| La vie de no-life est pas mal, dans le sens où elle est simple... Personnellement j'aime cette simplicité, et en prenant du recul des fois, je trouve ça plus ou moins malsain. Je ne fous rien, et j'aimerais que ça dure =_= Et après on s'étonne que je trouve rien sur rien, normal quand on cherche pas... |
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| Oh, et se faire une nuit blanche de 20 épisodes de Hajime no Ippo, c'est une expérience à ne rater sous aucun prétexte. La vie de nolife n'a pas que des inconvénients... Elle a d'ailleurs beaucoup plus d'avantages que d'inconvénients, si on y réfléchit. Mais encore, ça dépend des croyances et des valeurs de chacun. >-< Oui, oui, je sors. Moi, quand je me sens triste, je m'enfile 28 fois Hare Hare Yukai parce que de toute façon, le temps arrange les choses. |
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| maitre zelda a écrit :
J'aimerais bien sa sortir dans les bar avec mes ami de l'école |
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maitre zelda a écrit :
Avoir une vie "no-life" a rester chez nous sur l'ordi ou a jouer au jeux vidéo c'est poche. |
Do not agree. Sincèrement, il faut relativiser dans ce genre de situations. Prenons moi, qui suis un no-life glandu invétéré : tu crois réellement que je n'aimerais pas avoir une vie sociale comme tout le monde ? Mais à partir du moment où je rentre chez moi à 4h30 au lieu de 4h, ma mère me sermonne, mon père me sermonne, ils me tombent tous dessus, comme si j'avais commis un crime. Alors que je n'avais fait qu'un tour à la bibliothèque pour rendre un livre... Voilà l'une des raisons pour lesquelles j'ai hâte à mes 18 ans : enfin pouvoir faire ce que je veux sans être obligé de rendre de comptes à personne. Mes parents me sortent l'excuse que si jamais quelque chose m'arrivait, les fautifs, ce seraient eux, puisque je suis sous leur responsabilité. Je déteste le sentiment d'être "dépendant" de quelqu'un : même s'il m'arrivait quelque chose, j'aimerais bien pouvoir gérer ça tout seul, j'aimerais bien avoir à me démerder seul. Donc c'est bien de prôner l'idéologie antinolifiste, mais généraliser de la sorte, c'est un peu dûr, je trouve. La vie vaut la peine d'être vécue, c'est vrai, ne pas la saisir, c'est un peu comme se foutre de sa gueule, se foutre de la gueule de ce que la nature a eu la générosité de nous offrir. Mais tout le monde n'a pas la chance de pouvoir croquer dans la vie à pleines dents... |
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