Apocalypse |
Phenice |
![]() Je précise que je la lui ai montré avant. |
Azed |
Phenice |
![]() ![]() Par contre, peux-tu m'ôter d'un doute ? Tu ne t'es pas inscrit seulement pour poster sur cette histoire ? Certes, ce serait flatteur, mais n'hésite pas à visiter le forum. ![]() |
Apocalypse |
![]() Un excellent style d'écriture, c'est magnifique. Que dire de plus ? |
Phenice |
![]() Et je dois dire que quand je l'ai présentée à une amie, ça n'a pas aidé. En effet, lui ayant dit qu'elle ne me plaisait pas, elle m'a déclaré "Mais non, il y a des allitérations, des analepses et des prolepses (ce qu'il n'y a pas pour le dernier), c'est très bien !" ![]() Edité le 22-11-2008 à 13:23:20 par Phenice |
Azed |
![]() Je ne sais pas pourquoi mais j'aime beaucoup ton style. Et puis l'histoire est trés émouvante. Bon j'arrête avec mes commentaires bidons qui font plus que gâcher cette nouvelle qui ne le mérite pas... Edité le 21-11-2008 à 18:23:45 par Azed |
Phenice |
![]() Comme je l'ai expliqué, la thématique est la même que patins à glace car ils sont dans un même ensemble. Par contre, j'admets que je trouve que les deux se ressemblent. J'essaierai dans mettre d'autres un peu différentes. Je fais aussi les mêmes demandes pour l'utilisation que dans patins à glace. ![]() Bon, place à la nouvelle. Je me souviens encore de ce jour, où tu dansais sous la pluie. Nous venions de sortir de l'hôpital et tu étais heureux. On nous avait dit que le traitement fonctionnait. Tu étais en train de guérir. Et tu tournoyais sous cette pluie battante, un sourire éclatant au visage, se terminant par un rire. Et moi, ton sourire me faisais sourire. Mais ce n'était qu'une rémission. Et je me trouve là, à écouter cette pluie de terre tomber sur ton cercueil, mottes dures se fracassant sur le bois. Quelle ironie, c'est la seule pluie pour ton enterrement. Pourquoi la nature n'est-elle pas malheureuse ?! Mais non, il fait beau, de ce temps idéal pour un pique-nique et tu ne le sais pas. Tu n'est pas là, pour le partager avec moi. C'était quelques mois après. Tu étais à nouveau si fatigué. Nous sommes revenus à l'hôpital pour entendre la nouvelle. Les traitements ont repris mais tu ne faisais qu'empirer. J'ai tenu ta main dans les derniers instants. J'ai vu la lueur quitter tes yeux fatigués. Et même alors, tu semblais si faible, si vulnérable. Je ne sais pas à quel moment j'ai commencé à pleurer. Et maintenant, je regarde le trou se combler lentement, couvrant ton sourire, tes yeux pleins de vie. Et je me souviens de ce jour, où tu dansais sous la pluie. Edité le 11-01-2009 à 12:46:19 par Phenice |