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 The Legend of Zelda: Triforce

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Appolionos
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Appolionos
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   Posté le 13-04-2009 à 13:30:19   Voir le profil de Appolionos (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Appolionos   

Il y a quelques temps (ok ça fait 5 ans) j'ai commencé une fic sur l'integralité de la série The Legend of Zelda. Voici les 3 premiers chapitres. Dites-moi ce que vous en pensé sans retenu (le premier qui en dit du mal )!
La voilà (avec mini preface de l'époque)

PS: La fic n'est pas encore fini, j'ecrit environ un chapitre par trimestre

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PREFACE :

Il y a peu j’ai lu sur internet une théorie selon laquelle tous les jeux "The Legend of Zelda" raconteraient la même histoire mais avec des points de vue différents. Ma fan fic racontera la véritable légende de Zelda. Enfin comme je la vois. Cette fan fic est essentiellement basé sur le jeu "The Legend of Zelda : Ocarina of Time" mais de nombreux épisodes seront changés, de nouveaux ajoutés et d’autre seront issus des autres "The Legend of Zelda". De nombreux clins d’œil seront faits à d’autres jeux vidéos ou manga que j’apprécie particulièrement. Toutefois de nombreux spoilers pullulent dans cette histoire mais attention toute révélation n’est pas forcement spoiler (j’en ai inventé une grande partie !). J'aimerais que vous me donniez votre avis sur cette histoire. Je pense que j'en sélectionnerai quelques-uns uns (autant les positifs que les négatifs) pour les faires apparaître dans la rubrique "Avis des Lecteurs". Je crois que j’en ai assez (trop) dit ! Je vous laisse savourer la véritable légende de Zelda : celle de la Triforce.

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PROLOGUE :

Il y a quelques temps, les trois destinés d’Hyrule se rencontrèrent et s’emparèrent de la Triforce.
Mais comment sont-ils arrivés jusqu’au lieu sacré ? Pourquoi se sont-ils emparés de la sainte relique ? Que vont-ils en faire ? Pour comprendre cela, il faut remonter une trentaine d’années en arrière.

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CHAPITRE I : L’enfance du prince gérudo

Tous commença dans le gymnase de la forteresse gérudo. Un jeune garçon au teint mat arriva dans l’ultime salle au trésor. Sur son corps musclé on pouvait distinguer des gouttes de sueur qui coulaient le long de ses bras nus. Tout à coup, un Stalfos armé d’une longue épée surgit sur son coté droit et lui infligea une longue entaille au niveau de l’épaule. Malgré sa blessure, le jeune homme sauta et pourfendit son agresseur d’un coup de lance. Sentant sa victoire approcher, notre héros sa rua vers le dernier coffre. A un mètre de celui-ci une trappe s’ouvrit et le garçon tomba, un étage plus bas, au pied de son instructrice gérudo.

" Ganondorf, tu as encore échoué !
- Mais …
- Il n’y a pas de "mais". Tu es pathétique. Le prince des voleurs, tu parles ! Tu es pire qu’un mojo ! Regarde Nabooru, elle est plus jeune que toi et elle a réussi depuis longtemps ! Avoir huit ans et être incapable de récupérer les flèches de glace ! Allez retourne au dortoir !"

Ganondorf s’exécuta. En chemin il croisa sa mère, une splendide femme aux cheveux roux et au teint mat. On ne pouvait pas se tromper, ils se ressemblaient tellement tous les deux. Ayant apprit la nouvelle défaite de son fils, la jeune femme lui lança un regard de mépris qui agrandit le désarroi du petit Ganondorf. Celui-ci avait tant besoin d’être réconforté. Dans ce genre de moment il se demandait :
"Qui est mon père ? Pourquoi suis-je le prince gérudo ? Et si j’étais une fille, serait-ce plus facile ?"
Il aimerait tant poser ces questions à quelqu’un. Mais à qui ? Personne ne voulait l’écouter.

Perdu dans ses pensées, Ganondorf s’avança jusqu’à la fenêtre. D’ici on voyait le camp d’entrainement d’archerie montée. Le prince vit Nabooru en train de s’entrainer. Il aimerait tant être à sa place mais pour cela il lui fallait un cheval, cheval que l’on recevait seulement après avoir réussi l’épreuve du gymnase. La jeune gérudo leva son arc vers le ciel et tira. Un oiseau tomba au sol, congelé ! Le garçon n’en crut pas ces yeux. Comment avait-elle put viser si bien alors que lui-même n’avait pas vu le volatile. Il resta un moment à la fenêtre, les yeux ébahis.

Un beau jour, il réussit l’épreuve et reçut un cheval avec lequel il s’entrainait nuit et jour. Pour lui, ce cheval était son seul ami. Lorsqu’il ne s’entrainait pas, Ganondorf passait des heures entières à se balader à cheval dans le désert hanté. Malheureusement, dix ans après, la célèbre Guerre des Sceaux éclata et Ganondorf, devenu un magnifique jeune homme, dut aller combattre auprès des siens. Lors de cette guerre, le prince s’illustra sur le champ de bataille. Cependant, lors d’une attaque, son cheval fut tué d’une flèche dans le poitrail. Ce fut un déchirement pour notre adolescent Il n’avait plus qu’une envie, se venger ! Dans les jours qui suivirent, il perdit aussi sa mère et un grand nombre de guerrières. Alors qu’il levait la tête, il vit que tout n’était plus que ruines et désolation. Il se fit alors la promesse de créer un monde où la guerre et la violence auraient disparus même si, pour cela, il devait détruire celui-ci. Le seul moyen d’y arriver et de s’emparer de la plus grande puissance connue à ce jour, la Triforce.

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CHAPITRE II : Naissance chez les kokiris

Cela faisait douze ans que la guerre persistait entres les différents peuples. Il y avait des pertes de tous les cotés, autant chez les zoras que chez les gorons, autant chez les piafs que chez les gérudos, autant chez les hyliens que chez les sheikahs. Les combats duraient nuits et jours. La grande plaine d’Hyrule n’était plus que désolation.

Dans le camp hylien, un cavalier blond, d’environ vingt cinq ans, grimpa sur sa monture. Il venait d’avoir une permission exceptionnelle car son épouse était sur le point d’accoucher. Alors que le soleil se couchait sur l’horizon, notre soldat et sa monture traversèrent le pont-levis. L’homme déposa son cheval aux écuries, sur sa droite, et courut en direction de la place du marché qui, à cette heure tardive, étaient vide. Il prit alors une petite ruelle à droite de l’armurerie et entra dans une maisonnette parfaitement ordinaire.

A l’intérieur, il s’assit au chevet d’une jeune femme brune aux yeux bleus. Elle tenait dans ses bras un nourrisson emmitouflé dans une couverture. L’enfant avait les yeux bleus de sa mère et quelques cheveux blonds, comme ceux de son père. Tout à coup on frappa à la porte. Le jeune homme se leva et alla ouvrir. Une femme d’un âge avancé entra dans l’unique pièce que formait la maison. Elle se rendit au coté de l’enfant et de sa mère. Elle félicita alors la jeune fille de lui avoir donné un aussi joli petit-fils. Elle proposa alors de passer à table. Elle mit le couvert et ouvrit son panier dans lequel elle avait apporté quoi nourrir toute la petite famille. Ils mangèrent tous les trois en oubliant que la guerre continuait en dehors des remparts protecteurs de la ville.

Le lendemain, le soldat retourna sur le champ de bataille et y perdit la vie lors d’une attaque goron. Le soir, des sheikahs attaquèrent le Bourg d’Hyrule et le mirent en ruine. Seuls restaient le château royal et une poignée de survivants réfugiés sur les hauteurs.

La jeune mère décida alors de prendre le cheval de son défunt mari. Elle galopa droit devant elle, son enfant attaché dans son dos. Lors de la traversée de la plaine, elle fut cruellement blessée par le prince des gérudos.

Mortellement blessée, la jeune hylienne arriva au domaine kokiri entièrement peuplé d’enfants. Il s’agissait du seul lieu d’Hyrule protégé des ravages de la guerre. Elle continua son chemin et alla voir l’Arbre Mojo, le protecteur de cette forêt. Elle lui confia son fils avant de s’éteindre à ses pieds, des suites de ses blessures. Grace à ses branches, l’Arbre Mojo enterra la défunte derrière lui afin que personne ne la voie et sache la vérité sur l’origine du nouveau kokiri. Il habilla le nouveau-né d’une tunique kokiri, comme ces enfants, et l’éleva comme l’un des leurs. Enfin il nomma l’enfant "Link" selon la dernière volonté de la mère mourante.

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CHAPITRE III : La naissance d’un nouveau monde

Un an de plus c'était écoulé et les ravages causés par la guerre n'avaient fait qu'empirer. Dans certaines civilisations il ne restait qu'une poignée de survivants. C'était le cas, par exemple, des sheikahs et de minishs. Des villes entières furent détruites comme le fut la cité zora "Atlantis" située au milieu du lac Hylia. Certains peuples, comme les piafs, ne pouvant abandonner, c'étaient réfugiés dans des villages cachés. Cependant la guerre ne s'arrêtait pas pour autant. Au contraire, les six derniers mois, les combats devinrent plus fréquents et plus violents que jamais. La plaine d'Hyrule était couverte de cadavres. Plus aucun animal ne s'y aventurait et même la végétation refusait de pousser de peur d'être arrachée ou saccagée.

Toutefois, dans le camp hylien, une nouvelle emmenait avec elle un nouvel espoir. En effet, la reine était enceinte de son premier enfant donc de l'héritier du trône, mais on ne savait pas si on avait affaire à un futur prince ou à une future princesse. Aucun médecin n'arriver à répondre à cette question. Les hyliens espérer avoir affaire à un prince pour que celui-ci se batte à leur coté et ainsi ils pourraient triompher. Les hyliennes, elle, espéraient obtenir une princesse pour, qu'avec son amour, elle apporte la paix sur les terres d'Hyrule.

Quelques mois après, durant le printemps, la reine accoucha d'une petite fille. Toutefois l'humeur n'était pas à la fête car la souveraine n'avait pas survécu à l'accouchement. Le roi remarqua alors que la mort était trop cruelle pour être ignorée et que la guerre qui continuait en dehors des remparts avait séparé trop de familles. Il était temps qu'elle s'arrête une bonne fois pour toute. Il se tourna vers l'enfant qu'il nomma "Zelda", comme la défunte reine, et lui promit qu'elle ne connaitrait jamais la guerre.

Dans les jours qui suivirent le roi organisa une grande réunion où il ressembla tous les chefs des différentes civilisations. La salle du trône fut spécialement aménagée pour l'occasion. Une grande table ronde fut dressée au centre de la pièce. Elle était entourée de trônes de tailles différentes, chaqu'un frappé aux armoiries d'un pays. Le roi s'assit alors à sa place en attendant les délégations étrangères. Le premier arrivé fut Exelo, le seigneur minish. Arrivèrent ensuite le roi zora Vigeri, Ganondorf, le prince gérudo et Impa, la grande guerrière sheikah. Puis ce fut le tour de Darunia, le chef goron et du prêtre piaf, Infactus. Le dernier à ce présenter fut Mido, un kokiri qui représentait l'Arbre Mojo, le père de tous les kokiris.

Après de longues heures de discussion, un traité de paix fut signé attribuant à chaque peuple un territoire. La grande plaine d'Hyrule, où avait eu lieu la majorité des combats, appartenait à tous. Pour fortifier ce traité, le roi hylien nomma, avec leurs accorts, Impa, nourrisse de Zelda, Ganondorf, commandant de sa garde personnelle et Infactus, grand conseiller. Puis il donna les trois pierres ancestrales du Temple du Temps aux peuples zora, goron et kokiri afin qu'ils les protègent même s'ils n'en connaissent pas leurs utilités. A la fin de la réunion, le roi s'entretint avec Exelo en privé. Il lui livra un grand secret, terrible s'il tombait entre de mauvaises mains.

A la sortie du château, Ganondorf avait tendu un piège à Exelo. Il l'avait vu parler avec le roi mais n'avait pas entendu ce qu'ils s'étaient dit. Comme celui-ci refusait de parler, le prince le menaça des pires atrocités. Malgré ces menaces, Exelo restait muet. Ganondorf le transforma alors en bonnet, ne lui laissant que la parole pour lui révéler son secret. Une bourrasque de vent souffla alors emportant Exelo avec elle. Ganondorf hurla alors sa colère tandis que le soleil se couchait à l'horizon.

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Le Savoir n'entre point en âme malvaillante mais science sans concience n'est que ruine de l'âme. (F.Rabelais)
Phenice
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Phenice
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   Posté le 18-04-2009 à 01:07:44   Voir le profil de Phenice (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Phenice   

Ton idée était bonne et donne envie de connaître la suite. Par contre, comme d'hanitude (si tu as déjà lu mes commentaires), je vais en souligner une ou deux difficultés.

Tout d'abord, point inévitable : révise l'orthographe. Parfois, l'histoire peut être difficilement compréhensible ("et" à la place de "est", par exemple. J'avoue être revenue en arrière pour comprendre. Ça nuit au rythme de ton histoire).

Ensuite, ton style peut parfois être assez inégal. Parfois, il tient, on suit l'histoire, on se sent emporté par le rythme, il correspond tout à fait à la situation mais d'autres fois, (et parfois tout à coup) tes phrases (ce n'est pas le terme tout à fait exact mais comme il appartient au domaine de lettres, j'évite de le donner ) donnent l'impression que tu fais une description rapide, pour passer plus vite à ce qui t'intéresse. L'émotion peut avoir du mal à passer.

Je te conseillerai d'ailleurs de revoir la préface : je t'avoue que j'avais plus l'impression d'un résumé.

Bon, comme tu vois, ce n'est pas un bilan négatif, ton histoire est bien et tu arrives avoir un ryhme, tu as juste certains points que je pense que tu devrais revoir. Je précise en outre qu'il s'agit simplement d'un avis subjectif (et que tu as tout à fait le droit de te défouler sur les miennes. Crois-moi, il y a des choses aussi à y revoir ). Je précise aussi que mon avis a tendance à être le plus dur du forum. Donc, maintenant, ça ne peut être que mieux .
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Appolionos
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   Posté le 22-04-2009 à 10:10:19   Voir le profil de Appolionos (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Appolionos   

Merci Phenice pour ton avis (je prefere ce genre d'avis "negatif" mais constructif que ceux du genre "genial continu comme ça"
Maintenant à moi de commenter tes critiques:
-Orthographe: JE SUIS VRAIMENT DESOLE pourtant (surtout en ce qui concerne ces 3 premiers chapitres) j'ai relu, fait relire par une amie, utiliser le correcteur orthographe/grammaire (parfois il voulait même me rejouter des fautes). Mais je te promet de revoir ça encore une fois.
-Rythme: Merci de m'avoir signaler ce probleme. Je n'y ai jamais preter attention. Toutefois j'ai peur que des description trop longues ennuis le lecteur mais je vais essayer d'étoffer tous ça. Toutefois le debit risque de rester un peu rapide car plus de 250 chapitres sont prevus.
-Preface: Promis je revois ça (elle ne me plait pas à moi non plus mais je ne sais pas trop quoi mettre). Toutefois c'est loin d'être un résumé (je serais incapable moi-même d'en faire un resumé, vu que regulierement (à la sortie de chaque nouveau Zelda) je change des partie de l'histoire)

Voici en cadeau deux nouveaux chapitres (pour l'instant, les moins interssants à mon gout):

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CHAPITRE IV: Un matin chez les kokiris

Voilà neuf années de passées et la paix résistait malgré l'apparition de monstres aux quatre coins d'Hyrule. Aujourd'hui c'était le dixième anniversaire de Link. Il vivait parmi les kokiris tout en ignorant sa véritable identité. Il s'entendait bien avec la plupart des kokiris, exception faite de Mido, le plus vieux de tous et, à ce titre, le représentant de l'Arbre Mojo, leur père à tous.

Il était huit heures et Link dormait encore. C'est alors qu'une jeune fille lui apparut en songe. Elle avait des cheveux d'or et de grands yeux turquoises. Elle avait l'air d'avoir, à peu près, le même âge que lui. Elle semblait affolée lorsqu'elle s'adressa à Link:
"Link, élu de Farore, la terre d'Hyrule est en grand danger. J'ai besoin de ton aide. Vien vite me voir au château d'Hyrule. Demande Zelda. Emmène avec toi la pierre ancestrale de la Forêt que le peuple kokiri protège."

C'est alors qu'une seconde voix pénétra dans son esprit. Elle paraissait plus éloignée mais elle se rapprochait rapidement.
"Link, Link, debout !! Le vénérable Arbre Mojo veut te voir!"
Link connaissait cette voix. C'était celle de Saria, sa meilleure amie, une jeune kokiri aux cheveux vert et possédant, malgré son jeune âge, une immense sagesse. Elle était née le même jour que Link. Link se réveilla alors en sursaut et s'approcha de sa fenêtre. Il vit alors la kokiri courir en sa direction en faisant de grands gestes. Link passa sa tête par la fenêtre et cria:
"Salut Saria, bon anniversaire!"
- Joyeux anniversaire à toi aussi mais il faut te dépêcher! L'Arbre Mojo veut te voir. C'est très important!
- Ca m'a l'air grave. Attends j'arrive!"

Link enfila en vitesse sa tunique verte, posa son grand bonnet sur sa tête, attacha sa ceinture et chaussa ses bottes. Il descendit alors l'échelle et rejoignit Saria. Ensemble, ils coururent jusqu'à l'embouchure qui permettait d'accéder à l'Arbre Mojo. Là, Mido leur barra le chemin.
"Laisse nous passer Mido! , s'énerva Link
- Je t'en prie, Mido! C'est très important! , demanda Saria
- Hors de question! Désolé Saria mais l'Arbre Mojo m'a demandé de ne laisser passer que ceux qui possède un équipement de guerrier, c'est à dire une épée et un bouclier.
- Link, dépêchons-nous de trouver tous cela! Je sais qu'ils vendent des boucliers Mojo à la boutique.
- D'accord mais je n'ai pas d'argent!
- Passons chez moi! Je dois encore avoir quelques rubis!"

En effet, Link n'avait plus un seul rubis car il les avait tous dépenser pour acheter un cadeau pour Saria. Saria en avait fait de même mais il lui en restait encore assez pour acheter un bouclier. Ils se dirigèrent donc vers le magasin. En chemin, ils rencontrèrent plusieurs kokiris qui leur adressèrent des "Bons anniversaires" auxquels ils répondirent en vitesse. Au magasin, le vendeur, un petit kokiri joufflu, s'approcha d'eux et leur dit:
"Joyeux anniversaire vous deux. Désirez-vous quelque chose?
- Un bouclier Mojo s'il te plait, demanda Saria
- Un? Tu n'en prends pas? , s'étonna Link
- Ca m'étonnerais que l'on trouve deux épées donc tu t'équipe et tu me protège! , répondit la kokiri en faisant un clin d'œil, et puis nous n'avons pas assez de rubis.
- Ok!
- Combien alors? , s'impatienta le kokiri marchand
- Un seul.
- Je vous l'apporte. Vous saviez qu'ils sont faits à partir des écorces de l'Arbre Mojo qui tombent par terre. Les symboles, c'est moi qui les peint. Certes je ne suis pas un artiste mais bon, c'est un passe temps sympa. An fait vous voulez quoi comme symbole?
- Peu importe !! , répondirent Saria et Link d'une seule voix, énervés par le temps qu'ils perdaient en bavardages inutiles.
- Alors, comme c'est votre anniversaire, je vous vends celui avec le symbole "Kokiri". Vous saviez qu'il …
- Merci" dit Link en lui prenant des mains un bout de bois plat avec une spirale rouge peinte dessus alors que Saria déposait une poignée de rubis dans les mains désormais vide du marchant. Ils sortirent alors de la boutique en courant avant que le kokiri ne réagisse.

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CHAPITRE V: Les frères Je-Sais-Tout

Saria et Link sortirent donc de la boutique précipitamment. Quelques pas plus loin, ils s'arrêtèrent. Link dit alors:
"J'ai bien crut que l'on ne s'en sortirait jamais. Quel bavard celui-là!
- Il ne faut pas lui en vouloir, il ne voit pas beaucoup de monde. Tu sais, nous les kokiris, nous n'avons pas besoin de grand chose donc nous n'allons pas souvent dans son magasin.
- Ouai bon! Maintenant on va où chercher l'épée? Il va falloir sortir du village car le vénérable Arbre Mojo nous a interdit toutes sortes d'armes!
- Oui mais nous n'avons pas droit de sortir de la forêt! Tu connais la règle!
- Oui "Tous kokiri qui sort de la forêt est un kokiri de moins"
- Allons voir les frères "Je-Sais-Tout", ils ont peut-être une solution. "

Ils se rendirent donc à la maison à gauche de la sortie et y entrèrent. Saria écarquilla les yeux devant tous les livres rassemblés dans cette maison. Il y en avait de partout! Les bibliothèques et les étagères de la maison étaient toutes remplies. Des livres formaient de grandes colonnes qui partaient du sol pour finir au plafond. Sur la table centrale, il y avait une lampe et, autour, trois kokiris lisait des volumes qui devait peser trois à quatre kilogrammes chaqu'un.

"Joyeux anniversaire vous deux, dit le premier
- Joyeux anniversaire, reprirent en cœur les deux autres
- Merci, répondit Saria, Excusez-nous mais nous avons besoin de votre aide. Nous voudrions savoir s'il était possible de trouver une épée dans la forêt.
- Mais c'est interdit!
- Nous le savons, répondît Link, mais nous devons aller voir l'Arbre Mojo et l'autre tête-à-claques ne veut pas nous laisser passer sans épée.
- Link! , s'indigna Saria, ce n'est pas de sa faute! C'est le vénérable Arbre Mojo qui lui a demandé de ne laisser entrer que ceux qui possèdent un équipement de guerrier. En attendant, pouvez-vous nous aider?
- Puisque c'est l'Arbre Mojo qui vous le demande, indirectement, nous allons vous le dire. Il y a environs cinquante ans, l'Arbre Mojo fit cacher l'unique arme de la forêt, qu'il avait lui-même forgée. Il paraît que seul son héritier pourrait la trouver. On dit qu'elle se trouve au-delà de la falaise qui se trouve juste derrière notre maison. Nous l'avons regardée et nous y avons remarqué un trou juste assez grand pour qu'un kokiri s'y glisse. Cependant nous n'y sommes jamais allés pour ne pas transgresser la règle.
- Merci pour le renseignement." répondirent Link et Saria d'une seule voix.

Ils sortirent de la maison, en firent le tour et s'avancèrent vers la falaise. Ils remarquèrent qu'une plante, qui se trouvait contre la falaise, avait poussé de manière penchée. Après avoir arraché la plante, ils se rendirent compte qu'elle cachait, en fait, l'ouverture dont les frères "Je-Sais-Tout" avaient parlée. Un vent léger soufflait à travers le trou, s'interrompant régulièrement. Link y entra le premier suivi de Saria.

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Voici en prime la couverture faite par mes soins:
http://www.casimages.com/img.php?i=090422100921429043.jpg


Edité le 22-04-2009 à 10:12:25 par Appolionos




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Phenice
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   Posté le 26-04-2009 à 17:31:52   Voir le profil de Phenice (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Phenice   

Bonne idée cette mise en place du suspens. Mais même si c'est le problème est moindre, ton style reste tout de même inégal. Si je peux te donner un conseil, essaie de revoir le début de ton chapitre 4, principalement. Tu fais plusieurs répétitions alors que tu aurais pu facilement créer une plus grande fluidité par une série d'enchaînement ou le déplacement de certains mots. (Si je peux de nouveau te donner un conseil, trouve un endroit tranquille -donc on évite la gare- et lis tes textes à haute voix). Et désolée, toujours même remarque sur l'orthographe...

Par contre, rien à redire au niveau des dialogues (et crois-moi, j'en ai vu des textes où les dialogues faisaient plus que frôler l'amateurisme.)

J'attends de voir la suite


Edité le 08-05-2009 à 14:24:28 par Phenice


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