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Phenice
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Bon, comme vous avez dû remarquer, je n'écris plus trop sur cette fiction... Raison : manque de temps et histoire pas aussi bien partie que je voulais (sans compter qu'en ce moment, j'en ai une autre qui ne veut pas me lâcher)...

Aussi, pour le moment, je vais faire quelque chose que je déteste absolument : la mettre en stand by (en espérant que contrairement à mes pires prévisions, la reprise n'ait pas lieu en mai...).
Phenice
Désolée Eli, je ne parlais pas du complexe d'œdipe mais bel et bien de l'évolution de la sexualité (va te renseigner, ça t'intéressera...).

Et merci.

Voici le nouveau chapitre. Je sais, de nouveau, la fin est à revoir... Et on entre dans une partie un peu plus sérieuse.

En tout cas, bonne lecture !

__________________________________________________________


« Finalement, on dirait que nous pouvons rester...
- Lapina a dit : 'Juste une nuit'
- C'est déjà une bonne chose. J'aurai pensé que ma venue dans son auberge lui serait inacceptable.
- T'inquiète pas, elle n'est pas comme ça. Et puis va dormir. On marche demain. »

Alors que Noulivre s'apprêtait à lui poser une nouvelle question, des ronflements sonores s'élevèrent. Un mince sourire aux lèvres, l'ours en peluche se retourna et ferma les yeux.

Et les rouvrit.

C'est qu'il était bruyant, le con !

Noulivre commença alors par l'appeler. Ce qui eut pour effet de transformer le marteau piqueur en avion à réaction. Il le secoua. Rien. Il le piqua. Mais après un grommellement, il reprit de plus belle. Il lui balança ses traversins. Encore rien. Il essaya même de l'étouffer mais comme je l'ai signalé plus haut, les peluches ne respirent pas ! (mais elles ronflent...).
Ce fut pourquoi, le lendemain, il avait les yeux rouges. (oui, oui, Pelivre avait très bien dormi).

L'auberge bruissait. De mouvements, de bruits. Lapina courait de tous côtés et seul restait, désœuvré, un gros panda avec une toque. Le service était déjà fini et il se reposait avant le déjeuner. Ils allèrent donc discuter avec lui, plaisantant, quand arriva une chienne en peluche.

« Lapina, viens vite ! La chienne surprise... (vous savez, ces peluches dont on ouvrait le ventre et pour y trouver des chiots ?) »

Lapina, sans prendre plus de renseignements, se précipita alors vers la porte, suivant la chienne. Les trois autres, d'un bref regard, se lancèrent à sa suite.

Et là, hurlant à la mort, une chienne tenait l'un de ses chiots déchiquetés.

Il manquait des soldats. Et ils l'avaient emmené, promettant. Promesses et promesses pour un enfant dont les yeux s'étaient fermés sur un champ de bataille.

Et seuls les cris perçaient le silence.


Edité le 20-12-2009 à 20:13:25 par Phenice


Eliwood
Bon j'ai tout lu, même les Omakes, assez plaisant à lire tout ça. =)

La Dinde a écrit :

- Ça y est, c'est prouvé, notre auteure a de sérieux problèmes par rapport à sa sexualité.
- Auteure : Hé ho ! »
(Oui, mauvaise influence freudienne...)


Je pensais pas que tu avais des problèmes d'œdipes.

*fuit*


Edité le 14-12-2009 à 00:01:59 par Eliwood


Phenice
Comme je n'ai pas eu le temps de travailler sur le nouveau chapitre, je vous offre une petite surprise : des Omake (même si on peut se demander comment je fais).

Bon, pas trop grave, personne lit en ce moment

___________________________________________________________________________________________________

OMAKE 1 « Ils vécurent heureux et... »

« Dis Noulivre ?
- Oui ?
- Quand vas-tu te marier avec Lapina ?
- Pardon ?!
- Ben oui, normalement, on s'entend mal au début, et puis, le héros épouse le personnage féminin principal et ils vivent heureux et ont beaucoup d'enfants.
- Je crains que ça n'arrive pas...
- Mais si, je suis sûr que...
- On est des peluches, on ne peut pas se reproduire.
- ... Mais on peut manger des bonbons ?
- (Hochement de tête)
- Ça y est, c'est prouvé, notre auteure a de sérieux problèmes par rapport à sa sexualité.
- Auteure : Hé ho ! »
(Oui, mauvaise influence freudienne...)

OMAKE 2 « Jeanne d'arc »

« Dis, Peulivre, tu n'as jamais remarqué ?
- Quoi donc ?
- Il ne t'arrive pas de te retrouver dans des situations que tu ne comprends pas ?
- ... Non, j' vois pas...
- Ou même d'entendre des voix.
- Houla, là, c'est dangereux ! La dernière peluche a qui c'est arrivée a été brulée !
- Auteure : Tiens, ce serait une idée ça... »

OMAKE 3

« Dis, Noulivre ?
- Oui ?
- Tu crois qu'un jour, on fera des fanfictions sur cette histoire ?
- En sait rien (et voudrait bien dormir). Pourquoi ?
- Ben, vu à quel point on est proche, tu crois qu'il y en aura sur nous ?
- Sur nous ?
- Ben oui, sur notre relation torride, passionnée...
- Héééééééé ! On n'avait pas dit que le sexe était interdit ?!
- Il y a bien d'autres façons de faire...
- ... »
Phenice
J'espère que tu as eu le temps de lire parce que je t'envoie la suite, Eli... (et oui, je dois repotasser dessus...)

____________________________________________________________

Après maintes péripéties (affrontements d'ennemis, chemins sur falaise à suivre, rivières en cru à traverser...), nos trois amis (sauf que deux n'étaient pas amis entre eux... Vous auriez dû les voir traverser tous les obstacles tous les obstacles en se disputant tandis que le dernier traînait en arrière en se faisant bouffer par les piranhas, écrasé par les éboulements... et restait en vie malgré tout !). Donc, nos trois... amis arrivèrent au village.

Un village qui avait souffert de la guerre. Un village aux maisons brûlées, aux habitants désespérés. Un village qui se mourrait. (Bon, d'accord, on peut se demander, au vu du nombre d'obstacles, comment ladite guerre a pu arriver jusqu'ici. Peut-être qu'elle est venue en montgolfière ? Oui, en effet, les héros sont complètement stupides de ne pas y avoir pensé. Mais vous imaginez ce que ce serait pour nous, pauvres auteurs, si nos héros étaient TOUJOURS intelligents, prenaient TOUJOURS la bonne décision ?!).

Enfin bref. Nos héros, suivant toujours Lapina, arrivèrent jusqu'à une auberge. Là, Lapina se retrouva submergée de cris. De joie, de demande, d'exclamation...

Jusqu'à ce qu'il L'aperçurent.

Un silence hostile s'élevait, les regards s'apesantissaient...

Quand Pelivre bondit au milieu de tous et lança :

« Hé, toi, mon pote, ça va ? Hé ! Vieille pelle ! Et tes gâteaux ? Et le monde continue à tourner ?... »

Abasourdissement total.

Lapina commença alors à discuter avec les uns et les autres, donnant les ordres, félicitant... Et Noulivre tourna son regard vers Pelivre :

« C'est elle qui tient l'auberge. Mais ne goûte jamais, JAMAIS à sa cuisine.
- C'est à ce point terrible ?
- Un cauchemar en cuisine.
- ... »

Et face à eux se trouvait Lapina. Les flammes de la colère commençait à l'entourer. Une main se posa sur l'épée. Le doigt s'éleva vers eux.

« Qu'est-ce que c'est que ÇA ?! »

Et sur la table se trouvait une minuscule, minuscule miette de pain.

...

Quelques destructions plus tard...

« Dis, c'est juste moi ou il y a encore PLUS de bazar qu'avant qu'elle intervienne ? »

Et pendant ce temps, Lapina, l'épée dressée, poursuivait toute son équipe...


Edité le 06-12-2009 à 20:49:00 par Phenice


Eliwood
Désolé de t'avoir laisser seule, j'essaye de lire ça dans la journée. =o


Edité le 30-11-2009 à 15:06:40 par Eliwood


Phenice
Je commence à me sentir un peu seule, surtout que je vais devoir faire un double post...

Enfin, voici la suite :

____________________________________________________________
Quatre heures plus tard, Noulivre suivait Pelivre qui courait, plus vite que le vent, pour la trente-deuxième fois, autour de la ville (mais non, sont pas athlétiques, c'est normal qu'ils se fatiguent pas, ils respirent pas ! Mais ils mangent. Oui, ne cherchez pas la logique...).

Ce fut alors que Noulivre lança :

« Hé ! Où va-t-on exactement ?
- J'en sais rien.
- Pardon ?!
- J'en sais rien.
- On court depuis quatre heures et tu n'en sais rien ?!
- Ben oui... Z'ai oublié mon coutelas.
- ... Que vient faire un coutelas là-dedans ?
- Ben... Pour indiquer la direction à suivre, bien sûr !
- ... »

Les deux s'arrêtèrent alors, le temps de déterminer le chemin qu'ils allaient prendre. Ce qui commençait à s'avérer urgent vu qu'à l'aube, on risquait tout de même de se rendre compte de la disparition de Noulivre. Ne fut-ce que quand on lui apporterait son petit déjeuner au lit (c'est un général, ne l'oubliez pas !). Bon, y a toujours des incapables mais on peut JAMAIS compter sur eux aux moments importants !

Enfin bref, tout ça pour dire que les deux s'arrêtèrent pour se concerter.

Alors qu'ils étaient plongés dans leurs pensées, Pelivre fit remarquer à l'ours :

« Tu sais, je t'ai tout raconté de moi. Mais chais rien de toi.
- ... Tu sais, ce n'est pas facile à raconter...
- Allez...
- Pelivre ! »

Surpris, les deux virent alors un lapin bleu avec une épée se dirigeant vers eux. Pelivre se précipita alors vers elle en hurlant (attention, mettez des bouchons dans vos oreilles) :

« Lapina ! (Je sais, le nom est ridicule). »

On va insérer ici quelques effusions et on passe tout de suite à autre chose.

« Dis Lapina, on pourrait pas venir chez toi ?
- On ?
- Yep, lui et moi. »

Lapina regarda alors Noulivre, puis, reportant à nouveau son regard sur lui, elle lui répondit :
« Toi oui, mais lui... »

Et ce fut alors que Noulivre COMMENCA (oui, trois pages plus tard mais ça aurait pu être encore plus long) à se dire qu'il y avait tout de même quelque chose de bizarre. Après tout, ce livre tenait plus du livre que lui !

Et après trois heures de conciliabules, suivant Lapina, nos deux amis se dirigèrent vers le village.
Phenice
OK !

Et non, il n'y a pas de guerrier humain, désolée...

Alors, je te laisse l'histoire... Bonne lecture ! (et désolée pour les irrégularités...)

____________________________________________________________

Face à lui se tenait un spectacle d'acrobatie. En soi, ce n'était pas quelque chose d'extraordinaire en ce lieu. Mais ce qui l'était plus, était la vedette de ce spectacle.

Au milieu de toutes les peluches , marchant sur un fil, effectuant des cabrioles, sauts périlleux, se trouvait une peluche livre.

Une peluche livre ! Comment cela était-il possible ? N'avaient-elles pas toutes déjà disparues ? A moins que les légendes ne soient vraies et que celles-ci, rejetées de part et d'autres, ne soient réfugiées en l'un de ces lieux secrets. Mais alors, que faisait-elle là ? Et pourquoi ces applaudissements ? Ne devraient-elles pas la huer ?
Et tandis qu'il le regardait effectuer ses cabrioles, les peluches, une à une, s'apercevaient de sa présence. Le silence se faisait.

La peluche livre se tourna alors vers son public. Scrutant la foule du regard, il remarqua alors Noulivre. Il le fixa et, sans un mot, s'en alla. Stupéfait, Noulivre le vit s'éloigner, sans un mot, sans un geste. Les regards hostiles s'accentuèrent. Et il partit dans l'autre sens.

Et voilà comment Noulivre perdit bêtement un soutien. Mais comme je suis une auteure très généreuse, je vais faire en sorte que, magiquement, ces deux là se retrouvent dans une ville contenant des milliers et des milliers d'habitants pour qu'ils puissent vivre leur grande histoire d'amour pleine de tendresse, de tragédie, de passion...

Héééééééé ?! Qui a piraté mon ordi pendant que je ne regardais pas ?! Appelez la police du net ! Bon sang, que fait Hadopi quand on a besoin d'elle ?!
...
Ah oui, c'est vrai, elle peut rien contre les adresses IP piratées...

Bon, dans tous les cas, vous pouvez voir Noulivre et le livre en peluche là-bas, à cette table, en train de manger des bonbons en riant. Oui, je sais, c'est pas logique par rapport à la situation précédente mais comme je suis la seule et unique auteure, (enfin j'espère), il faudra ou me supporter jusqu'au bout ou fermer la page... (Insérez ici des rires démoniaques). Et chais pas pourquoi, mais j'ai l'impression que c'est la seconde solution qui a été préférée...

Bon, pour les quelques courageux qui restent, on va essayer de se rapprocher et d'écouter ce qu'ils disent...

Rectification... On écoutera après qu'ils aient fini leurs blagues...

« Mais je ne comprends pas, comment se fait-il que vous existiez ? Je croyais que toutes les peluches livres avaient été brûlées !
- 'Kune idée. Chais juste que je me suis réveillée au milieu d'un désert et puis, cette troupe est arrivée et chuis parti avec eux.
- Et vous êtes excessivement apprécié. Pourtant, vous auriez dû depuis longtemps être arrêté.
- P'koi ?
- Ne le saviez-vous pas ? Toutes les peluches ayant quelque chose s'approchant de près ou de loin à un livre est considéré comme un traîtresse.
- Sûr ?
- Oui.
- Sûr, sûr ?
- Croyez-moi, je ne peux que le savoir. »

Un sourire triste avait éclos sur ses lèvres. Pelivre (oui, oui, on va l'appeler comme ça, c'est plus facile à se souvenir...). Pelivre, disais-je donc, observa un moment Noulivre avant de lui demander :
« Et si tu venais avec moi ?
- Pardon ?
- J' veux voyager, tout voir. Et veux pas être seul. Tu viens ?
- Mais...
- Général Noulivre. »

Les deux peluches se retournèrent brutalement. Sous leurs yeux, à grands pas, se dirigeait vers eux, quatre ou cinq soldats peluches. À quelques pas de Noulivre, ils s'arrêtèrent et le saluèrent. Celui qui semblait être le chef s'adressa alors à lui :

« Général Noulivre, votre présence est requise au sein du quartier général. Nous vous prions de vous suivre. »

Avec un soupir, Noulivre se leva. Pelivre, rapidement, posa une main sur son épaule et lui murmura :
« Tu sais, tu peux toujours refuser. »

Sans un regard, Noulivre s'éloigna. Il passa alors son temps à discuter stratégie avec les autres. Mais il ne pouvait s'empêcher de songer à son compagnon. Ce fut tôt qu'il quitta les autres généraux pour retourner dans sa chambre. Pour s'accouder à la fenêtre. Il restait, les yeux dans le vague, quand une voix l'interpela :

« T'es sûr de ne pas vouloir venir ? »

Noulivre, baissant le regard, vit alors Pelivre qui lui faisait signe. Il hésita...

Et sauta (du quarantième étage) pour le rejoindre (et ceci sans rien se casser, notez le bien !).

Ainsi commença la grande quête de Noulivre.

_______________________________________________

On arrête là ?
Eliwood
Phenice a écrit :

Et je te rappelle que c'est TOI qui m'as mise au défi d'en réaliser une...


Certes.

Continuer dans ce topic est parfait non ? :o

Ah,et n'oublie pas le mariage entre les deux guerriers humains du clan des peluches à la fin de la fic.


Edité le 22-11-2009 à 10:29:54 par Eliwood


Phenice
Ah ! Mais ça c'est le grand but, s'arrêter juste au moment intéressant... Par contre, je me pose la question, est-ce que je fais un nouveau topic pour chaque chapitre ou je continue ?

Et je te rappelle que c'est TOI qui m'as mise au défi d'en réaliser une... (et comme j'avais trouvé une "bonne" idée...)

Et tu vas mourir sans connaître la suite ?

Autre détail : il est interdit de manger l'auteur !
 
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