier pégase ! Ça me rendrait encore plus fort...
Tiens, en voilà un qui arrive ! Marcia !

Marcia : Hem ?

Kieran : Euh... J´aimerais avoir le plaisir de... Oh, excuse-moi. J´ai oublié de me présenter. Je m´appelle...

Marcia : Je sais qui tu es. Kieran, capitaine du cinquième peloton des chevaliers royaux de Criméa. C´est bien ça ?

Kieran : Comment connais-tu mon nom ? Et mon peloton… ? Serait-ce la gloire de mon dernier combat ? Non, ce n’était rien de spécial.

Marcia : Mmmm…

Kieran : Ou peut-être t’ai-je blessée ou blessé l’un des tiens par le passé ? Est-tu venue pour te venger de moi ?!

Marcia : Nooon…

Kieran : Les récits de mes exploits auraient-ils franchi les frontières ? As-tu entendu comment j’ai vaincu l’araignée géante ? Nooon… ce serait étonnant. Mais néanmoins possible… Voyons… il est aussi possible que…

Marcia : Hé ! Andouille !

Kieran : Aaaaah ! Quoi ?! Ne me fais pas peur comme ça !

Marcia : Tout le monde connaît ton nom. Tu t’annonces à chacun de nos combats.
« Je suis Kieran, capitaine du cinquième peloton des chevaliers royaux de Criméa ! Tremblez devant moi ! »

Kieran : Mmm… oui, ça explique tout.

Marcia : Alors, en quoi puis-je t’aider ?

Kieran : Hein ?

Marcia : Tu voulais me demander quelque chose ?

Kieran : Oh, oui. Euh... hem ? Qu’est-ce que c’était déjà ? Zut ! Etait-ce… non, ce n’est pas ça…

Marcia : Bien. Viens me voir quand ça te reviendra…
Dingue ! Son casque doit être beaucoup trop serré…


Marcia / Kieran B

Kieran : Marcia !

Marcia : Ohé, Kieran. Comment va ton cheval ?

Kieran : Oh, beaucoup mieux ! Et c´est grâce à toi ! Lorsqu´il est tombé malade, je ne savais pas quoi faire, mais... tes premiers soins l´ont remis sur pied !

Marcia : Le pauvre était épuisé à force de marcher constamment. Nous avons combattu partout. Pas étonnant qu´il s´effondre ! Laisse-le se reposer jusqu´à ce qu´il aille mieux. Je suis sûre que ça ira vite.

Kieran : Ce sont des choses que j´ignorais, n´ayant jamais dépassé les limites du royaume de Crimea. Je te remercie de tout coeur !

Marcia : Pfff ! Je t´en prie ! Ce n´est rien. J´ai vu tellement pire.

Kieran : Moi, capitaine du cinquième peloton des chevaliers royaux de Crimea, je m´engage à payer ma dette, qu´importe...

Marcia : Hé ! Mon grand ! Je t´ai dit qu´il était inutile de me remercier. Je suis sûre que tu auras bientôt l´occasion de m´aider... Enfin, j´imagine que cela risque d´arriver. Donc, tu pourras m´aider quand la situation se présentera.
... Si elle se présente.

Kieran : N´en dis pas plus ! Je le jure sur ma vie !

Marcia : Je t´en prie ! Pas sur ta vie ! Tiens, ça me rappelle que... Tu n´avais pas quelque chose à me demander l´autre jour ?

Kieran : Oh, ça. Eh bien avec la maladie de mon cheval, j´ai oublié ce que c´était. Mais, sur ma hache, je jure que...

Marcia : Laisse ta hache tranquille ! Sacrebleu, ce type me rendra folle !


Marcia / Kieran A

Marcia : Kieran !

Kieran : Oh, Marcia !

Marcia : Ton cheval est complètement rétabli ! Je suis si heureuse.

Kieran : Oui, et c´est grâce à toi !
Laisse-moi te remercier encore une fois ! Moi, capitaine du cinquième...

Marcia : Oh ! Non, pas encore ! Ca suffit maintenant ! C´est désespérant...
Dis, c´est pour quoi faire, ce seau ?

Kieran : Je comptais laver mon cheval. Il n´a pas été brossé depuis bien longtemps et ça ne lui ferait pas de mal.
En outre, avec toutes mes aventures, je n´épargne pas ma pauvre monture. Je vais essayer de la ménager.

Marcia : Ah, c´est adorable !

Kieran : Quoi donc ?

Marcia : Tu aimes ton cheval ! C´est émouvant ! Je croyais que tes exercices t´occupaient tellement que tu n´avais pas le temps...

Kieran : C´est plus qu´un simple cheval. C´est mon frère d´armes ! Certains chevaliers, même de Crimea, traitent leurs chevaux comme un simple moyen de transport, mais pas moi.
Et ça vaut aussi pour les armures, haches, gants et bottes ! Et... cette cantine ! Ce sont tous mes frères d´armes !

Marcia : C´est admirable.

Kieran : Non, Marcia, ce n´est pas admirable. C´est juste du bon sens.

Marcia : Ah ah ! Je ne croyais pas que le bon sens était une de tes qualités ! Tu es étourdi et négligent d´habitude...

Kieran : Ah ! Eh bien, je ne suis pas de cet avis !
En fait, lorsque j´ai combattu le monstre géant au sud de Crimea...

Marcia : Au revoir, Kieran !
WonderChef
Ilyana / Zihark C

Zihark : Ouh-ouh... Ilyana ? Que regardes-tu ?

Ilyana : Oh ? Euh... Le sac à ta ceinture.

Zihark : Oh, ça ! Je m’en sers juste pour transporter une potion et des en-cas. Pourquoi ? Tu trouves se sac étrange ?

Ilyana : Oooh... Ca sent délicieusement bon...

Zihark : Vraiment ? C’est bizarre. C’est juste de la viande séchée.

Ilyana : De la viande séchée ! Miam... miam... J’ai tellement... faim !

Zihark : Tu as faim ? Mais je t’ai vu manger un morceau de lapin grillé il y a quelques minutes ! Tu n’en as pas l’air comme ça, mais qu’est-ce que tu peux avaler ! Bon, j’y vais. A plus tard !

Ilyana : Oh... au revoir.

Zihark s'en va...

Ilyana : ... Que vais-je faire ? J’aurais du lui dire que je mourrais de faim et que j’allais m’évanouir. Peut-être m’aurait-il donné un peu de sa délicieuse nourriture. J’ai faim !


Ilyana / Zihark B

Ilyana : Euh... Bonjour.

Zihark : Bonjour, Ilyana. Tu as encore faim, n´est-ce pas ?

Ilyana : Non. Peut-être. Bon... oui, je suis affamée !

Zihark : Comment peux-tu manger autant et avoir toujours faim ? Hier soir, tu m´as arraché une cuisse de poulet des mains !
C´est le fait de jeter des sorts qui te donne faim comme ça ?

Ilyana : Honnêtement, je ne sais pas pourquoi j´ai si faim. Je n´en ai jamais assez. Jamais... Normalement, je mange comme quatre personnes. Mais aujourd´hui, c´était particulièrement difficile puisque je n´ai mangé que pour trois.

Zihark : Quoi ?! Mais c´est... incroyable. Tu as un sérieux problème. J´espère que tu arriveras à le résoudre. ( il part )

Ilyana : Euh... excuse-moi. Tu peux attendre une seconde ?

Zihark ( il revient ) : Quoi ?

Ilyana : Euh... tu n´as rien oublié ?

Zihark : Laisse-moi réfléchir... Non. Je n´ai rien oublié.

Ilyana : Oh... Très bien.

Zihark : A plus tard !

Ilyana ( seule ) : ... Tout le monde me donne à manger, sauf lui...


Ilyana / Zihark A

Ilyana : Oh...

Zihark : Bonjour Ilyana. Je n´arrête pas de te croiser ces jours-ci.

Ilyana : Oui... c´est vrai... ... ...

Zihark : Qu´est-ce qui ne va pas ? Tu as l´air... bizarre aujourd´hui.

Ilyana : Vraiment ? Comment ça ?

Zihark : Oui, vraiment. Tu es plus jolie que d´habitude.

Ilyana : Ah bon ?!

Zihark : Oui, tu es très en beauté.

Ilyana : ... ... ...

Zihark : Mais tu as toujours faim. Je le vois à ton regard sauvage.

Ilyana : Sauvage ?! Pardon ?

Zihark : Tu as acquis une certaine célébrité au sein de la troupe. Les hommes disent que tu les séduis pour mieux t´emparer de leur nourriture.

Ilyana : Ils disent ça ?

Zihark : Oui, c´est ce qu´ils disent. Tu es une voleuse de viande séchée, n´est-ce pas ? Sans compter l´incident de la tarte. C´est vrai que tu ne te souviens pas de leurs noms, même après qu´ils t´aient payé un bon repas ?! C´est terrible.

Ilyana : Non, c´est juste que... Je mévanouis quand j´ai trop faim. C´est pour ça que j´accepte la générosté des autres.

Zihark : Alors, au moins souviens-toi de leurs noms. Même si tes motivations sont différentes, tout le monde t´aime bien.

Ilyana : Pardon...

Zihark : Ne t´excuse pas auprès de moi, tu n´as pas pris ma tarte aux pommes.

Ilyana : Bien.

Zihark : Bon, on y va ?

Ilyana : Pardon ?

Zihark : Tu as faim, n´est-ce pas ? Je n´aime pas te sermonner, alors je t´offre le dîner, d´accord ?

Ilyana : C´est vrai ?

Zihark : Oui, bien sûr. Je ne veux pas te voir affamée. Mais je ne suis pas très riche. Je ne peux payer que deux repas.

Ilyana : C´est si... gentil. Ca devrait suffire. Merci... Oh, merci infiniment... hum... Euh... Ike ? Non attends ! Hum... Bill ? Homme à l´épée ?

Zihark : Zihark...

Ilyana : J´apprécie vraiment... Zihark.

Message édité le 02-03-2007 à 13:44:29 par WonderChef
Marthur
Haar/Jill C:

Jill: Capitaine Haar! Où êtes-vous? Capitaine Haar!!!
Haar: Calme-toi! Tu ne vois pas que je dors?
Et tu as vraiment besoin de crier mon nom comme ça? Tu parles plus fort qu’un vendeur de brochettes sur un marché!
Jill: Vous n’avez qu’à répondre quand je vous appelle!
Haar: Je répondrai quand tu cesseras de m’appeler capitaine.
Jill: Comment dois-je vous appeler, alors?
Haar: Comme tu voudras.
Jill: Monseigneur Haar, peut-être?
Haar: Tu trouves que je ressembles à un seigneur?
Jill: Sire Haar, alors?
Haar: Non! C’est ridicule!
Jill: Simplement Haar?
Haar: Ah! Voilà qui est mieux.
Jill: Non, je ne peux pas m’adresser à mon supérieur de cette façon. Je vous appellerai "monsieur Haar".
Haar: Fais comme tu veux. Maintenant, laisse-moi continuer ma sieste…

Haar/Jill B:

Jill: Monsieur Haaaaaaaaar! Où êtes-vous!? Monsieur Haar!!!
Haar: Juste derrière toi.
Jill: Pourquoi mettez-vous si longtemps à répondre quand je vous appelle?
N’aviez-vous pas promis de répondre si je ne vous appelais plus capitaine?
Haar: A condition que je ne dorme pas.
Jill: Mais… c’est presque toujours le cas!
D’ailleurs, la seule fois où vous vous êtes vraiment comporté en soldat, c’est quand vous étiez en face de mon père.
Haar: Et je me rappelle la seule fois où je t’ai vue détendue. C’était quand tu étais avec le commandant Shiharam.
Jill: Je… n’avais pas le choix. C’était mon père. Et il était différent.
Haar: Je suis d’accord. Le commandant Shiharam était quelqu’un d’unique.
Je ne voulais pas qu’il me prenne pour un feignant.
Jill: Monsieur Haar…
Haar: Mmm... je vais m’étendre ici... Oui… cette mousse a l’air confortable. Laisse-moi seul. C’est l’heure de la sieste.

Haar/Jill A:

Jill: Monsieur Haar?
Haar: Oui?
Jill: C’est étrange. Je n’ai pas eu à vous appeler cent fois pour que vous répondiez!
Haar: Oui, j’imagine que c’est pour ne pas avoir à supporter tes jérémiades.
Jill: Ah, c’est pour ça? Bon, très bien…
Haar: Que vas-tu faire quand la guerre sera finie, Jill?
Jill: Mon désir est de retourner à Daein. Je veux être près de la tombe de mon père.
Haar: Je vois.
Jill: Et vous?
Haar: Si je réchappe du combat contre Ashnard, je ne sais pas ce que je ferai.
On m’a déjà proposé de garder la tombe du commandant Shiharam.
Jill: Vous voulez dire que vous ne souhaitez pas rester avec moi?
Haar: Ce n’est pas ça. Mais je pensais que tu n’appréciais pas vraiment ma compagnie.
Jill: Et pourquoi donc?
Haar: Si nous survivons à cette guerre, nous lancerons un service de courrier wyverne. Nous allons devenir riches.
Jill: Bien sûr… Si nous en réchappons.
Marthur
Ike/Reyson C:

Ike: Reyson.
Reyson: Oh, Ike. Que puis-je pour vous?
Ike: Je viens juste voir comment ça se passe. Tout va bien?
Reyson: Oui. Aucun problème.
Ike: Aucun? Votre visage me dit le contraire .
Reyson: Ah… tous les hérons sont optimistes de nature. L’énergie négative et la tension du combat sont difficiles à supporter.
Toutefois, j’apprends à m’y faire. J’espère que vous me laisserez me battre à vos côtés jusqu’au bout.
Ike: Tant que vous ferez attention à vous, je n’aurai aucun reproche à vous faire.
Mais n’y a-t-il rien pour votre service? Nous pourrions faire un repas spécial. Cela pourrait vous redonner un peu d’énergie.
Reyson: C’est très gentil, mais mon alimentation est relativement stricte.
Autrefois, j’étais profondément attristé par la fragilité et la maigreur de mon corps. Alors, j’ai fait une petite expérience.
J’ai pris tous les aliments prisés par Tibarn… viande crue, poissons frais, insectes… et je les ai tous mangés.
Ike: Je m’attends au pire. Que s’est-il passé?
Reyson: Pendant 10 jours, j’ai cru mourir. J’étais encore plus vert qu’une grenouille!
Je crois que les hérons sont condamnés à manger des fruits et des noix jusqu’à la fin de leurs jours.
Ike: … Je n’arrive pas à y croire. De la viande crue? Vous deviez être désespéré!
Reyson: Je voulais tant ressembler à Tibarn. Un corps fort, des ailes puissantes…
Je croyais que je pouvais ainsi acquérir la force nécessaire pour marcher sur Begnion et venger mes frères.
J’ai prié la déesse à genoux tous les soirs, lui demandant de me prêter assez de force. En vain.
Ike: Je crois comprendre ce que vous ressentez. Mais c’est mieux ainsi.
Reyson: Comment le savez-vous?
Ike: L’énergie négative vous rend malade. Imaginez si vous aviez essayé de blesser quelqu’un! Vous en auriez vomi!
Reyson: Euh… vous avez sans doute raison…
A un moment, j’étais tellement désespéré par mon manque de force que j’ai pensé mettre fin à mes jours…
Mais… je suis heureux d’être en vie. Cela m’a permis de revoir Leanne.
Ike: Euh… vous me surprenez, Reyson. Vous êtes plus fort que vous en avez l’air.
Reyson: Si vous parlez de la force spirituelle, je pense être le meilleur!

Ike/Reyson B:

Ike: Reyson!
Reyson: Je suis ici, Ike.
Vous voulez discuter de notre stratégie?
Ike: Oui. Votre participation aux prochains combats va être déterminant. Vous vous sentez bien?
Reyson: Eh bien… j’ai réalisé que je supporte mieux l’énergie négative quand je vole. Une simple brise peut vraiment m’aider.
Je vais tenir le coup. Soyez rassuré.
Ike: Vous avez l’air fatigué. Epuisé, même.
Je crois savoir ce que ressent le roi de Phoenicis. Je suis désolé de vous en demander autant.
Reyson: Vos paroles sont vexantes. J’ai choisi d’être ici.
Ike: Ce n’est pas ce que je voulais dire… Je suis désolé. Je sais que vous détestez qu’on s’inquiète de vous. C’est juste…
Reyson: Ike? Silence. Si c’était quelqu’un d’autre, je l’aurais déjà frappé pour l’obliger à se taire.
Ike: Oh! Du calme, Reyson! Ce n’est pas utile! Et… je ne pensais pas que les hérons pouvaient attaquer.
Reyson: … Je sais comment cogner! Même si…
Ike: Oui?
Reyson: Je subis plus de dégâts que ma cible.
Ike: Comment?!
Reyson: Lorsque j’ai frappé le Duc de Tanas au visage, il n’a fait que saigner du nez, mais je me suis cassé les os de la main.
Ike: Sacrebleu…
Reyson: Tout à fait.
Ike: … Mais ça vous a fait du bien, non?
Reyson: Oui !

Ike/Reyson A:

Ike: Reyson? Vous tenez le coup? Vous semblez à bout de forces.
Reyson: Je sais, Ike! Je le sais mieux que quiconque. Mais laissez-moi le faire. Laissez-moi me battre.
Ike: Très bien. Mais je ne veux pas que vous tombiez raide mort dès que cette guerre sera finie!
Reyson: Tout devrait revenir à la normale, une fois le médaillon en place…
Ne vous en faites pas. Je suis déterminé. Je dois affronter Ashnard. Je dois connaître la vérité.
Ike: Je vous aiderai, Reyson.
Reyson: Je vous le répète, je ne veux pas de faveurs…
Ike: Et j’ai besoin que vous m’aidiez aussi.
Reyson: … Vraiment?
Ike: Chacun de nous a des pouvoirs uniques. Joignons nos forces au cours des prochains combats et nous remporterons la victoire.
Reyson: Je comprends. Très bien. J’apprécie votre aide.
Ike: Tenez bon, Reyson. La victoire est à portée de main.
Marthur
Boyd/Ulki C:

Boyd: Hé, c’est le grand faucon Laguz qui a rejoint notre groupe! Comment s’appelle-t-il déjà?
Ulki:
Boyd: Hé, là-bas!
Ulki: Je peux t’aider?
Boyd: Hein?
Ulki: Je croyais que tu m’avais parlé. Ce n’est pas le cas?
Boyd: Quoi…? Tu parles de ce que je viens de dire à l’instant? Tu as entendu?
Ulki: Très clairement.
Boyd: C’est… incroyable! Je parlais à voix basse, et tu te tenais tout là-bas!
Ulki: Alors, que veux-tu?
Boyd: Rien. Je ne faisais que te regarder. Tu as un visage… intéressant!
Ulki: … Mon visage ne te revient pas? Qu’est-ce qu’il a de si spécial?
Boyd: Non, rien! Ton visage est assez dur! Viril! En fait, il est parfait. J’aimerais avoir le même! Euh…
Ulki:
Boyd:
Ulki: Tu as l’air… en forme. Tu as aussi de bons cheveux. Pour un Beorc. J’aime bien tes bras puissants, aussi.
Boyd: Vraiment?
Ulki: Oh, j’ai une course à faire. Au revoir.
Boyd: Oui, mes bras sont assez costauds, hein? Tu sais quoi? Je crois que je vais bien m’entendre avec ces Laguz. Oui!

Boyd/Ulki B:

Boyd: Ah, c’est toi! Quoi de neuf , frère faucon?
Ulki: Oh, c’est le… Beorc aux gros bras. Ca… fait… longtemps que je ne t’ai pas vu. A part sur le champ de bataille.
Boyd: C’est exact! Oh, je m’appelle Boyd. Nous sommes amis, alors appelle-moi par mon nom.
Ulki: Très bien. Je suis Ulki. Mais je préfère que tu m’appelles par mon nom plutôt que… "frère faucon".
Boyd: Oh, bien sûr. Comme tu veux. Alors, Ulki. Que fais-tu dans un endroit pareil?
Ulki: J’écoutais le gazouillement des oiseaux. Leur chant m’apaise.
Boyd: Vraiment?
… Non. Je n’entends rien. Tu dois avoir l’ouïe très fine.
Ulki: Mmm…
Boyd: Tu sais, j’envie le peuple oiseau. Pouvoir voler est la chose la plus fantastique qui soit!
Et puis, c’est un sacré avantage au combat! Cette façon de fondre sur l’ennemi…
Oh, et c’est étrange à quel point vous nous ressemblez! A part pour les ailes, bien sûr…
Ulki:
Boyd: Oh, désolé. Je parle, je parle… Je jacasse comme une pie! Euh… dis-moi si je t’ennuie, hein?
Ulki: … Désolé.
Boyd: Qu’y a-t-il?
Ulki: Je suis… minable.
Boyd: Hein? Hé! Qu’est-ce qui t’arrive?

Boyd/Ulki A:

Boyd: Ah! Tu es là! Attends une seconde, Ulki!
Ulki:
Boyd: Pourquoi m’évites-tu? Je t’ai mis en colère ou quoi?
Ulki: Boyd…
Boyd: Je croyais que nous étions amis. Mais tu n’arrives pas à être ami avec un Beorc. C’est ça?
Ulki: Non… tu es… gentil. C’est moi. Je suis… minable.
Boyd: C’est exactement ce que tu as dit l’autre jour. Que veux-tu dire par là?
Ulki: Mm… la première fois que tu m’as parlé, j’étais méfiant.
Qu’un Beorc comme toi parle à un Laguz comme moi… j’ai cru que tu complotais quelque chose.
Boyd: Euh… mais tu m’as dit des choses gentilles quand nous avons discuté! C’étaient des mensonges?
Ulki: Je croyais qu’échanger des mensonges à la première rencontre était une coutume chez les Beorc.
Mais tu as aussi fait plusieurs compliments qui n’étaient pas sincères, n’est-ce pas?
Boyd: Non, j’étais sincère! Enfin, presque… Ecoute, j’étais nerveux! Je ne suis pas très doué pour faire connaissance.
Ulki: J’ai fait mon enquête après t’avoir quitté.
J’ai fait des recherches sur toi, sur ton passé. J’ai tout vérifié.
Boyd: Ventrebleu! Vraiment? Et qu’as-tu trouvé?
Ulki: Boyd des mercenaires de Greil. Tu es un excellent guerrier qui dit ce qu’il pense. Exactement ce dont tu as l’air.
Boyd:
Ulki: Même si tu t’es montré franc avec moi depuis le début, je n’ai pas réussi à te faire confiance.
Je croyais que tu te…moquais de moi. Ou que tu me tendais un piège.
C’est pour ça que je suis mauvais. Je ne suis pas digne d’être ton ami.
Boyd: Ah ah ah ah!
Ulki: Qu’y a-t-il?
Boyd: Nous sommes si semblables! Au début, j’étais certain que tu me détestais, que tu allais m’arracher les yeux.
Je ne croyais pas que nous pourrions bavarder comme tu le fais avec Ike. Il est toujours si naturel et décontracté!
Et puis, lorsque nous avons parlé, j’ai trouvé ça très agréable! Ca m’a rendu vraiment heureux.
Après ça, j’ai essayé de mieux te connaître. Je t’ai même suivi sur le champ de bataille.
Ulki: Je vois.
Boyd: Oui, les Beorc peuvent être de vrais crétins. Je ne t’en veux pas d’avoir fait ton enquête, après ce que nous avons fait à ton peuple.
Mais cela a assez duré. Maintenant que tu connais mes intentions, tu dois me faire un peu plus confiance.
Sinon, nous ne parviendrons jamais à nous entendre.
Alors, dis-moi franchement, oui ou non? Sommes-nous amis, Ulki?
Ulki: Oui. Je suis désolé, Boyd. Si tu me pardonnes, je veux être ton ami.
Boyd: Te pardonner? Bah! Tu ne m’as même pas offensé! J’aurais été ton ami de toute façon!
Marthur
Ilyana/Mia C:

Mia: Ah! Ca va être une bonne journée. Je me sens en veine. Peut-être va-t-on me provoquer en duel…
Ilyana:
Mia: Ahh! Tu m’as fait peur!
Ah! Me surprendre comme ça, par derrière… Petite maligne!
Ilyana: Oh… désolée. S’il te plaît, laisse-moi passer.
Mia: Hein? Oh, bien sûr…
Ilyana: Excuse-moi…
Mia: Alors, tu veux un duel? A l’aube, peut-être? J’adore me battre à l’aube.
Awww… peu importe. Ce ne serait pas vraiment un défi. Tu as l’air un peu maigrichonne.
Ilyana: Désolée. Je me sens un peu faible.
Mia: Elle a l’air si… fragile.
Je devrais peut-être la surveiller. Juste pour m’assurer qu’il ne lui arrive rien.
Bah… reprenons l’entraînement!

Ilyana/Mia B:

Mia: Oh, je me rappelle t’avoir vue l’autre jour…
Ilyana: Bonjour…
Mia: Tu titubes encore. Il y a quelque chose qui ne va pas?
Ilyana: Non… je vais bien. Vraiment.
Mia: Mais tu as l’air si faible. Pourquoi ne vas-tu pas voir un prêtre?
Ilyana: Je me sens tout à fait bien. La dernière fois que j’ai vu un prêtre, il m’a dit que je n’étais pas malade.
Mia: Hum… tu es sûre qu’on ne s’est pas moqué de toi? C’était un vrai prêtre? On dirait que tu vas t’effondrer.
Ilyana: Je vais bien.
Mia: Bien, si tu le dis… … Mais tu peux marcher?
Ilyana: Oui, bien sûr. A plus tard.
Mia: Où allais-tu? C’est un cul-de-sac!
Attends un instant. Je viens avec toi! Tu ne trouveras jamais rien sans moi.
Ilyana: Merci…

Ilyana/Mia A:

Mia: Je ne suis pas concentrée aujourd’hui. Je peux sentir mes ennemis cachés dans les arbres qui me narguent!
J’y pense, je n’ai pas vu Ilyana récemment. J’espère qu’elle va bien. Elle m’inquiète.
Bien, ne nous tourmentons pas inutilement. Je dois continuer à m’entraîner. Un... deux... trois! Un... deux... trois! Hé! C’était quoi?
Hum... sur quoi j’ai marché? C’est... mou.
Ilyana: ... ...
Mia: Aaaahh! Pourquoi es-tu allongée sur le sol?! Tu es morte? Gravement blessée?
Ilyana: Non, non...
Mia: Eh bien? Qu’y a-t-il?
Ilyana: Non. J’ai juste... un peu faim.
Mia: Hein? Faim? Pourquoi ne manges-tu pas un biscuit?
Ilyana: J’ai... si faim. Pitié... si tu as à manger...
Mia: Attends une seconde.
Ne me dis pas que tu titubes et qu tu t’évanouies sans cesse parce que tu as faim!
Ilyana: Si... Dès que j’ai mangé, je recommence à avoir faim. C’est pour cela que je m’évanouis.
Mia: Bien, je n’ai rien à manger sur moi.
Mais je vais te trouver quelque chose tout de suite. On ne peut pas te laisser mourir de faim comme ça!
Ilyana: S’il te plaît... ne pars pas...
Mia: Eh! Oh! Lâche ça! Eh! Arrête de me mordre le pied!
Ilyana: Mmmm... C’est si.... bon....
Mia: Non, non, non! Je ne peux pas te laisser faire ça!
Qu’on lui apporte à manger! N’importe quoi! Des vieilles godasses, des gâteaux aux fruits... n’importe quoi!
Marthur
Rolf/Shinon C:

Rolf: Oncle Shinon! Attends, oncle Shinon!
Shinon: Que veux-tu, Rolf?
Rolf: Hi hi hi ! Regarde ça!
Shinon: Pourquoi me montres-tu ceci? C’est juste un morceau de bois courbé.
Rolf: Non, Shinon. C’est un arc!
Tu m’as donné mon premier arc, et je voulais te remercier! Je le taille petit à petit.
Ce n’est pas exactement le meilleur arc au monde, mais… j’espère que tu t’en serviras!
Shinon: Euh. Peut-être qu’en le modifiant un peu… je pourrais… appeler ça un… arc.
Ce truc va casser à la première flèche que je tirerai! Tu veux que ça m’arrive sur le champ de bataille?
Rolf: Je… Je ne…
Shinon: Regarde, d’abord ce n’est pas ce bois qu’on utilise. Celui-ci est beaucoup trop dur et manque de souplesse.
Tu te souviens de l’arc que je t’ai donné? Il ne ressemblait pas à celui-ci, hein?
Rolf: Mais… j’ai travaillé si dur! Il devrait être comme le tien!
Shinon: Ce n’est pas du tout le cas.
Rolf: Non. Pas même un peu? … Ouinnnnnnnnn! Ouinnnnnnnnnnnnn!
Shinon: Ah, stop! Arrête de hurler! Laisse-moi te donner une petite leçon.
Rolf: Quooooi? Vraiment?! Promis? Oh, je suis si content! Youpi! Youpi! Je t’adore, oncle Shinon!
Shinon: Oui, oui, je te le promets. Maintenant, arrête de t’accrocher à moi. Non, sérieusement! Rolf …

Rolf/Shinon B:

Rolf: Regarde, regarde, oncle Shinon! Ca ressemble plus à un arc, maintenant?
Shinon: Oui, on doit pouvoir… appeler ça un arc. A condition de fermer les yeux.
Rolf: Alors, tu vas l’utiliser?
Shinon: Pas question! Je ne veux pas mourir.
Rolf: Quoi? Comment?! Oh, très bien! Je vais m’en servir moi-même.
Shinon: Oh, pour l’amour de… Rolf! Attends!
Rolf: Quoi?
Shinon: Donne-moi cet arc.
Rolf: Tu as changé d’avis?
Shinon: Oui. J’ai soudainement ressenti le besoin étrange de le prendre.
Rolf: Vraiment? Parfait! Waouh! Le voici, oncle Shinon!!
Shinon: Merci. Hum… à plus tard.
Rolf: Waouh! Je suis sûr qu’oncle Shinon va l’adorer! Ce sera son arme préférée! Mais je veux le voir s’en servir…
Je vais le suivre. Hi hi hi! J’arrive, oncle Shinon!

Rolf/Shinon A:

Shinon: Fais-toi une raison, Rolf.
Rolf:
Shinon: Oh, allez! C’était la meilleure chose à faire.
Rolf:
Shinon: Pff! Quelle tête de mule. Si tu continues, je m’en vais!
Rolf: TU AS JETE MON ARC!!!
Shinon: Ecoute, Rolf. Si je t’avais laissé aller sur le champ de bataille avec cet arc, tu te serais fait tuer.
Je t’ai sauvé la vie… Tu peux me remercier! Tu comprends?
Rolf: Oui, je le sais, oncle Shinon, mais… J’avais mis tout mon cœur dans cet arc! Je voulais juste te faire plaisir.
La première fois que je suis allé au combat, j’avais si peur que mes jambes tremblaient.
Mais quand j’ai tenu l’arc que tu m’avais offert, cela m’a redonné courage. Et je me suis dit: "Rolf! Tu peux y arriver!"
Tu m’as tout appris! C’est grâce à toi que je suis resté en vie pendant tout ce temps.
Shinon: Mais pourquoi… dépends-tu de moi comme ça?
Je t’ai simplement appris à t’en servir.
Rolf: Oui, mais ça m’a fait tellement plaisir! Mes frères ne m’ont jamais rien laissé faire. Ils m’ont toujours traité comme un bébé.
Si tu ne m’avais pas appris le tir à l’arc, je serais encore à la maison!
J’ai horreur de rester sans rien faire, pendant que les autres se battent. Nous nous en sommes sortis hier, mais…
Qu’en sera-t-il aujourd’hui? Ou demain? A la maison on ne peut qu’attendre et se sentir inutile. Je déteste ça!
Shinon: Rolf, je sais ce que tu ressens, mais les adultes ne veulent pas envoyer les enfants au combat, s’ils peuvent l’éviter.
Seuls les fous veulent être impliqués dans la mort de quelqu’un d’autre. Surtout si c’est un enfant.
Mais le plus triste, c’est que c’est plus pour préserver notre conscience que pour sauver la vie de quelqu’un.
La peur d’être responsable de la mort d’un autre est toujours présente en nous, donc nous essayons de nous protéger ainsi.
Les humains, enfin la plupart, ressentent la souffrance des autres. S’en affranchir est beaucoup plus difficile que tu ne le crois.
Rolf: Waouh. Je n’y avais jamais pensé.
Shinon: C’est une leçon difficile à apprendre. Bah ! Les adultes me font horreur. Leur ego, leur fierté…
Les enfants n’ont pas encore ces problèmes. Mais ils grandissent vite. Et plus vite ils apprennent à survivre, mieux c’est.
Rolf: C’est donc pour ça que tu m’as appris à tirer à l’arc, n’est-ce pas? Ce n’était pas juste un jeu!
Shinon: …Eh bien… Peut-être…
Mais si c’est ce que tu veux penser et que ça te rends heureux, ça me va aussi.
Marthur
Mist/Mordecai C:

Mist: Oh, non! Reviens ici, toi!
Mm. Où est-ce qu’il peut bien être? J’aurais juré qu’il était tombé quelque part par ici…
Mordecai: C’est ça que tu cherches?
Mist: Oh! Mordecai… tu m’as fait peur.
Mordecai: Désolé de t’avoir effrayé. J’ai trouvé ceci. Tu l’avais perdu?
Mist: Oh, je… Oui, c’est… J’avais mis du linge à sécher sur un fil, et la brise a emporté un de mes foulards…
Merci, Mordecai.
Mordecai: Je t’en prie.
Mist: Euh… Mordecai?
Mordecai: Oui?
Mist: Oh, euh… eh bien … Non… rien.
Mordecai: Si tu le dis. Je dois te laisser maintenant.
Mist: Ahhh… mais qu’est-ce que j’ai? Pourquoi je n’y arrive pas.
Pourquoi ne suis-je pas comme Ike? Il est si naturel, toujours détendu. Je ne peux pas continuer à paniquer comme ça.

Mist/Mordecai B:

Mist: Bonjour, Mordecai!
Mordecai: Tu es une fille pleine d’énergie, tu sais?
Mist: Oui ! Je suis de bonne humeur aujourd’hui.
Mordecai: Je suis ravi de l’entendre.
Mist: Et puis, c’est vrai que je suis de nature joviale. Je n’aimerais pas être celle qui se plaint sans arrêt, tu vois? Ah ah…
Euh… et j’aime aussi cuisiner. Oh, mais je ne suis pas bonne couturière, mais ma mère l’était.
Mordecai: Ah.
Mist: Et… hum… j’ai oublié ce que je voulais dire.
Mm, euh… Euh…
Mordecai: Mist. Tu dois respirer.
Mist: … AAAAAAH! Pffff! Désolée! Je vais mieux maintenant…
Mordecai: Tu es nerveuse. Tu n’as pas parlé à beaucoup de Laguz avant. Ca se voit.
Mais dans ton cœur, tu cherches à être mon amie. Je le vois clairement.
Très clairement.
Mist:
Mordecai: Ne sois pas nerveuse. Avec le temps, nous deviendrons amis.
Et pour être franc avec toi, je suis nerveux moi aussi.
Mist: Oh, Mordecai…
Oui… merci. Je me sens beaucoup mieux, enfin…
Tu as raison. Je ne devrais pas faire tant d’efforts, n’est-ce pas?
Mordecai: Graow.

Mist/Mordecai A:

Mist: Oh, Mordecai. Quelque chose ne va pas?
Mordecai: Tu as vu ton frère, Mist?
Mist: Oh, il est avec Titania et les autres, mais je pense qu’il sera bientôt là.
Mordecai: Ah. Et vous… vous entendez bien ton frère et toi?
Mist: Je crois… enfin, aussi bien que la plupart des frères et sœurs, tu vois?
Mordecai: Ike est un bon Beorc. Il a été gentil avec moi, alors qu’il ne me connaissait pas.
C’est un Beorc, mais je le considère comme un frère laguz.
Mist: Ah ah ah. Oui, il a toujours été un peu bizarre, n’est-ce pas?
Mordecai: Ah? Ca n’a pas d’importance. J’aime beaucoup Ike.
Mist… ne te moque pas, mais je voudrais te dire quelque chose.
Mist: Quoi donc?
Mordecai: Quand je t’ai rendu ton foulard, ma main tremblait de peur.
Mist: Toi? Tu avais peur?
Mordecai: Oui. J’avais peur de t’avoir effrayée. J’avais peur que tu partes en courant. J’étais… terrifié.
Mist: Waouh… je n’aurais pas cru! Hi hi hi. C’est VRAIMENT drôle.
Nous avons beaucoup de choses en commun, toi et moi, tu ne trouves pas?
Mordecai: Oui. Nous partageons beaucoup de choses.
Marthur
Oscar/Kieran C:

Oscar: Hé, Kieran. Comment ça va?
Kieran: Qu’est-ce… Oscar! Un nom méprisable! Ne me salue pas aussi courtoisement! Je ne suis pas dupe!
Oscar: Qu’ai-je encore fait?
Kieran: Oh oh oh! Ne me dis pas que tu as oublié notre deuxième année d’enrôlement! L’année de notre formation de cavalier?
Durant la course de fin d’année, mon fidèle destrier et moi n’avions pas fait une faute, et tu as gagné d’un poil!
Oscar: Hein? Oh, tu parles de cette course où tu m’avais défié?
Oui, c’était une bonne course. Mais je croyais t’avoir distancé d’au moins trois longueurs.
Kieran: Ah! MENTEUR! Scélérat! Depuis ce jour, tu as cessé d’être mon ami pour devenir mon rival! Avoue!
Oscar: Euh… waouh. Je ne savais pas...
Kieran: Mais pourquoi!? Je veux savoir pourquoi tu as quitté les chevaliers de Crimea sans une explication!
Je me suis entraîné nuit et jour avec mon cheval! J’ai travaillé dur pour battre mon rival!
Et à cause de ça… Je n’ai réalisé que tu étais parti que six mois plus tard! Délinquant! Renégat!
Oscar: Attends une seconde… Kieran. Pourquoi est-ce de ma faute?

Oscar/Kieran B:

Kieran: Oscar!!!
Oscar: Hé, Kieran. Toujours dans les parages, hein?
Kieran: Ca a assez duré! Reviens! Rejoins les rangs de la glorieuse confrérie des chevaliers de Crimea!
Oscar: C’est si soudain…
Kieran: En tant qu’ancien chevalier de Crimea, il doit bien te rester un peu de loyauté, non? Rejoins-nous! Pour le roi et le pays!
La patrie est en danger! Tout ancien chevalier de Crimea devrait voler à son secours!
Oscar: C’est vrai. Et je suis heureux de pouvoir aider à reconstruire notre patrie, même si c’est comme mercenaire.
Kieran: Je ne dis pas ça pour te faire plaisir! Tu dois reprendre ta place!
Tu n’honores pas ton allégeance au royaume de Crimea en restant mercenaire! Comment peux-tu dormir la nuit?
Oscar: J’aime Crimea, mais je suis heureux ici. Je veux rester un mercenaire de Greil pour continuer à servir Ike toute ma vie.
Kieran: Parbleu! Pourquoi? Qu’est-ce qui te motive tant?
Qu’est-ce qui rend la vie de mercenaire si attrayante pour que tu sois prêt à renier ta loyauté envers Crimea?
Ah ah! Serait-ce la paye? C’est donc ça! Je me souviens que tu avais besoin d’argent! Oh, la cupidité!
Oscar: Si c’était pour l’argent, je serais resté avec les chevaliers de Crimea. Je gagne deux fois moins aujourd’hui.
Kieran: Quoi? Réveille-toi! Ne vois-tu pas que c’est un marché de dupes?! L’honneur! La fortune! La gloire! Tu peux tout avoir!
Oscar: J’en doute.
Kieran: Bah! Tu es désespérant!
Oscar: Qui est désespérant…?

Oscar/Kieran A:

Kieran: Oscar!!!
Oscar: Bonjour, Kieran. Vas-tu encore me demander de réintégrer les chevaliers de Crimea?
Kieran: Tu as deviné! Je suis un chevalier de Crimea et extrêmement fier de l’être! Il n’existe pas meilleur ami! Ni pire ennemi!
Un chevalier se distingue au combat; il est porté en triomphe à son retour par le peuple et félicité par son seigneur!
Si tu te fais un nom comme chevalier, tout le monde te connaît! Le monde est à tes pieds!
Et par-dessus tout, tu as l’honneur de défendre Crimea et son peuple de tes propres mains!!!
Oscar: C’est effectivement tentant.
Kieran: C’est mieux que la vie de mercenaire, à chevaucher avec des hors-la-loi, à participer à des combats perdus d’avance!
Pourquoi, Oscar? Pourquoi?! Je ne comprends pas!
Oscar:
Kieran: Tu es mon rival! C’est un honneur! Je connais ta vraie valeur mieux que quiconque.
Si tu dis que tu veux revenir, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour appuyer ton retour parmi nous!
Oscar: Merci, Kieran. Mais je n’ai pas l’intention de revenir.
Etre avec les mercenaires m’a offert la chance de voir le monde. J’ai vu les pires souffrances.
Le peuple écrasé par les puissants. Le désarroi de ceux qui ont tout perdu. Un pays ne s’occupe pas de ces problèmes.
C’est à nous, les mercenaires, qu’il incombe d’aider ceux qui ne peuvent se défendre eux-mêmes.
Et puis, je ne combats pas pour l’honneur. Tant que je peux défendre celui des mercenaires de Greil, je suis heureux.
Kieran: Ah… zut! J’ai encore échoué! Comment est-ce possible?
Je ne sais ni pourquoi ni comment, mais… j’ai l’impression d’avoir encore échoué!
Oscar: Tu n’as pas échoué. Les chevaliers comme toi peuvent faire des choses que les mercenaires ne pourront jamais faire.
Alors, faisons de notre mieux tous les deux. Nous sommes peut-être différents, mais nous partageons le même idéal.
Kieran: Je vois. Bien, je ne t’embêterai plus!!!
Regarde-moi! Lorsque Crimea sera reconstruite, on parlera de mes exploits pendant des siècles!
Où que tu sois, tu entendras parler de moi! Je te le promets!
Oscar: … Oui, j’en suis sûr. Et quand j’entendrai tes exploits, je lèverai mon verre à ta santé!
 
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