| | | | | | | | Windspirit | | Mushishi | | Modérateur |  |  | | 4577 messages postés |
|  Posté le 30-05-2007 à 23:26:55   
| Yop !
Un petit guide sur le shojo manga, comme je l'avais promis. Partout, j'entends à tort que les shojo mangas ne sont que des histoires d'amour à l'eau de rose bonnes pour les adolescentes prépubères. Faux.
Shojo : kézako ?
"Shôjo" (少女 ) est un mot japonais qui désigne une jeune fille. Adolescente, à l'habitude. Donc entre 13 et 18 ans. Le shojo manga tire son origine des années 50 avec Osamu Tezuka (l'éternel Osamu Tezuka...) avec son manga "Princess Knight". C'était le seul shojo manga des années 50 et 60 : il faudra attendre les seventies avec une l'explosion des mangakas FEMMES pour que le shojo manga apparaisse vraiment.
Le stéréotype parfait du genre shojo, c'est l'histoire d'amour avec une protagoniste, des bishôs inhumains aux yeux énormes et aux backgrounds fleuris, étoilés ou remplis de bulles. Gamin comme tout, quoi.
À tort, plusieurs mangas sont vus comme des shojos simplement par leur contenu gamin. Pour ne pas dire que TOUT ce qui est sans violence et qui a des lycéennes kawaii est automatiquement considéré comme un shojo. Exemples flagrants qui sont des seinens : Azumanga Daioh ou Lucky Star. Et de la même façon, dès qu'un manga se focalisera sur de la romance, il sera considéré comme un shojo. Exemple : Love Hina, qui est un shonen. Ou alors Ah! My Goddess ou L'Arme Ultime, qui sont des seinen. Et dans la même perspective, aucun manga qui traite de sujets durs, qui est violent, gore, et avec beaucoup d'actions ne peut être un shojo. C'est tout simplement inconcevable.
STE-RE-O-TYPES !!!
Ce qui différencie vraiment le genre shojo des autres genres, c'est uniquement le fait que l'histoire se focalise surtout sur les personnages, leur développement, le développement des relations entre eux et plus important encore, des romances. Et ce, dans absolument n'importe quel context : historique, science-fiction, fantastique, gore, postapocalyptique...
Des shojos gores...
Je prends comme exemple X. Dans X, nous nous trouvons en 1999, dans un contexte de fin du monde. Kamui, un jeune homme (protagoniste MASCULIN ), revient à Tokyo 6 ans après l'avoir quitté. Ici, son destin l'attend : il est convoité par deux clans qui vont se livrer la bataille ultime qui déterminera si le monde sera préservé ou détruit pour reconstruit. Ces deux clans sont les Dragons de la Terre et les Dragons du Ciel. Il décidera ultimement de rejoindre les Dragons du Ciel (qui veulent donner une seconde chance à l'humanité), mais ce choix a amené l'éveil d'un autre Kamui qui rejoindra les Dragons de la Terre. Et cet autre Kamui, ce n'est nul autre que son meilleur ami, Fûma...
X est une série extrêmement violente , gore à souhait . Au programme : des décapitations, des corps transpercés, des coulées de sang importantes, de l'action à couper le souffle, de la big baston...
Mais ce qui fait que X est un shôjo, c'est le fait que son histoire est focalisé sur un cast de 22 personnages et les relations entre eux. À travers l'histoire, des couples se forment, se détruisent, les personnages évoluent... C'est là le véritable principe du shojo.
Bien sûr, même si le fond est violent, X est surtout romantique. Il est vrai que la romance est omniprésente dans le genre shojo, mais il ne faut pas la voir comme gnan gnan, bien au contraire : la plupart du temps, ces histoires d'amour, malgré le fait qu'il y ait présence de comédie, sont traitées de façon très mûre et très sérieuse.
Question maturité, le shojo manga est donc définitivement supérieur au shonen manga.
Les shojos purs
Dans les purs shojos de romance, il est vrai que certains stéréotypes s'appliquent. Mais l'aspect gnan gnan qui peut rebuter est tout bonnement inexistant. D'abord, le dessin est définitivement plus fouillé que dans le shonen manga. Les shojo mangakas insisteront beaucoup sur plusieurs détails. Exemple : les yeux. Les yeux énormes servent surtout à définir l'intensité des émotions ressenties par les personnages. Autre exemple : les backgrounds. Il y aura beaucoup de fleurs (des fois, des fleurs de cerisier qui flottent dans les airs). Ces fleurs intensifieront la joie véhiculée par la scène. Bref, vous voyez que tous ces petits détails servent beaucoup à catégoriser le shojo pur, qui est loin d'être un ramassis d'histoires d'amour gnan gnan, mais bien des romances mures entre des personnages riches en émotion.
Maintenant que ceci est dit, il est important de souligner les différents styles du shojo manga. Il y a bien sur le shojo pur, les shojos plus marginaux (et la plupart du temps plus violents), les magical girls, les mangas de sport, le yaoi...
Magical Girls
Commençons par les magical girls. J'espère qu'après avoir lu ceci, vous aurez une meilleure idée de ce genre qui fait penser à Sailor Moon...
OUBLIEZ CETTE IDIOTIE DE SAILOR MOON VF, NON MAIS !!! (Car je sais bien que Sailor Moon VO est une splendeur...) Les magical girls ne sont pas des ramassis de conneries de ce genre avec des lycéennes qui se transforment. Le magical girl, c'est un peu un shonen amélioré. C'est-à-dire un shonen avec toutes les qualités du shojo. Les magical girls ont à peu près les mêmes caractéristiques que le shonen, en quelque sorte : une protagoniste aux pouvoirs spéciaux, souvent magiques, et qui s'en servira pour toutes sortes de raisons. Dans les magical girls, il y a quelque chose de magnifique, et je suis sûr que ça vous étonnera énormement. Cette chose, ça s'appelle un scénario .
Oui, les magical girls ont des scénarios !! Des scénarios souvent sérieux, recherchés, diversifiés et très prenants !! Certes, on est loin d'un bon seinen, mais la qualité des scénarios des mangas magical girls sont soulignés absolument partout. Récemment, il y a eu Magical Strikers Lyrical Nonoha. Ça à l'air bidon comme tout, mais le nombre de 10 que j'ai vu lors de la critique du scénario est exhubérant.
L'autre aspect important du magical girl, c'est que l'héroïne mûrira au fur et à mesure grâce à ses pouvoirs. En effet, ses pouvoirs l'amèneront à confronter des situations très difficiles, autant entre d'autres personnages que par rapport à elle-même. Et toutes ces situations qu'elle vivra serviront à la construire en tant que personne, et c'est ainsi que vous la verrez gagner en maturité à travers ses histoires... L'excellent exemple qui me vient tout de suite à l'esprit est Cardcaptor Sakura, et je suis sûr que des mangas comme Sailor Moon sont tout aussi bons (saleté de censure, résultat de l'étroitesse d'esprit indécrottable des Occidentaux...)
À noter que leurs pouvoirs serviront souvent de deus ex machina et qu'un aspect important de ces magical girls est la dépendance que les filles peuvent développer par rapport à leur pouvoir, ainsi que la surutilisation de ces pouvoirs à des fins personnels.
Shonen-ai
Autre chose dont j'aimerai parler : le shonen-ai. J'imagine que vous savez que certaines personnes sont attirées par d'autres personnes qui ont le même sexe qu'elles. C'est ce qu'on appelle l'homosexualité. Et là où le Japan outdate avec maestria l'Occident, c'est au niveau de son ouverture d'esprit envers l'homosexualité. Les Japonais ont toujours eu une excellente vision de l'homosexualité, certains vont d'ailleurs jusqu'à affirmer que c'est "la forme d'amour la plus pure".
Dans les mangas shonen-ai, c'est surtout romantique (rien de sexuel ou d'érotique), et les garçons sont d'une beauté extravante. La plupart du temps, leurs traits seront soignés et un tantinet effeminés, leurs cheveux voleront au vent et seront détaillés, leur yeux seront pleins d'émotion et de profondeur et leur sourire fera battre autant de coeurs que l'hypertension...
Ces romances sont vues par beaucoup comme des prétextes pour présenter un fanserviceland ad absurdum . D'autres y verront des histoires d'amour clé en main qui satisfairont les fantasmes les plus perverts de lycéennes en pleine crise d'adolescence.
Faux.
Ces romances sont poussées et recherchées. Parfois, elles seront confrontées à des problèmes d'aujourd'hui très durs, car le monde dans lequel nous vivons est malheureusement bercé par l'homophobie. Les personnages de ces mangas feront des réflexions très poussées sur la société d'aujourd'hui et son comportement avec les homosexuels. Ils pourront jusqu'à imaginer une utopia où un couple homosexuel est vu aussi normalement que, par exemple, un individu à la couleur de peau noire. Vous savez qu'il y a quelques centaines d'années (peut-être même à peine quelques dizaines d'années), il y avait des écoles pour Blancs et des écoles pour Noirs. Un Blanc ne se sentait jamais à l'aise avec un Noir. Les Noirs étaient en quelque sorte les homosexuels de l'époque.
Et voyez comment ça a évolué : aujourd'hui, la couleur de peau ne veut absolument rien dire. Ça a été banalisé au maximum, Blancs et Noirs font bon ménage. Et personnellement, je suis content de la façon dont cela a évolué.
La même analogie pourrait se faire avec les homosexuels. Peut-être qu'un jour, un couple homosexuel pourra s'embrasser en public sans que tout le monde se tourne vers eux et les foudroient du regard, et qu'au lieu, ils voient ça comme étant aussi normale qu'un couple hétéro se faisant des mamours...
Un jour, peut-être... J'espère vivre assez vieux pour voir un monde comme ça, mais bon, ce ne sont que des rêves d'adolescent...
Bref, vous pouvez voir à quel point les auteurs qui font du shonen-ai cherchent réellement à rendre leurs mangas aussi poussés que possible...
Pour finir, un petit truc marrant : en 2006, 84% des garçons australiens ont affirmé préférer des animes comme Cardcaptor Sakura ou Sailor Moon à des shonens comme DBZ ou Norauto. Et Gravitation (manga shonen-ai) est l'un des mangas les plus vendus des États-Unis : comme l'a souligné Katua, c'est difficile de croire qu'il n'y ait que des filles qui le lisent ^^
Ce qui veut dire que le mot "shojo" n'est là qu'à titre indicatif : le shojo manga est autant lu par les garçons que par les filles. Et il n'est pas hétéroclite de voir des garçons préférer le genre shojo au genre shonen, comme moi, par exemple. Le shojo manga a absolument tout pour plaire, et s'il ne fait pas l'unanimité, c'est tout simplement parce que c'est un style méconnu et sur lequel un nombre incalculable de stéréotypes circulent, notamment celui sur la gaminerie. D'ailleurs, un autre truc bien marrant : tous ceux qui affirment ne pas aimer le shojo n'y connaissent au final pas grand chose. Alors que ceux qui n'aiment pas le shonen y ont définitivement goûté (comme moi, encore une fois >_< )
Et leur principal argument est le fait que le shojo est "gnan gnan", alors que la maturité est extrêmement présente dans le genre shojo. Bien plus que dans le genre shonen, d'ailleurs  (ben, scusez, mais le shonen a beau avoir du drame et des phases d'actions, mais niveau comédie, là, c'est gnan gnan... pas bizarre du tout, vu que le shojo vise surtout les adolescentes par son contenu et le shonen est surtout regardé par des gamins, au Japon (la majorité des spectateurs de Norauto sont encore dans la tendre enfance, vers 9~10 ans >_< ))
Valà. J'espère avoir éclairé votre vision sur le genre shojo et qui sait ? peut-être en convaincre quelques-uns à les essayer... enfin... 
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They are neither plants nor animals.
They differ from other forms of life such as the micro-organisms and the fungi. Instead they resemble the primeval body of life and are generally known as Mushi. Their existence and appearance are unknown to many and only a limited number of humans are aware of them. |
| | Azed | | Nounoulife x) | | Membre |  |  | | 2742 messages postés |
| Posté le 30-05-2007 à 23:59:39
| J'ai compris la leçon, je ne recommencerai plus c'est promis. 
*S'en va en répétant 100x : "Les shôjo ne sont pas des stéréotypes comme Sailor Moon... les shôjo ... *
Plus sérieusement, c'était trés bien expliqué et le tout avec une petite touche d'humour ... Félicitations ^^
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Misery doesn't love any kind of companies... it only loves miserable companies. |
| | Windspirit | | Mushishi | | Modérateur | | | | 4577 messages postés |
| Posté le 02-06-2007 à 00:35:22
| Une petite suggestion : on pourrait faire de ce topic un "recueil" des meilleurs shojos existants. Je vous invite donc à faire des "articles" sur les meilleurs shojos que vous connaissiez, ou bien simplement des shojos qui vous ont marqués. Ça pourrait en influencer quelques uns à les zieuter...
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| | Katua | | Mangeuse de chocolat | | Modérateur | |  | | 2226 messages postés |
| Posté le 02-06-2007 à 10:53:56  
| Ca serai sympa oui, on les posterai où ? Dans ce sujet ?
*adore faire des fiches*
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| | Windspirit | | Mushishi | | Modérateur | | | | 4577 messages postés |
| Posté le 02-06-2007 à 12:55:28
| Ici même, ouaip  Enfin, peut-être que les prendrai et que je les mettrais dans le premier post, question qu'on n'aille pas chercher dans la 23e page alors qu'on est à 48 pages de dialogues la fiche de Lovely Complex >_<
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| | Katua | | Mangeuse de chocolat | | Modérateur | | | | 2226 messages postés |
| Posté le 14-06-2007 à 19:29:18
| Aller, j'ouvre la danse avec un petit "article" de Escaflowne, je suis tombée sur le générique et je me suis dit que c'était la moindre des choses, parce que Escaflowne, c'est culte et c'est très franchement shôjo. 
Folken, Allen, Hitomi, Van et Dilandau : les personnages principaux
Synopsis : Hitomi est une jeune fille banale, passionée par les arts divinatoires et secrètement amoureuse de Amano, le beau gosse de son lycée. Un soir où elle s'entrainait pour un concours d'athlétisme, une faille s'ouvre et laisse apparaitre un jeune garçon combattant un puissant dragon. Le garçon parvient à le vaincre avec l'aide l'aide d'Hitomi et ils se retrouvent tous deux téléportés dans un autre monde : Gaïa. Le garçon se nomme Van et il est le prince d'une des patries de ce monde : Fanelia. Mais peu après l'arrivée de Hitomi sur Gaïa, une guerre va éclater et l'Empire de Zaibacher va mettre à feu et à sang le royaume de Van, qui va ètre ainsi condamné à fuir avec Hitomi.
Il faut savoir que Vision d'Escaflowne, c'est deux mangas (un shonen et un shojo, aussi nuls l'un que l'autre), un film et une série. Je ne parle ici que de la série, je ne connais que trop peu les autres supports.
L'anime donc, compte 26 épisodes.
Il est très axé romance, puisque cette pou... enfin, Hitomi, passe son temps à tenter de conquérir le coeur de Allen, preux chevalier du coin. Cet aspect là est d'ailleur assez gnangnan et endormant, heureusement qu'à côté de ça on a tout de même un scénario bien ficelé !
Car Escaflowne raconte avant tout l'histoire d'une guerre et d'une vengeance : celle de Van vis à vis de son frère ainé, Folken, qui a rejoint le camp ennemis.
Si les gentils sont assez stéréotypés, ce n'est pas le cas des méchants qui sont nettement plus classes et intéressants.
Je m'arrèterai un instant sur Dilandau, le taré de l'anime, qui est finalement un des personnages intéressants de la série.
Il est vraiment flippant et son évolution, toujours à cheval entre lucidité et folie, est assez surprenante.
Vision d'Escaflowne est à voir surtout pour son mélange des genres mécas et héroïc-fantasy qui le rend vraiment unique.
Bien sûr, il faut citer l'exellent travail de Yoko Kanno, sans qui cette série ne serai rien.
Si la romance et le charac' design un peu spécial ne vous rebute pas, essayez sans hésiter.
C'est culte, vraiment, et en plus c'est bien 
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| | Windspirit | | Mushishi | | Modérateur | | | | 4577 messages postés |
| Posté le 16-06-2007 à 15:34:20
| En effet, le gros défaut d'Escaflowne réside dans sa romance. Les héros sont stéréotypés, Hitomi est une pouffe qui jongle entre Van et Allen et ses interactions avec ces deux personnages sont à la limite soulantes et gnan gnan.
Ce qui fait vraiment le charme d'Escaflowne, c'est évidemment son scénario et ses antagonistes. Petit coup de coeur concernant la relation entre Folken et Van, particulièrement grâce à la profondeur du personnage de Folken qui est loin d'être un simple méchant qui veut buter tout le monde (comme le film le montre, d'ailleurs).
Sinon, petite fiche sur Lovely Complex, le meilleur shojo du moment :
Synopsis : Lovely Complex raconte l'histoire d'un garçon et d'une fille. La fille, Risa Koizumi, fait 1m72 (sa taille est exagérée dans l'anime, mais 1m72, c'est supérieur à la moyenne des tailles des lycéennes au Japon). Le garçon, Atsushi Ootani, fait 1m56 (minuscule). Leur duo est très populaire à l'école, on les appelle d'ailleurs les "All Hanshin Kyoujin" (pièce de théâtre très populaire au Japon pour sa comédie entre une géante et un nain). Un jour, un garçon de la taille de Risa est transféré à leur école. Risa est tout de suite tombée folle de lui. De son côté, Ootani est tombé amoureux d'une fille de sa taille. C'est là que Risa et Ootani ont décidé de mettre leurs différends au vestiaire et de s'entraider pour conquérir l'objet de leurs désirs.
Cependant, allez savoir pourquoi, leurs deux amoureux respectifs sont tombé amoureux l'un de l'autre  C'est à ce moment-là que Risa réalise qu'elle a des sentiments pour Ootani...
Plutôt axé comédie, ceci est mon coup de coeur de la saison avril 2007. La relation entre les deux personnages est vraiment intéressante à suivre. C'est loin d'être une histoire entre deux gugusses fais l'un pour l'autre, c'est surtout l'histoire d'une jeune fille qui est tombée amoureuse d'un idiot qui fait 20 centimètres de moins qu'elle XD
Car oui, Ootani est un idiot. Ses passages d'idiotie sont hilarants. Tous les signes que Risa lui envoie auront été vains vu qu'il ne comprend jamais rien. "Il est plus petit que moi, il est craquant et il joue du basket". Il y a-t-il plus canon ? Eh ben Ootani fera des fouilles dans son club de basket pour découvrir qui Risa peut bien aimer
Ce qui est intéressant, c'est que la relation entre les deux protagonistes évolue rapidement sans que ça fasse fouilli. À chaque épisode, on nous donne juste assez d'éléments pour monter leur relation à un niveau supérieur.
Bref, fans de shojo ni trop glauques, ni trop gnan-gnan (car à travers la comédie, il y a quelques phases de drame (mention spéciale à la fin de l'épisode 8 qui m'a fait rire et pleurer en même temps du jamais vu Oo)), Lovely Complex est définitivement pour vous.
10 épisodes disponibles en VostA, on ne connait pas encore le nombre exact d'épisodes, mais au rythme où ça va, on peut espérer qu'ils casent le tout en 24 épisodes bien jolis.
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| | Shannan | | Brainstormer | | Membre | | | 679 messages postés |
| Posté le 16-06-2007 à 21:26:38
| Windspirit a écrit :
Synopsis : Lovely Complex raconte l'histoire d'un garçon et d'une fille. La fille, Risa Koizumi, fait 1m72 (sa taille est exagérée dans l'anime, mais 1m72, c'est supérieur à la moyenne des tailles des lycéennes au Japon). Le garçon, Atsushi Ootani, fait 1m56 (minuscule).
|
Un héros de manga plus petit que moi ?! C'est vachement rare !!! J'ai presque envie de regarder cet anime rien que pour ça !!! 
Ce qui me surprend dans cette histoire, c'est l'héroine qui fait 1m72 et qui passe pour une géante. Mais quelle taille peuvent bien faire les japonaises ? 
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En travaux ... |
| | Windspirit | | Mushishi | | Modérateur | | | | 4577 messages postés |
| Posté le 17-06-2007 à 12:35:32
| Kamui fait 1m60
Risa fait 1m72, mais comme je l'ai dit, sa taille est un peu exagérée. Moi-même, je fais 1m76 et je n'ai pas l'air aussi grand.
Maintenant, c'est à se demander si le fait que je n'aie pas l'air aussi grand soit expliqué par les tailles des autres élèves de mon école. Ils ont tous à peu près la même taille que moi, ou du moins, dans les environs. Parce que Risa semble vraiment énorme, je me demande si ce ne sont pas ses amies qui font environ la taille de Ootani qui la mettent en valeur...
La moyenne des tailles des filles au Japon est d'environs la taille de Ootani à 14 ans ; à 16 ans, elle devrait tourner autours de 1m58.
Tu me diras que 14 centimètres, c'est pas 5 mètres, mais oh well...
(Dis donc, Shannan, tu mesures combien ? ^^ Encore moins que ta naine de petite soeur ? *Détale* )
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| | Shannan | | Brainstormer | | Membre | | | 679 messages postés |
| Posté le 17-06-2007 à 18:11:28
| Si la moyenne est d'1m58 je comprend mieux pourquoi elle paraît géante, en France c'est plutôt 1m65.
Windspirit a écrit :
[size=10](Dis donc, Shannan, tu mesures combien ? ^^ Encore moins que ta naine de petite soeur ? *Détale* ) |
On va dire supérieur ou égal. Et ma soeur n'est pas naine d'abord. 
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En travaux ... |
| | Windspirit | | Mushishi | | Modérateur | | | | 4577 messages postés |
| Posté le 26-06-2007 à 14:54:11
| Jôdan da yo, jôdan...
Petite fiche sur Ouran High School Host Club !
Synopsis : Dans l'Académie Ouran, la plupart des étudiants sont issus de familles riches et influentes. C'est dans cet environnement qu'évoluera Haruhi Fujioka, une jeune fille de 16 ans issue d'une famille de la classe moyenne, qui a réussi à entrer à Ouran grâce à une bourse. Évidemment, elle n'a même pas les moyens de se payer l'uniforme, elle traîne donc avec un pull, un pantalon long, des lunettes énormes et des cheveux courts et fouillis.
C'est pour ça que la majorité des étudiants la prennent pour un garçon.
Un beau jour, puisque, évidemment, la bibliothèque de l'école est remplie de becs de pie qui se l'ouvrent à chaque occasion pour causer de leur voyage en Sibérie, en France ou aux Îles Galapagos, Haruhi a décidé d'occuper la Troisème Salle de Musique, apparemment inutilisée, pour étudier. Mais dès qu'elle a ouvert la porte, des pétales de roses lui revolèrent dessus, l'aveuglant, et elle entendit les six mâles les plus séduisants du lycée lui dire : "Irasshaimasen !"
Ces six garçons forment le Host Club, le club des hôtes, qui sont en quelque sorte les prostitués légaux du lycée : ils font du charme aux filles, ils les séduisent, les divertissent, et empochent le pognon 
Haruhi, déconcertée par le comportement de ces sauvages, a perdu son équilibre et a cassé un vase d'une valeur de 8 Millions de Yen, environ 50 000 Euros. C'est sa dette envers le Host Club à partir de ce moment-là. Pour payer cette dette, elle est devenue la serveuse du groupe, qui leur fait le ménage, leur fait à manger, etc.
Tamaki, le président du Host Club (dont le seiyuu est Mamoru Miyano, au passage (qui fait Light dans Death Note ), a décidé de continuer à lui faire du charme et lui a retiré ses lunettes. Lorsqu'il a vu à quel point Haruhi était mignon (il ne savait pas que c'était une fille ) avec ses lunettes, il en a fait une Hôte.
Haruhi fait un carton auprès des clientes. Et son occupation d'Hôte allait être sa façon de payer sa dette : elle devait satisfaire une centaine de clientes avant d'être libre. Elle n'avait aucun problème à le faire, car même si c'était une fille, avec un simple uniforme de garçon, elle avait l'air d'un pur mâle.
(Euh, ouais, Haruhi a les seins plats...)
Mais même après ses 100 clients, Haruhi a découvert qu'elle se plaisait dans le Host Club. Elle a développé une relation très solide avec chacun des membres du club, et petit à petit, elle découvrait qui ils étaient réellement, leur vie, leurs amours, leurs passions...
Mon avis : Ceci est un manga tout bonnement excellent. J'ai vu l'anime et c'est l'un des seuls à m'avoir donné envie de lire le manga, c'est dire !
En fait, ce qui caractrise vraiment Ouran, c'est la richesse et l'originalité des personnages. Il y a Kaoru et Hikaru, les deux jumeaux déjantés qui séduisent les filles en se faisant des mamours (et en atteignant le comble de l'immoralité en matière de relation amoureuse), Mori, le grand jeune homme taciturne et sauvage, Honey, un clône de Momiji (Honey et Momiji ont le même seiyuu, au passage ), Kyouya, le mystérieux leader financier du groupe, et finalement, Tamaki, le président et sûrement le plus idiot des membres du club.
Certains associent à tort ce manga à School Rumble. Ouais, les deux se passent dans une école, avec de la comédie, etc.
Mais la différence majeure avec School Rumble, c'est que celui-ci est un shonen déjanté sans une seule once de romance ; Ouran est un peu plus sérieux. Les personnages sont intéressants, ils ont du vécu, des passés très troublés (notamment Tamaki, dont le passé ne sera révélé qu'à la toute fin de l'anime et dans les derniers chapitres sortis du manga)...
C'est aussi l'un des seuls mangas en cours adapté en anime (avec une conclusion imaginée par le studio qui l'a adapté (Bones dans ce cas-ci)) qui a une conclusion très logique et satisfaisante. La fin conclut en quelque sorte l'histoire d'amour et Tamaki et Haruhi, en reprenant des éléments du manga pour donner une situation de final splendide, avec des insert songs et tout et tout *__*
Bref, particulièrement pour la qualité de ses personnages, Ouran High School Host Club est vraiment un manga à lire et un anime à voir
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| | Katua | | Mangeuse de chocolat | | Modérateur | | | | 2226 messages postés |
| Posté le 22-07-2007 à 22:17:56
| Le truc avec tes animes Windy, c'est que ce sont des comédies romantiques en contexte scolaire et... Je ne supporte pas ça ^^ (le grand Fruits Basket étant l'Exeption à la rêgle)
Un petit up pour ce sujet, parce que j'avais envie de vous parlez de Angel Sanctuary (faudrait que je me prenne le tome 10 d'ailleurs...)
Kira et Setsuna, les meilleurs amis du monde... Au début.
Il y a des milliers d’années, une guerre éclata entre deux anges, Alexiel, ange rebelle, s’opposa à son frère jumeau, Rochel. L’issue de la bataille fut terrible : Rochel fut scellé au centre de la Terre tandis que Alexiel, capturée par les siens et accusée de haute trahison fut condamnée au pire des châtiments. Son âme séparée de son corps se verra réincarnée dans des vies pleines de souffrances et aux issues cruelles jusqu’à la fin des temps...
Tokyo, 1999. Setsuna est un lycéen normal, à la différence près qu’il voue un amour sans limite à sa jeune sœur Sara. Quand deux démons lui apprennent qu’il est la réincarnation de l’ange Alexiel, il ne les croit pas et songe plutôt à régler ses problèmes sentimentaux... Pourtant, un drame est sur le point de se produire : Katan, honorable Chérubin, a désobéit aux ordres et est venu sur Terre sacrifier des âmes d' innocents dans le but de réveiller son maitre, Rochel, déjà endormit au fond de la Terre depuis trop longtemps... Depuis sa disparition, les Cieux sont sans dessus-dessous et les guerres pour le pouvoir s'enchainent... Humilié et complètement fou, Rochel n’a malheureusement plus qu’une chose en tête : faire revenir sa sœur dans le but de se venger. Il s’aperçoit rapidement que le seul moyen de la libérer de « Setsuna » est de tuer la seule personne qui compte vraiment aux yeux du jeune homme : Sara.
Angel Sanctuary est la seconde œuvre majeur de Kaori Yuki, après Comte Cain qu’elle mit en hiatus dans le but d’attaquer cette nouvelle série, composée de 20 volumes.
Je ne sais vraiment pas par où commencer tellement Angel Sanctuary est une œuvre riche et complexe...
Le manga débute par un arc introducteur de 3 volumes se passant sur Terre et mettant en scène les différents protagonistes, (mais pas tous, il y a beaucoup de personnages dans AS) c’est l’arc le moins captivant, donc. (et en rien représentatif du reste de l'histoire)En fait, c’est tout simplement l’histoire d’amour entre Setsuna et Sara. Je tiens d’ailleurs à préciser que l’auteur ne défend en aucun cas l’inceste ! Ici ce qu’on nous montre avant tout, ce sont deux êtres qui s’aiment malgré les contraintes morales et éthiques dues à leur situation de parenté. Ca peut rebuter au début, mais finalement on en oublie presque qu’ils sont frères et sœur ^^
Ce premier arc donc, a été adapté en 3 OAVs que pour ma part j’ai trouvé moyen moins. Ils sont très réducteurs par rapport au manga et... Le design de certains persos en a pris un coup >_>
Ceci dit, ça reste une bonne introduction à la série, même si un bon nombre de personnages capitaux passent à la trappe.
La suite de l’histoire se passe à la fois dans les cieux et en enfer, avec les habitants qui vont avec.
Concernant le scénario, il parait particulièrement complexe aux abords et au final... Il reste très compliqué ^^ Il faut parfois vraiment s’accrocher, relire plusieurs fois certains passages pour capter les subtilités, etc... Pour quiconque fera l’effort de comprendre, le scénario apparaîtra certainement comme un des points fort de la série et c’est sans compter tous les retournements de situations grinçant qui vous rappelleront bien combien vous n’avez pas été assez attentifs dans votre lecture ^^ (comme toujours chez cet auteur d’ailleurs ) C’est bien simple, chaque détail compte. Je ne sais pas vous, mais moi j’adore ça ^^
Je précise que l’auteur a bien fait exprès de modifier bon nombre de choses par rapport aux traditions chrétiennes vis-à-vis des anges. Ils sont ici pour la plupart des êtres cruels, aveuglés par le pouvoir et méprisant les êtres humains... Ca fait un peu bizarre au début, mais bon, Kaori Yuki a toujours écrit des trucs un peu tordus et finalement, ça fait partie de la mythologie du manga ^^
L’ambiance alterne entre drame et comédie. On a la fois des scènes extrêmement gores et des moments complètement loufoques... Je précise que ce n'est pas à mettre entre toutes les mains. Windy n'arrète pas de dire que c'est de la perversion... Franchement, allez au delà de l'aspect inceste (qui par ailleurs disparait assez vite) et vous trouverez certainement une des oeuvres les plus riches disponibles sur ce marché. Glauque, j'admet. Après, à moins d'être TRES puritain et à part si le fait de voir des anges corrompus vous dégoute, bah c'est pas vraiment si choquant que ça...
Visuellement... Ben c’est du Kaori Yuki... On aime ou on aime pas, mais on ne peut absolument pas rester indifférent devant la richesse de son style et le... Sur chargement de ses planches et de sa mise en page ^^ A savoir que bien évidemment, le style évolue énormément du début à la fin de la série. (voyez par vous même la finesse du dessin *_* )
Enfin, concernant les protagonistes, c’est sans contexte un des points forts du manga (avec les dessins et le scénario, oui je fait ma fangirl). Kaori Yuki est connue pour développer TOUS ses personnages, c'est-à-dire qu’ils sont tous très intéressant à suivre, j’aurais même tendance à dire que les personnages secondaires sont nettement plus développés et intéressant que les héros. C’est assez cruel, on s’attache à des persos sans s’en rendre compte alors qu’on les détestait deux volumes plus tôt... Et finalement, comme l’auteur est cruelle, on a le droit à un bon nombre de morts et bien sûr des trahisons. Il n’y a ni méchants ni gentils, c'est-à-dire que même un type comme Rochel (oui c'est bien un homme) qui est la plus grosse ordure du monde apparaît parfois comme étant sympathique... Au contraire, un type zen et fun comme Zahikel se révèle avoir un passé assez douteux de tueur sanguinaire... Chaque personnage a ses ambitions, ses buts, ses craintes, ce qui fait qu’on a finalement une multitude d’intrigues en parallèle avec la quête de Setsuna.
Qu’on aime ou pas, Angel Sanctuary est de toute façon marquant. Culte aussi en matière de shojo, on a rarement droit à un manga aussi complexe... Reste que la traduction française de certains tomes est parfois plus que douteuse. Une réédition est néanmoins prévue pour la fin de l’année et, je l’espère, identique à la sublime réédition japonaise *_*
Message édité le 22-07-2007 à 22:18:59 par Katua
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| | Guile | | Absent! Absent! | | Membre | |  | | 1994 messages postés |
| Posté le 22-07-2007 à 22:46:01
| Une réédition est prévue? Heureusement, car les 10 premiers tomes étant ma première expérience en shôjo, ça m'a barbé et je n'ai donc pas tellement cherché à comprendre. Mais par la suite, comme je n'avais rien à faire, j'ai continué, et en effet le scénario est complexe.
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| | Windspirit | | Mushishi | | Modérateur | | | | 4577 messages postés |
| Posté le 23-07-2007 à 01:01:48
| Je traine au tome 2 depuis très longtemps et franchement, tu me rassures énormément en disant que la vraie histoire démarre justement au tome 4.
Je me faisais littéralement ch*er à suivre cette espèce d'histoire d'amour perverse au possible entre un mec et sa frangine... Oui, en parallèle, les personnages sont présentés, mais on m'a promis du gore, du fantastique, du scénario complexe, des personnages travaillés ; je me suis senti arnaqué en voyant toute cette romance mielleuse...
Bon, je passe vite fait au travers du tome 3 et je te rejoins dans ton trip Angel Sanctuary, Katua
Surtout que ça a l'air d'avoir une classe d'un niveau inégalé.
Katua a écrit :
Le truc avec tes animes Windy, c'est que ce sont des comédies romantiques en contexte scolaire et... Je ne supporte pas ça ^^ (le grand Fruits Basket étant l'Exeption à la rêgle) |
C'est vrai que ça confère un énorme avantage lorsqu'on ne soucie pas du contexte d'un anime, je me mets à goûter à peu près à tout. Le seul contexte qui me rebute au plus haut point, c'est le futuriste avec plein de mechas et de colonies avec des différends entre la Fédération Terrestre et les colonies en question >_< Je hais Gundam du plus profond de mon âme consumée.
À part ça, je bouffe à peu près n'importe quoi...
Mais bon, faut dire aussi que beaucoup de shojos se déroulent dans un contexte écolier...
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They are neither plants nor animals.
They differ from other forms of life such as the micro-organisms and the fungi. Instead they resemble the primeval body of life and are generally known as Mushi. Their existence and appearance are unknown to many and only a limited number of humans are aware of them. |
| | Katua | | Mangeuse de chocolat | | Modérateur | | | | 2226 messages postés |
| Posté le 23-07-2007 à 11:48:24
| Guile a écrit :
Une réédition est prévue? Heureusement, car les 10 premiers tomes étant ma première expérience en shôjo, ça m'a barbé et je n'ai donc pas tellement cherché à comprendre. Mais par la suite, comme je n'avais rien à faire, j'ai continué, et en effet le scénario est complexe. |
Concernant la réédition, si c'est la même que la japonaise, on aura droit à deux fois moins de volumes (c'est à dire des volumes en regroupant 2 d'un coup), un plus grand format, des couvertures superbes et une nouvelle traduction.
Moi je suis en parallèle un sîte qui explique les erreurs de la traduction française, j'ai découvert que mes 8 premiers tomes avaient été déjà retraduits, mais le 9...
OMG des phrases trop longues, des tournures douteuses, des contre-sens...
C'est scandaleux, déjà que ce n'est pas simple à comprendre mais alors là, ils font le comble du comble... (il parait que dans la première édition c'était tellement mal traduit que l'histoire était modifiée Oo)
Après, comme je l'ai dit, c'est loin d'être le genre de manga qui plait à tout le monde néanmoins, je crois que c'est bon à lire ne serai-ce pour le côté culte (ceci dit moi j'adore)
Windy a écrit :
Je traine au tome 2 depuis très longtemps et franchement, tu me rassures énormément en disant que la vraie histoire démarre justement au tome 4.
Je me faisais littéralement ch*er à suivre cette espèce d'histoire d'amour perverse au possible entre un mec et sa frangine... Oui, en parallèle, les personnages sont présentés, mais on m'a promis du gore, du fantastique, du scénario complexe, des personnages travaillés ; je me suis senti arnaqué en voyant toute cette romance mielleuse...
Bon, je passe vite fait au travers du tome 3 et je te rejoins dans ton trip Angel Sanctuary, Katua |
Oui, c'est une grande erreur de sa part d'avoir commencé de cette façon, d'ailleurs dans les premiers tomes, elle explique qu'elle reçoit des courriers de gens mécontents lui demandant de laisser tomber pour reprendre Comte Cain !
Mais le second arc (celui de l'Hadès), je l'ai trouvé nettement meileur. Déjà ça bouge plus, mais les personnages sont beaucoup plus interéssant. Même Sara devient cool. Oui, c'est possible. 
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| | WonderChef | | Mystérieux Gourmet | | Membre | |  | | 254 messages postés |
| Posté le 23-07-2007 à 12:04:01
| Le style de Kaori Yuki a l'air vraiment magnifique !
Il n'y aurait pas une série de cet auteur en moins de 10 volumes, ou bien un one-shot qui vaut le coup ?
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| | Katua | | Mangeuse de chocolat | | Modérateur | | | | 2226 messages postés |
| Posté le 23-07-2007 à 12:20:54
| Tous ses mangas valent le coup ! Par contre il faut savoir que c'est... Glauque et malsain.
Plus sérieusement, paru en France on a pas grand chose :
-Fairy Cube, série en 3 tomes (que je n'ai pas lu mais dont j'ai eu des bons échos). Une histoire de fée à la sauce de l'auteur (glauque donc)
-Neji, un one-shot futuriste moyen-bon.
-Et bien sûr Comte Cain une série de 13 volumes qui squatte la première place de mon top 10 depuis un bout de temps ^^
Pour Comte Cain, la série est clairement divisée en plusieurs arcs et le dernier est assez indépendant des autres, personnellement, je l'ai lu en premier sans aucun problème de compréhension.
Il est sortit sous le titre de God Child et fait 8 volumes. Comte Cain étant une série que l'auteur a mis en hiatus pendant des années pour faire AS, lors de la reprise avec God Child, elle a pris soin de réintroduire tous les personnages et l'histoire, ce qui fait qu'on est absolument pas perdu. Pour dire vrai, je n'ai même pas lu tous les premiers tomes ^^"
Je précise ça car les premiers arcs sont assez difficiles à trouver et pas vraiment obligatoires à lire... (ils sont bons quand même)
(au cas ou je n'ai pas été claire, cette page résume mieux la chose ^^)
En septembre, on devrait avoir Ludwig Kakumei, les aventures d'un prince charmant sadique et narcissique en quête d'une princesse assez sotte pour l'épouser. C'est en gros les contes de Grimm à la sauce morbide, et c'est bien marrant ^^
Donc au choix, je te conseillerai vraiment de prendre Comte Cain (arc God Child en priorité). C'est pas trop long, c'est beau, c'est bien ficelé et les personnages sont au top
Pour l'histoire, c'est dans un type un peu policier fantastique, le héros est un jeune lord anglais douteux passionné de poisons.
Message édité le 23-07-2007 à 12:27:43 par Katua
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| | Zapan | | Membre |  |  | | 66 messages postés |
| Posté le 03-04-2008 à 07:52:43
| Incroyable, vous parlez shojo sans parler du plus renommé d'entre eux aussi inévitable que Naruto ou One Piece en shônen
Résumé : 2 jeunes filles ayant le même âge (20 ans) et le même prénom (Nana) mais de caractères diamétralement opposés emménagent ensemble dans un appartement à Tokyo. Nana Osaki chante dans le groupe Blast alors que Komatsu est parti rejoindre son petit ami. Ainsi commence une histoire d'amitié qui va changer leur vie : chacune va essayer de réaliser son rêve malgré les coups durs de la vie.
Commentaires : Au départ, ce n'était qu'un one shot d'Ai Yazawa voulant cette fois-ci parler de romance entre jeunes adultes plutôt que ses histoires à l'eau de rose entre collégiens. Devant le succès elle décide d'en faire une série. Ce qui explique que l'aventure du manga commence seulement au 2eme volume où les 2 nanas se rencontrent enfin.
SI pour vous, le shojo, ce sont des collègiennes de 14 ans bien niaises qui tombent amoureuses toutes les 5 minutes, ici aucun rapport. Les persos ont 20 ans et commence leur vie d'adulte devant les difficultés du monde difficile : ils vivent des histoires de coeur où ils font l'amour, vivent des moments durs et d'autres de joie voire d'euphorie
L'intérêt du manga est assez addictif : on a rapidement un préféré dont on veut voir le parcours. Nana Osaki et Nana Komatsu vont au delà du cliché "fille rebelle garçon manqué" pour la première et "héroïne bien niaise" de shojo pour la seconde. Au contraire, la première se révèlera sensible et l'autre a bien conscience de sa naïveté et murira face aux différentes épreuves jalonnnant le manga.
Ce manga a eu tellement de succès qu'outre l'adaptation en anime quasi obligatoire, il a donné à deux adaptations "live" avec des acteurs japonais.
Néanmoins, ma seule critique (mais ça arrive à tous les mangas une fois un certain nombre de volumes dépassés) c'est qu'on sent à partir du tome 14 qu'Ai Yazawa ralentit bien pécunièrement le rythme du manga...
Voici quelques citations :
■ Nana Osaki à propos de Nana Komatsu : « Je l'ai rencontrée dans le train qui me menait à Tokyo. Le hasard m'a ensuite amenée à vivre en colocation avec cette Nana Komatsu (Hachi, Hachiko ou Hachikô pour les intimes). Capricieuse, pleurnicharde, enfant gâtée. Elle avait de plus une vie amoureuse très mouvementée et c'était un vrai cœur d'artichaut. Après à peine 6 mois à Tokyo, elle en était à son 3ème mec. Et pourtant elle restait pure. C'était une fille étrange... »
■ Nana Osaki à propos de Nana Komatsu : « Dis, Hachi, je voulais que tu restes à mes pieds, quitte à te mettre un collier au cou. Mais je me faisais peur à moi-même, lorsque je pensais ainsi et c'est pour ça que volontairement, je laissais une certaine distance entre nous. J'ai encore du mal à me faire des amis, j'ai encore un peu peur... ».
■ Nana Osaki : « Tu peux penser que mon rêve est insensé mais je jure qu'un jour, je me tiendrai sur une scène immense, sous les feux d'innombrables projecteurs, acclamée par une foule gigantesque et que je gagnerai de l'argent à ne plus savoir qu'en faire. Parce que si je me contente de chanter, je ne serai pas une princesse comblée. Parce que j'ai besoin de chanter pour vivre. Je jure qu'un jour, mon rêve se réalisera ».
■ Nobu à Nana Osaki : « Moi, tant que je peux jouer de la guitare pour accompagner ton chant, je suis heureux ».
■ Nana Osaki : « L'ambiance d'une famille animée comme la tienne, comme j'ai jamais connu ça, ça m'amuse... »
-Nana Komatsu : « Ca te fait rêver...Nana...Alors que ça, pour moi, c'est tout ce qu'il y a de plus banal ».
■ Nana Osaki à propos de Nana Komatsu : « Pour notre groupe, Hachi était un peu comme un animal mascotte. Enfin...plutôt comme notre muse. Son seul rire rendait tout lieu beaucoup plus rayonnant. Que ce soit en studio ou en concert, cela encourageait tout le groupe ».
■ Takumi à Nana Komatsu : « T'as pas d'emploi fixe, quand tu te sens seule, tu couches avec le premier venu et voilà que tu tombes enceinte..Y'a rien à faire. Ca fera pleurer tes parents, tu sais ? ».
■ Nobu à Nana Komatsu : « Explique-moi, je t'en prie...Même si tu me mens, je croirai ce que tu me diras».
■ Nana Osaki à propos de Nana Komatsu : « Quels que soient la vie et l'homme que tu choisisses, l'essentiel c'est que tu sois heureuse...Même si je n'arrive pas à devenir pure au point d'être capable de souhaiter ce genre de chose du fond du cœur. Je voulais que l'image que tu as de moi soit celle de quelqu'un de fort. Comme un héros de manga trop beau pour être vrai. »
■ Nana Osaki à Yasu : « On dit qu’on est amis mais au fond, chacun vit sa vie ».
■ Naoki : « Si l'on choisit une personne qui ne nous aime pas réellement sans l'avoir démasquée, mais que l'on prend soin d'elle et que l'on croit en elle, est-ce que l'amour finit par naître ? ».
■ Yasu à des paparazzis: « Si vous avez le temps de saccager le jardin d'autrui, vous feriez mieux de faire éclore vos propres fleurs ».
■ Nana Osaki à propos de Nana Komatsu : « Tu sais, Hachi, je ne pourrai plus être le héros de ton histoire, mais le prénom de l'héroïne de la mienne est encore « Nana » et c'est une fille adorable : Toi ».
■ Nobu à Miu : « Mais tu ne te sens pas triste quand les gens font comme si de rien n'était, alors que toi tu souffres ? ».
■ Nana Osaki à propos de Nana Komatsu : « Tu sais, Hachi, je pensais que dans la vie, il fallait toujours aller contre le courant, aussi fort soit-il. Mais vivre en se laissant porter, ce n'est pas si bête que ça. Si ça permet d'avancer ».
■ Nana Osaki à propos de Nana Komatsu : « Dis, Hachi, on dit qu'on ne prend conscience de l'importance d'une personne que quand on la perd, mais j'ai l'impression qu'en réalité on ne s'en vraiment compte que quand on est amené à lui faire face une nouvelle fois ».
■ Yasu à Nobu : « Tu dois enfin prendre conscience que le monde n'est pas fait de façon à ce que ce soit toujours la justice qui triomphe. Si tu ne veux pas perdre, sois plus malin. Il faut que tu deviennes un peu plus rusé. Et si tu ne veux pas changer, rentre à l'auberge Terashima (auberge que tiennent les parents de Nobu) ».
■ Gimpeï :« On dit souvent que dans la vie, il faut repartir à zéro... mais tout être humain vit sur l'amoncellement des choses qu'il a accomplies dans son passé, alors ce n'est pas si facile. On ne peut pas dire que c'est comme casser un tas de briques et le reconstruire. Peut-être qu'il faut se donner le mal de continuer à construire sa vie pour finir pas atteindre son idéal... ».
■ Takumi à Naoki : « L'Amour, c'est secondaire. De toute façon, la personne la plus chère à tout être humain, c'est lui-même. Donc on finit par aimer la personne qui satisfait le mieux nos désirs. ».
Edité le 03-04-2008 à 07:56:14 par Zapan
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| | Zapan | | Membre | | | | 66 messages postés |
| Posté le 03-04-2008 à 08:07:25
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Auteure : TAKAHASHI Rumiko
Editeur : Glénat
Nombre de volumes parus : 38/38
Un autre shojo dont le côté baston a trop primé je trouve sur la série et les jeux videos, c'était Ranma 1/2. Qui ne connaît pas ce célèbre manga dont l'anime passait sur le Club Dorothée (même si le doublage était encore plus abominable que celui des CDZ : un exploit !) ? L'histoire est simple : Ranma Saotomé et son père Genma, étudiants en arts martiaux partent s'entraîner en Chine où ils tombent dans des sources maléfiques : Ranma tombe dans celle de la jeune fille (appelé ainsi parce qu'une jeune fille s'y est noyé et son père dans celle du panda (appelé ainsi parce que... bref, vous avez compris !). Dès lors, à chaque fois qu'ils seront aspergés d'eau froide, ils prendront l'apparence d'une jeune fille et d'un panda et le seul moyen de les faire retourner à leur état normal consiste à leur verser de l'eau chaude ! L'histoire ne s'arrête pas là, Genma a pour ami d'enfance Soun Tendo, propriétaire d'un dojo d'arts martiaux, qui a eu trois filles de son côté. Ils ont convenu de marier Ranma avec l'une de ses filles pour qu'ils reprennent ensuite le dojo Tendô. C'est Akane la fille garçon manquée qui va être choisie pour se fiancer à Ranma, seulement elle le déteste car ce garçon est un maître en art martiaux et va mettre fin à l'invicibilité de la jeune fille. Mauvaise perdante elle va le prendre en grippe.
L'histoire après les 10 premiers volumes qui introduisent les personnages principaux ne vas plus évoluer jusqu'aux 2 derniers volumes 37 et 38. Entretemps, cela ne sera plus qu'une excuse à des situations délirantes et tordues, où les techniques de combat sont les plus débiles qui soient et je parle pas de certains persos où la relation entre Akane et Ranma sera rudement mis à l'épreuve (tout le monde y compris les lecteurs savent qu'ils sont amoureux l'un de l'autre même s'ils refusent de l'admettre) avec à chaque fois un dénouement digne d'un Monty Python...
Ce manga est très drole et surtout incontestablmeent de Takahasi Rumiko qui a pris le meilleur de chacun de ses autres mangas. Elle a pris l'humour ravageur de Urusei Yatsura - plus connu sous le nom de lamu chez nous - mais sans s'empêtrer dans le japonisme omniprésent (ce qui est le gros défaut de ses oeuvres), elle a pris le côté romantique de maison Ikoku mais avec des combats d'art martiaux en plus (touche de folie qui distrait). Après Takahasi Rumiko, avec Inu-Yasha j'adhére vraiment plus.
Les personnages principaux (ils sont très attachants parce qu'ils ont autant de défauts que de qualités ):
Ranma
Age : 16 ans
Fils de Genma, il a été entraîné depuis son plus jeune âge par ce dernier aux techniques de combat par ce dernier. Il n'a pu revoir sa mère que récemment même si suite à une promesse de son père de le rendre "viril', il doit se cacher d'elle tout le temps plutot que de l'avouer qu'il est désormais à moitié fille ! 
Sinon question caractère, il a beau le cacher derrière une facette de karatéka dur, il a un coeur d'or et il est droit.
Sa Transformation : Fille
Qualités :
- Timide
- Sensible
- Très doué en arts martiaux (c'est le plus fort de tous  )
Défauts
- Il a peur des chats (même un petit chaton tout mignon le terrifie )
- Orgueilleux
- Il comprend absolument rien aux filles !
Akane (Adeline en VF)
Age : 16 ans
Dernière fille des Tendo, elle est la seule aussi à pratiquer les arts martiaux ce qui l'a désigné d'office comme fiancée de Ranma. En effet, elle avait promis de sortir avec un garçon capable de la battre ce que Ranma "fille" a fait pendant qu'elle le prenait encore pour une vraie fille.
Question caractère, elle n'est pas facile à vivre même si en analysant de plus près, elle osera plus avouer ses sentiments contrairement à ce dernier.
Sa Transformation : N'en as pas
Qualités :
- Elle est douée en arts martiaux (mais moins que Ranma)
- Sensible (Ranma la fera souvent pleurer)
- Courageuse
Défauts
- S'énerve très facilement
- Vrai Garçon Manqué
- Elle fait très mal la cuisine
Ryoga (Rolland en VF)
Age : 16 ans
Sa Transformation : En petit cochon noir.
Eternel ennemi de Ranma pour deux raisons : primo c'est son rival depuis l'école primaire, deuxio c'est le fiancé de Akane dont il est scecrètement amoureux (en cochon noir, il est même devenu l'animal de compagnie de Akane ! ). Mais dans le même temps, une certaine amitié dans le combat s'est lié entre Ranma et lui et dans le dernier temps du manga, il se fera même une petite-amie.
Qualités :
- Toujours prêt à aider Ranma
- Dévouée à Akane
Défauts
- Il n'a aucun sens de l'orientation
- Trop naïf : il ne reconnaitra jamais Ranma déguisé en fille
Bamboo (Shampoo en VF)
Age : 16 ans
Sa Transformation : En chatte.
Prenant Ranma pour une fille, elle essayait de le tuer selon la coutume de son village de chine puis se rendant de sa nature masculine, elle essait désormais de se marier avec lui.
Qualités :
- Très douée en arts martiaux
Défauts
- Elle ne reculera devant rien, ni aucun sortilège pour obtenir Ranma
Mousse (Mathias en VF)
Age : 16 ans
Sa Transformation : Canard.
Rien à dire sur lui à part qu'il est amoureux fou de Shampoo depuis l'age de 3 ans sauf que cette dernière l'a battu et donc il doit battre Ranma pour la reconquérir.
Qualités :
- Il planque tout plein d'instruments
Défauts
- Il est hyper- myope et doit porte des immenses lunettes pour y voir clair
Genma
Age : inconnu
Sa Transformation : Panda
Papa de Ranma, il est prêt à tout pour que son fils devienne un champion en arts martiaux même si en mêm temps il est à l'orgine de nombreuses galères qui arrivent à son fils
Qualités :
- Son dévouement envers son fils
Défauts
- Il est lache
- Ne tient jamais ses promesses
Soun Tendo (Aristide Galant en VF)
Age : inconnu
Sa Transformation : Aucune
Papa d'Akane et de ses deux soeurs, il n'aura de cesse de la pousser dans les bras de Ranma ce qui a pour effet évidemment le contraire. Il a beau tenir un dojo de karaté, on ne le voit pas trop à l'oeuvre.
Qualités :
- Assez Sympathique
Défauts
- intervient trop dans la relatio entre Ranma et Akane
- Passe sans arrêt de l'hilarité aux larmes
kasumi Tendo (Annabelle Galant en VF)
Age : 19 ans
Sa Transformation : Aucune
Ainé des filles Galants, elle est l'archetype de la fille parfaite : douce, gentille, douée en cuisine, c'est l'anti-Akane même ! Elle a remplacé la place de la mère chez les tendo
Qualités :
- Parfaite !
Défauts
- Trop Parfaite !
Nabiki Tendo (Amandine Galant en VF)
Age : 17 ans
Sa Transformation : Aucune
Deuxième des filles Galants, personnage assez secondaire, elle ne tient le haut du pavé que dans le volume 17 où elle devient la fiancée de Ranma (momentanément je vous rassure) !
Qualités :
- Pret à aider sa famille dans le besoi,
Défauts
- Manipulatrice
- S'intéresse vraiment trop à l'argent
Ukyo kuonji (Fredericque en VF)
Age : 17 ans
Sa Transformation : Aucune
3 eme fiancée de Ranma après Akane et Bamboo, elle est pourtant la première qu'il ait connu vu qu'il l'a rencontrée à 6 ans mais Ranma prenait Ukyo pour un garçon ! Son père possédait une petite pizzéria mobile. Il allais chercher à chaque jours une okonomiyaki gratuitement mais tanné de lui Ukyo esséyait de l'arrêter sans succès. Un jour Ukyo veut se marier avec Ranma. Le père de Ukyo propose à Genma un mariage entre Ranma et Ukyo. Genma refuse parce que il a déjà une fiancée mais il donne son échoppe comme dot, il change très vite d'avis et s'enfuit avec sans Ukyo. Pour se déculpabilise, il demande à Ranma ce qu'il prèfère entre sa dot : une okonomiyabi = une sorte de pizza japonaise et Ukyo, le ptit garçon a choisi sans remord l'okonomiyabi ! Elle lui pardonnera quand Ranma lui avouera qu'il la trouve mignonne.
Qualités :
- Fait très bien la cuisine
- Se bat avec une spatule
- Très ami avec Ranma
Défauts
- Encore plus garçon manqué qu'Akané !
- Essaie tout le temps de profiter de cette amitié pour recueillir Ranma quand il se trouve en froid avec les tendo...
Edité le 04-04-2008 à 08:04:35 par Zapan
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| | Windspirit | | Mushishi | | Modérateur | | | | 4577 messages postés |
| Posté le 03-04-2008 à 23:10:19
| Nana est un josei, il me semble. En tout cas, l'ambiance est beaucoup, BEAUCOUP plus mature et les thèmes abordés sont beaucoup plus poussées et matures que ce que l'on retrouve dans la majorité des shojos.
Sinon, Nana, j'ai vu l'anime et j'ai vraiment été subjugué. Le fond est assez classique (l'amour et tout le mélodrame qui en découle), mais la réalisation est si belle, la mise en scène si dépourvue d'anicroches, les thèmes si près de nous ("réaliser ses rêves" prend une dimension très différente de "Moi devenir Hokage" ) les personnages si attachants et si vrais qu'au final, c'était quand même un délice.
J'ai lu le manga environ jusqu'au moment où l'anime s'arrête (quel bonheur de voir que le manga a été si bien adapté sans trop zapper trop de trucs (enfin, la seule chose réellement absente dans l'anime, c'est la side story avec Naoki, excellente)). Comme ça, si jamais y a pas de seconde saison à l'anime, je pourrai toujours continuer ma lecture.
Et... Tu as oublié la meilleure citation du manga, que dis-je, la meilleure citation ever, shame, shame on you :
Nana Komatsu a écrit :
« Dis, Nana, réaliser ses rêves et être heureux... Pourquoi ces deux choses sont-elles si différentes ? » |
Ranma 1/2 est un shonen, si je ne me trompe pas.
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They are neither plants nor animals.
They differ from other forms of life such as the micro-organisms and the fungi. Instead they resemble the primeval body of life and are generally known as Mushi. Their existence and appearance are unknown to many and only a limited number of humans are aware of them. |
| | AceNoctali | | WebMaître Chevalier | | Administrateur |  |  | | 2672 messages postés |
| Posté le 17-04-2008 à 23:20:06
| Zapan, tu es carrément à côté de la plaque : Ranma 1/2 est TOUT, sauf un Shojo Manga. C'est en réalité un Shônen manga pur et dur.
De la (vraie) romance là-dedans ? Ha ha ha, me fais pas rire.
Si tu veux un VRAI Shojo crée par Rumiko Takahashi, va plutôt voir du côté de Maison Ikkoku .
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« Quand tu veux pleurer, pleure sans retenue. Tu te sentiras bien mieux après. Et tu pourras rire de nouveau. »
Rosette Christopher, Chrno Crusade (Tome 1). |
| | Julia Rowel | | Pourquoi ? | | Administrateur | |  | | 116 messages postés |
| Posté le 18-04-2008 à 23:34:51
| Sauf que Maison Ikkoku est un seinen manga. Eh oui, Rumiko Takahashi a beau être une femme, elle n'a pas fait (du moins à ma connaissance) de shôjo manga.
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| | AceNoctali | | WebMaître Chevalier | | Administrateur | | | | 2672 messages postés |
| Posté le 18-04-2008 à 23:43:26
| Après vérif', je le reconnais, mon erreur sur ce point.
Ceci dit, si je me suis trompé sur le genre, ce manga-là est bel est bien axé romance pure et dure, contrairement à Ranma où il n'y en a quasiment que pour la baston et l'humour (à deux balles, si vous voulez mon avis à ce sujet).
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« Quand tu veux pleurer, pleure sans retenue. Tu te sentiras bien mieux après. Et tu pourras rire de nouveau. »
Rosette Christopher, Chrno Crusade (Tome 1). |
| | Windspirit | | Mushishi | | Modérateur | | | | 4577 messages postés |
| Posté le 19-04-2008 à 00:04:41
| La limite est très fine entre le shojo et le seinen sentimental, à mon avis. Je pense que la différence majeure réside dans la focalisation de l'histoire : si c'est sur un personnage masculin qui développe une sorte de "relation" avec une fille, c'est du shonen ou du seinen (c'est du seinen si l'ambiance est plus "mature" que d'habitude, si les sujets traités sont plus d'actualité et recherchés, si les mentalités des personnages sont plus adultes, etc.) ; si c'est sur un personnage féminin et ses craintes de la vie courante, c'est du shojo.
Maison Ikkoku est focalisé sur Godai, et les personnages sont adultes, autant physiquement que dans leur personnalité ou leur quotidien.
Là encore, il devrait y avoir une ligne qui sépare le seinen du josei (parce que la description que je viens de donner pourrait très bien s'appliquer à Nana), mais je ne préfère éviter de m'aventurer dans ce genre de débats, déjà que je ne différencie les différents genres qu'au feeling (par exemple, là où tout le monde prenait Death Note pour un seinen, j'étais persuadé dès le premier épisode que c'est du shonen : aujourd'hui encore, je ne peux même pas expliquer pourquoi). T___T
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They are neither plants nor animals.
They differ from other forms of life such as the micro-organisms and the fungi. Instead they resemble the primeval body of life and are generally known as Mushi. Their existence and appearance are unknown to many and only a limited number of humans are aware of them. |
| | Katua | | Mangeuse de chocolat | | Modérateur | | | | 2226 messages postés |
| Posté le 19-04-2008 à 14:15:04
| Plus simple : le genre ne correspond vraiment qu'au type de magazine dans lequel le manga a été prépublié.
Bien sûr il y a toujours des "bases" communes à chaque genre, mais des fois la limite est nettement trouble qu'on ne sait plus vraiment dans quel genre on se situe. On a déjà parlé du cas de Terra e, c'est tout à fait ça. C'est shôjo jusqu'au petit doigt pied mais classé shônen car prépublié dans un magazine shônen.
Tout ça pour dire : les classifications c'est assez troubles et mieux vaut ne pas trop s'y fier.
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