| Dernières réponses | |  J'ai surtout pleuré de rire durant et après son discours à Marion moi :d. *sors*
Hum, sinon, Harry Potter VI vient d'être pondu si j'ai bien lu, parait qu'il est plus réussis que le précédent (après c'est pas bien dure de faire mieux que ce que je considère comme la pire adaptation), j'attends de voir ce que ça va donner en DVD. |
| | Nine.
I AM THERE.
Otto e mezzo .
Daniel Day-Lewis. (Academy Award for best actor 2009 spotted).
Marion Cotillard. (Academy Award for best actress 2009 spotted).
Rob Marshall.
J'ai pleuré... |
| | Oui, c'est le "feeling" du département artistique et de la réalisation pure qui est commun à tous ces films, mais au niveau strictement scénaristique, c'est chaud pour trouver des points communs ; en tout cas, moi, j'y arrive difficilement...  |
| | Je trouve au contraire que Burton pioche souvent dans le même genre de registre, ses films ont une esthétique gothique assez particulière, ils sont aussi souvent remplis d'humour noir. Les films que tu cites ont précisément ça en commun : compare les décors ou l'ambiance, c'est toujours cet espèce de romantisme avec un peu absurde et du glauque de partout. C'est... Du Burton quoi. Curieusement je ne pouvais pas penser à quelqu'un d'autre que lui pour bosser sur Alice au Pays des Merveilles, c'est comme si le bouquin en lui-même était fait pour être adapté par ce type, car il reprend précisément tout ce que j'ai cité plus haut.
J'avais beaucoup aimé sa version de Charlie et la Chocolaterie j'attends là du lourd (et Johnny Depp en Chapelier Fou, je peux mourir en paix) |
| | Wahou, une version Tim Burton d'Alice au Pays des Merveilles va sortir courant 2010, je savais pas. 
J'adore Tim Burton. Et j'adore Danny Elfman. Les films pour lesquels ils collaborent sont tous différents, et pourtant, pareils. Prenez Sleepy Hollow, Mars Attack!, Beetlejuice, Big Fish, Corpse Bride, Sweeney Todd, Batman et Edward Scissorhands. Vous aurez beau fouiller, niveau narration, thèmes, intrigue, motifs et personnalités, ces films n'ont pas grand chose en commun, et pourtant, dans chacun d'entre eux, il y a la "Burton & Elfman"-touch quelque part. Ça se ressent, c'est tout. Impossible de regarder ces films et ne pas se dire : "ça, c'est du Burton tout craché", même si ironiquement, on n'a rien vu de sa part qui ressemble à ce qui se présente sous nos yeux.
Burton est un peu mon réalisateur suprême à bien y penser, il a un truc que même Scorsese n'a pas : son travail verse dans le diversifié au point où on se demande d'où il puise son imagination (d'un autre côté, aussi parfaite et méticuleuse la cinématographie de Scorsese soit-elle, on retrouve une flagrante continuité dans son boulot, ce qui n'est pas non plus une mauvaise chose, d'ailleurs).
Bref, pour revenir au sujet, toujours pas de trailer pour cet Alice au Pays des Merveilles, mais quelque chose me dit que ça va roxxer. À suivre de très près, donc.  |
| | L'image d'Hitler à la fin résume assez bien ce que je prévois penser de ce film.
En bref, c'est du Tarantino. Je ne prendrai jamais ça totalement au sérieux, même si c'est présenté de manière sérieuse. En gros, ce sera un concentré de classe - le ton employé par Brad Pitt est assez typique de ce genre de productions, surtout lorsqu'il dit "The Germans will talk about us... etc. etc."
J'ai un peu de mal à imaginer comment ironiser décemment sur ce sujet, mais ça passait assez bien dans Hellsing, donc je vois pas pourquoi ça pourrait pas passer ici. Faut juste bien doser la chose et ne pas évoquer certains sujets - vive Kouta Hirano pour avoir occulté toute référence aux Juifs et à la seconde guerre mondiale dans Hellsing. |
| | Inglorious Basterds.
Wikipedia a écrit :
Inglourious Basterds is an upcoming epic ensemble war film written and directed by Quentin Tarantino. Set in Nazi-occupied France during World War II, it has the largest number of speaking roles of any Tarantino film to date and was filmed in several locations, among them Germany and France. Filming began in October 2008. The title (and partial premise) of the upcoming film are inspired by Italian director Enzo Castellari's 1978 movie Inglorious Bastards, but it is not a remake of that film. |
Tarantino+Brad Pitt...
Nuff said.
Ah si, un petit détail: [Quentin Tarantino spent more than a decade writing the script...].
Rien que pour ça j aurais pu me jeter sur le film, même si il fut à propos de skyblogs...
Donc là, pour une fois, je vais même attendre de me le prendre en DVD. |
| | Tout est dans le titre !
En voici un pour ma part :
http://www.youtube.com/watch?v=S4K3aM5H5KM&fmt=22
Ceux qui s'en souviennent savent que j'ai dit que j'ai toujours détesté Sherlock Holmes pour des raisons que je ne souhaiterais pas répéter, mais apparemment, Guy Ritchie a trouvé le moyen de me réconcilier avec le personnage : reprendre le Sherlock Holmes drogué, violent, égocentrique et boxeur des short stories (et non pas l'incohérence spatio-temporelle en terme d'humanité qu'est le Sherlock des romans qui m'a toujours emmerdé et injecter de l'humour.
Je vois déjà d'ici tous les Brits élitistes qui vont gueuler sur le massacre du mythe (par un des leurs en plus ! woah !  ), mais je vous avoue que j'en ai rien à foutre, sans compter que depuis que j'ai vu Chaplin, je suis absolument fou de Robert Downey Jr (sans compter qu'il doit être la seule raison pour laquelle j'ai bien aimé Iron Man ).
Et puis Guy Ritchie, quoi. |
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